« La Droite Indépendante, Républicaine et Populaire est à la veille de trouver un nouveau souffle si nous le voulons » écrit Gersende pour le Cercle Gaulliste de Réflexion Politique et Sociale
Gersende, politologue à Paris, ex Sciences-Po, Administratrice Déléguée du Cercle Gaulliste de Réflexion Politique et sociale écrit :
« Le sort en est jeté. Les Français ont voté et exprimé leurs désillusions, chacun estimant que sa chapelle politique est meilleure que les autres pour le représenter. Une archipélisation de la societé qui devait bien un jour se traduire dans les urnes !
L’insécurité dans nos rues, les carences de la Justice qui ne viennent pas de ses personnels mais du peu de crédit que le Président et le Garde des Sceaux lui accordent, le lâchage de notre Police, le communautarisme, les atteintes tolérées à la laïcité, ont fait que de braves citoyens de la Majorité Silencieuse ont trouvé refuge à la Droite de la Droite. Pas par idéologie. Pas pour sympathie pour cette Droite Radicale.
Et si vous rajoutez à cela, la crainte du Mélenchonisme qui agite tout ce qu’il peut pour nous faire peur.
Le Parti « Les Républicains », un Parti de Gouvernement, qui a essayé depuis des années de se montrer à la hauteur de son illustre ancêtre le RPR, a subi depuis plusieurs années bien des avanies, des tempêtes, sans oublier les trahisons.
Souvenez vous de ce paquebot que les marins ont fui en abandonnant les passagers pour sauver leur peau. Le paquebot n’a d’ailleurs pas coulé. Il en est qui ont abandonné le Parti et sont partis se réfugier dans la Macronie pour sauver leur gamelle. Des couards, des pleutres, des lâches qui sont bien avancés aujourd’hui et seraient sans doute prêts s’il le fallait à aller pleurer chez Marine ou ailleurs. Et il faudrait être surpris de l’abstention record de citoyens qui n’ont plus confiance dans leurs soi-disant élites politiques ?
La NUPES dès aujourd’hui en est déjà à se déchirer. C’est « au théâtre, ce soir » !
La Macronie à échéance d’une année ou deux finira par se fissurer et le clivage Gauche – Droite réapparaîtra.
Le Parti « Les Républicains » ou un autre qui viendrait s ‘y substituer peut faire office d’arbitre. Et il peut reprendre de la vigueur s’il propose un véritable programme de gouvernement. En politique rien n’est jamais figé.
Ce sont les Éléphants du Parti Socialiste, apparus sur la scène politique il y a plus de trente années qui en s’accrochant désespérément à leur petit confort, ont coulé leur parti.
Chez nous, les Dinosaures de la Droite Républicaine ont failli en faire de même.
Nous devons travailler pour revenir aux affaires avant la fin de cette décennie en proposant des idées nouvelles que seuls peuvent apporter des militants nouveaux, sans renier les anciens qui ont pour eux, l’expérience. Si nous sommes capables de surmonter les egos. Si nous sommes capables d’intégrer des jeunes, courageux, volontaires. Ils existent. Mais il faut leur faire de la place.
La Droite Indépendante, Républicaine et Populaire est à la veille de trouver un nouveau souffle si nous le voulons toutes et tous ! »
Gersende
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RAPPEL : Avez vous confirmé votre présence jeudi 9 juin au Parc de Clairfont à Toulouges à 19 h 00 : 06 08 10 65 34 ou christinegavaldamoulenat@gmail.com
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Peut-être l’avez-vous constaté dans les médias, la période est agitée pour notre association.
L’agrément d’Anticor, qui lui permet d’agir en justice, a été prorogé jusqu’au 2 avril. La validité de cet agrément, créé en 2013 pour permettre aux associations anticorruption de se porter partie civile dans les affaires politico-financières, devait expirer le 15 février. La demande de son renouvellement n’a pas été tranchée dans le délai prévu de quatre mois et le gouvernement s’est accordé jusqu’au 2 avril pour instruire notre demande.
En parallèle, certains et certaines ont lancé une campagne de décrédibilisation de notre association dans les médias et sur les réseaux sociaux.
Nous déstabiliser c’est bien l’objectif de ces quelques-uns qui pensent qu’en nous dénigrant publiquement, nos soutiens vont cesser de nous soutenir, nos donateurs de donner et nos adhérents d’adhérer.
Rien de tout ce que l’on nous reproche ne justifie une telle cabale médiatique, au demeurant savamment orchestrée. Ceux qui nous suivent sur les réseaux sociaux savent que nous ne sommes pas seuls : de très nombreux internautes nous ont manifesté leur soutien.
À cette campagne de diffamation, nous répondons : dans la presse, sur les réseaux sociaux et bien sûr directement à vous. À vous encore plus qu’aux médias nous n’avons rien à cacher, contrairement à ce qu’aimerait nous faire croire ceux qui nous attaquent.
Beaucoup nous demandent, mais que pouvez-vous faire pour nous aider ?
2 choses très simples :
– Nous organisons ce vendredi 26 février à 20h une séance de questions-réponses des internautes via un Facebook Live que vous pouvez rejoindre (voir informations ci-dessous). Il n’est pas nécessaire d’avoir un compte Facebook pour se connecter et si vous avez des difficultés d’affichage, pensez à rafraichir la page.
– Une adhérente d’Anticor a envoyé une pétition qu’elle a mise en ligne pour nous soutenir. Si vous le souhaitez, vous pouvez également la signer et la partager dans vos réseaux. Plus le nombre de signataires sera élevé, plus nous montrerons qu’Anticor n’est pas seule, que cette petite association porte les nombreux espoirs citoyens d’une démocratie saine. Signer la pétition.
Anticor ressortira grandie de cette affaire rocambolesque.
Courrier des lecteurs – Comité de lecture des lecteurs de Blog-Cabestany – Liberté d’Expression–
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« Les liquidateurs » ou « ce que le Macronisme inflige à la France »–
Le livre que plusieurs de nos lecteurs nous ont signalé cette semaine comme incontournable !
L’auteur de cet ouvrage écrit en préface : Emmanuel Macron , le 3 juillet, a dit : « Une gare c’est un lieu où l’on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien ! ». Je dédie mon livre à ceux « qui ne sont rien » !
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Jean-Paul vous en dit un peu plus :
« Peut être avez vous entendu parler récemment de « Capitalisme illibéral », une doctrine qui sévit depuis les années 80 et qu’il est difficile de définir sinon qu’il s’agit du « chacun pour soi ». Capitalisme débridé où le seul but est de s’enrichir soi même, quelques puissent en être les conséquences pour ces autres français des classes moyennes, trop bêtes pour avoir réussi à s’enrichir eux mêmes. Qui ne méritent rien d’autre sinon qu’on puisse « leur marcher sur la gueule ». Des citoyens qui ne méritent pas d’être gouvernés par une élite intelligente, lorsqu’eux mêmes ne sont que des veaux.
C’est la casse de l’industrie de la France, la casse de l’économie qui nous entoure, le libre-échange, la mondialisation à outrance, les fusions, absorptions, acquisitions, où l’on peut brader le patrimoine national à des vautours comme dans l’affaire Alstom qui était pilotée par le Ministre de l’économie Macron. Mais dégageant des honoraires scandaleux pour les banquiers.
Et on pourrait se référer au « Théorème de Scheer », à savoir qu’à chaque fois qu’on délocalise l’emploi d’un français dans un pays étranger, on laisse entrer un migrant de ce même pays dont on a aucun besoin. Mais la France est généreuse et se doit d’accueillir la misère du monde entier comme nous l’expliquent la Gauche et maintenant les Verts. Non seulement on va devoir assumer le chômage de ce français qu’on a privé d’emploi mais en plus par notre imbécilité – ou plutôt celle de nos dirigeants – on va accueillir ce migrant. Le loger, l’indemniser, prendre ses enfants à l’école. Un migrant qui tuera peut être l’un des nôtres mais la gauche lui trouvera toutes les excuses du monde.
Mais on vous expliquera que la France est devenue une « Start Up Nation » où l’on a uniquement de besoin de diplômés Bac + 5 (ou plus) car tout ce qu’on consomme peut être fabriqué loin de notre sol. Mêmes les médicaments.
Ou que la vocation de la France est de devenir un musée pour touristes du monde entier. S’ils reviennent un jour !
…………….
Et on a presque touché le fond lorsqu’on voit qu’il est interdit pour un industriel français de supprimer un emploi dans des pays comme la Chine ou la Turquie mais qu’on peut le faire – sans vergogne – sur notre sol.
Et pendant ce temps l’hôpital croule sous la bureaucratie, et ne peut plus accueillir les malades, les ponts sont sur le point de s’écrouler, l’école est malade, le logement devient inabordable, la pauvreté et les inégalités sévissent de plus en plus. La liste est bien plus longue.
Depuis 40 ans c’était la doctrine défendue par nos élites qui avançaient à petits pas. De façon masquée. Depuis 2017, nous avons un Président qui avance à pas de géant dans cette liquidation programmée de son pays et qui la revendique.
Il y a 20 ans Martine Aubry bradait l’industrie de l’exploration médicale de pointe (scanner, IRM) pour financer à court terme ses 35 heures. Depuis tous nos dirigeants bradent nos fleurons industriels, vendent nos aéroports (Toulouse), nos ports, et bientôt nos barrages. Et notre Président, appelé par l’Europe du sobriquet de « Petit Mozart de la Finance » voudrait bien faire exploser EDF. Son projet : brader notre patrimoine aux étrangers qui pratiquent une mondialisation perverse et déloyale. Jusqu’au ministre des finances qui dit ne pas savoir combien nous devons à la Banque Centrale de Chine !?
Mais la Droite est incapable de balayer devant sa porte et de reconnaitre ses erreurs. Quant à avoir des idées ….. La Gauche croit toujours à son grand retour. Et tout cela facilite l’opportunisme de celui qui dirige notre pays, nous méprise, mais se félicite de voir combien nous sommes des idiots prêts à le réélire ! »
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BLOG-CABESTANY : Merci Jean-Paul pour nous avoir signalé ce livre qui était passé sous nos radars mais qu’on a lu d’une traite, en numérique, sur notre tablette. Merci pour nous en avoir fait le commentaire ce qui nous a épargné de le faire. Et on aurait été probablement moins bons que vous ! On a juste raccourci votre texte car on aurait pu en faire plusieurs articles. Mais ne vous gênez pour nous écrire, nous instruire, nous soutenir. Merci
Courrier des lecteurs – Culture – Cercle des Lecteurs de l’Association Trait-d’Union-Cabestany – « Défendons la Culture » – « Nous sommes fiers de nos racines » – « Ils n’écrivent pas que pour nous mais nous autorisent à les reprendre » – Liberté -Liberté d’Expression – Ne nous laissons pas imposer ce que devrions lire, écrire ou penser ! »
Écrire une biographie de Charles Martel est un exercice compliqué. L’image de ce dernier a été complètement défigurée par les exploitations idéologiques qui en ont été faites, et finalement, bannie dans l’éducation nationale. En outre, fort peu d’informations à son sujet sont parvenues jusqu’à nous. L’ambition de l’auteur, historien du Moyen-âge, est d’écrire une biographie impartiale, débarrassée des oripeaux idéologiques et passionnels qui entourent cette figure clé de l’histoire, le créateur d’une dynastie. La réussite est totale et nous permet de disposer d’un ouvrage passionnant sur un homme et son époque.
Charles ne s’est jamais appelé « Martel » de son temps. Ce surnom évoquant le guerrier écrasant ses ennemis, lui a été attribué un siècle plus tard. Il est le descendant des Pépinides, une grande famille de l’Austrasie, la branche orientale du royaume franc, couvrant le nord-est de la France, l’actuelle Belgique, les Pays-Bas et une partie de l’Allemagne. Son père, Pépin d’Herstal, maire du palais (ou Premier ministre) des rois mérovingiens, régnait de fait sur l’Austrasie et la Neustrie, l’autre partie du royaume couvrant le Nord de la France actuelle.
Charles – prénom jusqu’alors inexistant chez les Francs – a pris la succession de son père à l’issue d’un concours de circonstances. Enfant « bâtard », né de la seconde épouse de Pépin (plus ou moins officielle), en conflit aigu avec la première, il s’impose à la suite du décès de ses demi-frères. Personnage plutôt discret jusqu’à la trentaine, son prestige s’affirme à la suite d’une succession de brillants succès militaires destinés à maintenir l’unité du Royaume franc contre les Neustriens avides d’indépendance (victoire d’Amblève en 716), la soumission des entités vassales de ce Royaume, la Bourgogne, la Bavière, l’Aquitaine, ou à combattre les ennemis hors du Royaume qui le harcèlent (Frises, Saxons).
Charles est aussi un politique d’une grande habileté. Il pouvait, à tout moment renverser les derniers Mérovingiens, totalement écartés du pouvoir et privés de toute influence, et se faire proclamer roi à leur place. Pour éviter de susciter les jalousie et la discorde chez les « grands » qui le soutiennent, il choisit de préserver la fiction d’un royaume mérovingien, sous la légitimité duquel il exerce les pleins pouvoirs. Ses rapports avec les évêques sont ambigus: Charles se fait haïr par la confiscation des biens de l’Eglise mais il contribue à l’évangélisation à travers son soutien militaire aux moines chargés par le pape de porter la bonne parole (Saint Boniface).
Le siècle qui couvre les années 650 à 750, donc l’ensemble de son « règne de fait », est l’un des plus obscurs de l’histoire européenne. La culture, la connaissance, toute trace de civilisation en ont disparu, même si elles survivent dans certains monastères qui ont le monopole de l’écriture et de la lecture. Aucune création littéraire ou musicale voire même architecturale de cette époque ne nous est parvenue. Charles qui parle une langue germanique, est lui-même probablement analphabète comme les nobles francs de son temps pour qui la seule valeur importante est l’art de la guerre. Les assassinats, les massacres, les anéantissements de population ou réduction à l’esclavage, à la suite d’un siège, font partie de la vie courante. La christianisation de ce temps, n’est qu’en surface et l’Evangile n’a guère d’influence sur la barbarie des mœurs politiques ou guerriers.
L’auteur s’attarde sur le fait d’armes le plus connu de Charles (dit Martel): sa victoire contre les Sarrazins au Nord de Poitiers en 732. Son ennemi, Abd al-Rahman, était dans la logique, non pas de simple razzia, mais de poursuite de l’expansion de l’islam après la conquête de l’Afrique du Nord et de l’Espagne. Ses cavaliers, alliées ponctuels des Basques, semaient la terreur dans l’Aquitaine, dévastant cette province qui était l’une des plus opulente des territoires relevant en principe du royaume. L’affrontement eut lieu à 20 km au Nord de Poitiers. Il opposait sur la route de Tours une dizaine de milliers de fantassins francs, sous l’autorité de Charles, allié à l’aquitain Eude, jusqu’alors l’un de ses plus redoutables adversaire, aux redoutables cavaliers d’Abd al-Rahman. La bataille, fait exceptionnel en ce temps, dure plusieurs jours. C’est la mort au combat de ce dernier qui provoque la débandade des Sarrazins. Les chroniques des historiens musulmans parlent d’une victoire des Européens, un signe divin emblématique qui pour la première fois, marque les limites de la conquête islamique. En revanche Charles, les Francs et les Aquitains, selon l’auteur, ne se plaçaient aucunement dans une optique de « guerre de civilisation » dont ils n’avaient guère conscience mais de résistance classique à un envahisseur qui menaçait le royaume.
Voici un livre passionnant, sur une des époques les plus troubles et les plus méconnues de notre histoire, le haut Moyen-âge, sur un personnage lui aussi méconnu mais dont le rôle fut absolument crucial dans l’histoire européenne, père de la dynastie des Carolingiens (son fils Pépin, dix ans après sa mort en 741, se fit couronner roi des Francs) et bien entendu, grand père de Charlemagne.
Maxime TANDONNET
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Blog-Cabestany : Merci, Maxime ! Et découvrez les autres ouvrages passionnants de Georges Minois sur la Guerre de Cent ans, Charlemagne, et toute une partie de notre histoire médiévale revisitée pour remplacer les images d’Epinal qu’on a tous en tête par un véritable travail d’historien.
Nos lecteurs nous écrivent que ces jours ci, (mais quand ?), la municipalité (Monsieur le Maire en faisait il partie ?) aurait inauguré ou ré-inauguré, et le refera sans doute chaque année ou chaque mois, voire chaque semaine sauf le dimanche, sauf Mardi Gras, un rond-point dédié au mouvement des Gilets Jaunes. A Cabestany ! Il faut bien trouver à s’occuper plutôt que de réparer les trottoirs ou retirer les racines des arbres sous les chaussées.
Pourquoi parler de cette péripétie « bouleversifiante » puisque c’est un non-événement. Pourquoi faire de la réclame à ce qui nous apparaît comme le comble du ridicule en matière de récupération. Il est où d’ailleurs ce rond-point ? Où on espère qu’il y sera édifié un totem jaune flashy le jour et lumineux la nuit, visible depuis toutes les communes de l’agglo ? Mais n’en concluez pas trop vite que nous aurions du mépris pour ce mouvement spontané citoyen que furent(ou sont encore)les Gilets Jaunes. Nous nous sommes intéressés, il y a deux ans, à l’automne 2018, à cette révolte des petites gens que les puissants méprisaient à tort. Et méprisent sans doute plus encore aujourd’hui ! A l’époque, à plusieurs reprises, nous étions allés vers eux. Pour voir si on pouvait les interroger, discuter avec eux, les prendre en photo. Pour les comprendre ! Ou du moins essayer. Un de nos amis, un « voileux » qui était allé pour juste les voir, un jour, au péage de l’autoroute, se sera enrôlé à leurs côtés et y aura passé plus de quinze jours oubliant de rentrer chez lui.
Il y a ceux qui nous ont laissé approcher et ont discuté avec nous. Des gens qui nous ressemblent. Qui se lèvent tôt le matin. Qui n’attendent pas les allocs en restant le cul dans leur fauteuil. Qui bossent et n’y arrivent pas alors que pendant ce temps là, la bourse monte. On pense à cette aide-soignante ou ce livreur de colis qui se reconnaîtront peut être mais on doute fort qu’ils nous lisent. Et ils sont des milliers dans leur cas à essayer de s’en sortir. Pour qui la fin du mois importe plus que la fin du monde. D’autres nous auraient bien cassé la gueule ou voulu confisquer notre appareil photo. Mais cela s’est toujours terminé en selfie, et autour d’un verre. Heureusement ! Mais il fut des moments où on ne faisait pas les fiers !
On aura plus ou moins compris pourquoi la plupart de ces gens revendiquaient. Et sont sûrement dans le même esprit aujourd’hui ! Dans une France dirigée par un banquier. Où la finance dirige tout. Mais on aura bien eu, récemment, un Président normal qui nous avait dit que son ennemi était justement cette finance. Le rigolo ! Il aura laissé son ministre, devenu hélas aujourd’hui notre Président, brader notre industrie qui travaillait pour le nucléaire. Aux Américains ! Alstom pour ne pas la nommer. Un Président destructeur de nos emplois. Qui nous parle de « start-up nation » mais pas de cette France où les voitures de marque nationale sont fabriquées chez son pote Erdogan. Il y a vingt ans, cette autre ministre socialo d’un gouvernement Jospin, bradait notre industrie de pointe sur les scanners et appareils d’explorations médicales. Déjà aux amerloques. Pour financer les 35 heures. Quel gâchis !
C’est terrible de penser à tous ces mauvais politiciens que nous avons fait la bêtise d’élire, de croire, qui nous gèrent si mal depuis tant d’années, quelle que soit leur couleur politique. Ces mêmes qui auront cassé l’hôpital et abîmé chaque jour, toujours un peu plus la France !
Pour revenir aux Gilets Jaunes, on pense à ce jeune couple de Baho, qui à l’époque avait endossé un gilet jaune, pris le train, et qui « montait » pour la première fois de leur vie à Paris. L’homme et son épouse découvraient les Champs-Élysées. Dans un nuage de gaz lacrimo. Il s’étaient retrouvés derrière de sinistres individus habillés en noir qui voulaient « casser du flic ». Des gens qu’on n’aurait pas du laisser approcher de la manifestation. Qui l’ont faite dégénérer. Mais n’était ce pas prévu par le pouvoir de tout faire pour décrédibiliser de braves citoyens ? Ce couple dont on parle a été séparé ce jour là dans la cohue. La femme brutalisée dans la mêlée ne sachant même pas si c’était des policiers et des casseurs qui l’avaient frappée. Ou les deux ? Ils se sont retrouvé le lendemain matin à la gare de Perpignan, sonnés, avec des bleus sur tout le corps. Ils étaient rentrés chacun de leur côté après s’être perdus à Paris. Ils nous ont raconté. Ils en rient depuis et c’est sans doute mieux ainsi. Et ils auront des souvenirs à relater, disent ils, quand leurs enfants auront eu eux mêmes leurs petits-enfants !
Et ce Grand Débat National, quelle pantalonnade, quelle mascarade. Quelle honte ! On aura compris que ces gilets jaunes, on les a roulés dans la farine, manipulés. Le Président a mis la main à la poche. Pas assez pour certains. Pas du tout pour d’autres. Mais ce mouvement était comme un bateau sans personne à la barre. Ne voulant pas s’organiser, il était prévisible que l’aventure se termine sans gloire. Pour peut être renaitre un jour et avec des violences. Selon des informations non vérifiées qui nous sont parvenues. Ce qu’on ne voudrait pas ! Et là, on ne les défendrait plus !!!! Ce lecteur qui nous dit être retraité de la gendarmerie nous donne son point de vue : « les gentils gilets jaunes qui défilent dans le calme, le pouvoir n’en a rien à foutre. Mais dès que les « black blocs » sortent d’une bouche du métro, le pouvoir fait dans son froc ! » (sic)
Une lectrice, qui s’appelle ou se fait appeler Julie, nous dit qu’elle était à l’intérieur du Centre Culturel, en janvier 2019, lorsque les communistes – selon elle – ont échoué à récupérer le mouvement. Sous les huées. Cela aurait pu se terminer en bagarre générale, dit elle. Elle ajoute : « Ah, ils ont beaux aujourd’hui les cocos à vouloir inaugurer leur rond-point ». « c’est vous qui le dites ». « c’est votre Liberté d’Expression ».
En janvier 2019, Alicia, notre correspondante était aussi au Centre Culturel à Cabestany. Mais pas dans la salle où se tenait une sorte d’Assemblée Générale de Gilets Jaunes qui n’avaient déjà aucune envie de s’entendre entre eux. De se faire récupérer par un quelconque parti ou syndicat. Alicia était sur le parking à l’extérieur et n’aura rien suivi de ce qui se tramait à l’intérieur. Elle aura vite compris que pour les Gilets Jaunes, la devise était : « Ni Dieu, ni maître ». Qu’ils ne voulaient pas de chef, pas de leader. Alicia nous disait avoir été pris à partie ce jour là par un grand escogriffe qui semblait vouloir la frapper et lui arracher son appareil photo. Puis qui s’est mis en tête de la draguer ! Et cela s’est terminé par le fait que plusieurs Gilets Jaunes ont voulu être pris en photo par Alicia. Pour montrer à leurs enfants. Allant jusqu’à lui donner leur adresse émail pour qu’elle leur envoie ces photos. Sans méfiance. Sans savoir qui elle était vraiment.
Finalement des braves gens, ces Gilets Jaunes… à l’époque !
Mais comme le dit tellement bien Julie : « Lorsque je vois certains essayer aujourd’hui de faire de la récupération politicienne, je me marre !!!! »Et nous donc alors ! N’est ce pas Colette ?
Et n’y avait il pas eu à la Mairie une séance de décrochage de la photo du Président dans des conditions mystérieuses et pour laquelle, nos lecteurs nous auront écrit TOUT. Et son contraire. Pas de quoi se faire véritablement une idée. Mais…. qui s’en souvient ?
Courrier des lecteurs – Liberté d’Expression – c’est vous qui le dites – Colette Appert communique –
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Ce 11 novembre 2020 était un jour de frustration. Celui de ne pouvoir aller honorer nos ainés au Monument aux Morts de Cabestany. Confinement oblige. Mais on s’abstiendra de critiquer ces mesures qui nous empêchent de circuler librement. Si seulement elle nous permettaient de reprendre ensuite, et rapidement, une vie normale. Quoiqu’on en doute ! Mais commençons par nous comporter en citoyens !
Ce même 11 novembre, on faisait entrer au Panthéon Maurice Genevoix. C’est bien ! Pourquoi ne l’avait t’on pas fait avant se demandent certains. Et combien auraient mérité d’avoir leur place au Panthéon ?
Avez vous vu passer il y a à peine quelques jours, cette pétition pour faire entrer au Panthéon « Verlaine et Rimbaud, ensemble ». ENSEMBLE, parce qu’on prétend qu’ils entretenaient une relation amoureuse bien que chaotique. Pas vraiment bien vue à l’époque mais de bon aloi pour nos philosophes de bazar actuels qui voudraient peut être en faire la norme dans nos mœurs. Et panthéoniser un couple de même sexe. Quelle symbole ! En attendant de nous dénicher un « transgenre » ? Et Baudelaire, c’est du « pipi-de-chat » ? Quand des intellectuello-droitistes voulaient y faire entrer l’un, dénigrant l’autre. Et les intellectuelo-gauchistes l’autre, dénigrant le premier. Mais j’ai oublié qui défend qui et on s’en fout complétement. Et n’y a t’il pas des problèmes plus urgents à résoudre ? Loin d’un clivage Droite-Gauche.
Mais « si tout le monde devait entrer au Panthéon….. » disait ce philosophe qui se reconnaitrait s’il était encore des nôtres. Qui disait que c’est au fait qu’on n’y entre pas qu’on reconnait ceux qui ont des mérites. Lui n’y entrera sans doute jamais. Quoique ? Il avait, selon nous, le tort de tourner en dérision cette phrase figurant au fronton de l’édifice : « Aux grands hommes, la patrie reconnaissante ». Une devise présente depuis la Révolution, où le drapeau républicain fait face à la croix chrétienne. Où les statues de la Révolution française côtoient les peintures religieuses. Car le Panthéon était à l’origine une église. C’est Louis XV dit « le bien aimé », gravement malade, qui avait fait le vœu d’édifier un édifice religieux majestueux dédié à Sainte-Geneviève en cas de guérison. Et aussi pour essayer de s’attirer à lui les bonnes grâces, dit on, de ces catholiques qui subitement, après bien des siècles, se mettaient à se méfier de la monarchie. Il fallait réconcilier Chrétiens et Royalistes ! Louis XVI, lui, ne sera pas le bien-aimé de son peuple. On est à cent lieues de la République !
Emmanuel Macron aura eu raison de faire entrer Maurice Genevoix au Panthéon. Un Président qui par ailleurs, dit il, serait un admirateur de Charles Péguy. Comme nous alors ? Se doit on de le croire ? Pourquoi pas !
Guillaume Appolinaire, Alain-Fournier, Louis Pergaud et tant d’autres.La liste est longue de nos grands écrivains tombés pour la France durant la Grande Guerre. Mais des noms que vous ne trouverez peut être pas sur Instagram, ou WhatsApp ou Tik Tok !!!
Tout ceci pour répéter que ce n’est pas sous un prisme Droite-Gauche qu’aussi bien Colette Appert que nous mêmes traitons des problèmes ! Mais avec le regard de citoyens soucieux de leur Liberté d’Expression !
En ce 11 novembre Colette Appert NOUS représentait au Monuments aux Morts à Cabestany. NOUS, c’est à dire comme l’écrit un de nos amis, « nous les hommes (et les femmes) de bonne volonté ». Inutile d’en dire davantage ! Mais en vertu de quoi, en tant qu’élue du peuple, ne serait t’elle pas l’une des représentantes de tous les Cabestanyencs quelles que fussent leurs convictions. Légitime. Et à ce titre ayant le droit de s’exprimer au nom de TOUS ! Et c’est bien ainsi qu’elle le fait !
Car constatant l’état de manque d’entretien de ce monument, Colette Appert se fendait d’un communiqué aux différents médias locaux. Repris par exemple par Ouillade.
le communiqué : Colette Appert, élue de la Droite Républicaine au Conseil municipal de Cabestany, communique :
« Quel choc lors de mon arrivée devant le monument aux Morts de Cabestany ce 11 novembre 2020. Celui-ci était jonché de feuilles mortes et de saletés en tout genre. Aucun respect pour cette commémoration si importante pour le devoir de mémoire que je soutiens ardemment. Il m’a été rétorqué par une adjointe présente sur le lieu : «On le nettoiera demain»… Ce jour samedi 14 novembre toujours rien n’a été fait. Aussi avec une colistière de mon équipe nous avons nettoyé le monument. Ce geste nous le voulons citoyen mais surtout respectueux pour les morts de toutes les guerres. Ces hommes sont tombés au combat pour que nous vivions libres. Il est intolérable que leur sacrifice soit ainsi bafoué. Honte à cette Municipalité qui ne respecte rien. L’état du monument aux Morts n’était pas lié à des incivilités mais bien à du mépris ».
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Il existe également plusieurs photos. Comme celle que nous reproduisons ci-dessus. Le masque jeté au sol n’a pas été rajouté. Plus un tas d’autres saloperies dont on vous épargnera l’inventaire. Il ne s’agit pas d’une photo montage. On peut le prouver ! On partage le sentiment de Colette. On lui donne mille fois raison. On la remercie de nous représenter. Et comme on est loin des polémiques politico-politiciennes.
Quant à ces masques qui trainent partout, hélas, sur nos trottoirs, comme à Perpignan ou ailleurs, ce sont bien les citoyens qui sont à mettre en cause pour ce manque de civisme !
Combien de fois avons nous demandé qu’on aménage l’espace devant ce monument ? Qu’on empêche les bagnoles de s’y garer. Qu’il y ait des bancs pour nos anciens qui veulent s’y recueillir. Qu’on en fasse un espace préservé et respecté. Qu’on achète un balai. Que quelqu’un s’en soucie. Qu’on fasse montre d’un minimum de respect. Comme Colette Appert a raison !
EtCharles Péguy écrivait :
Heureux ceux qui sont morts pour la terre charnelle, Mais pourvu que ce fût dans une juste guerre. (…) Heureux ceux qui sont morts dans les grandes batailles, Couchés dessus le sol à la face de Dieu (…) Heureux les épis mûrs et les blés moissonnés »
« Demain 11 novembre, portez un bleuet à la boutonnière » écrit Danielle à Blog-Cabestany !
Danielle dit :« Demain, à cause du confinement, vous ne pourrez assister aux cérémonies du 11 novembre. Des cérémonies qui se limiteront la plupart du temps au dépôt d’une gerbe par un Maire, seul, un ancien combattant, non accompagné, au Monument aux Morts de votre ville.
Mais vous pouvez porter un bleuet symbolique sur votre vêtement. Un morceau de carton, de papier bleu, un dessin crayonné, découpé avec des ciseaux que vous attacherez avec une épingle, même en restant chez vous, et vous participerez à l’hommage rendu par tous les citoyens de notre Nation. »
Et si vous voulez faire un don pour toutes les victimes, on y associe les victimes du terrorisme :
Blog-Cabestany : Demain, chère amie Danielle, Colette Appert mais tous les Cabestanyencs seront solidaires et rendrons un hommage, chacun à sa façon, à nos Ainés ! Tout comme, dans la discrétion, avec nos amis du Cercle Gaulliste de Réflexion Politique et Sociale, nous avons rendu hommage à celui que nous gardons 50 ans après encore dans notre coeur !
COURRIER DES LECTEURS – C’EST EUX QUI LE DISENT – LIBERTÉ D’EXPRESSION –
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le logo du site dont nous vous parlons
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« DROITE DE DEMAIN » : un joli site internet mais au delà ? s’interroge Jean Marc qui écrit à Blog-Cabestany ! Jean Marc qui rajoute : « De Gaulle se présentait comme le Président de la France avant d’être celui des Français. Et il écrivait (je cite) [« Je me place au dessus des Partis (politiques) et des chapelles. Je prends mes décisions pour le bien de la Nation et de ses citoyens. Pas pour défendre les intérêts d’une poignée de Français ou pour me faire aimer des autres »]
Nous lui répondons :Jean Marc, tout comme vous, l’un de nos rédacteurs a été contacté, à plusieurs reprises – par mail – par une équipe qui s’appelle « Droite de Demain ». Qui prétend bien nous connaître, apprécier la pugnacité de Colette Appert et de ses colistiers, semble avoir déjà lu notre blog, et penserait de nous le plus grand bien !?!?
Blog-Cabestany, un bien modeste blog, a certes un vaste réseau, qui comprend des élus ou anciens élus au plan national ou régional, dans bien des endroits de l’hexagone, ou en Corse. Nous avons encore bien des amis journalistes ou qui l’ont été et écrivent encore ou écrivaient pour des titres prestigieux. L’un de ses rédacteurs est toujours Secrétaire-Général Adjoint d’un Cercle Gaulliste qui fut – jadis – influent. L’une de nos proches amies, qui fut il y quelques années déjà, stagiaire à l’Élysée du temps de Nicolas Sarkozy, est aujourd’hui une politologue reconnue, bien renseignée, et elle nous informe au jour le jour. Mais est ce que tout cela ne représenterait pas le « monde d’avant » pour lequel cette équipe n’aurait peut être pas, tant que cela, de considération ?
D’ailleurs peut être que cette équipe inconnue – pour le moment – a raison et il est peut être temps de balayer le passé ? Mais selon notre opinion, pas sans oublier notre Histoire, nos traditions, nos racines. Sans oublier qui nous sommes et d’où nous venons. Peut être est il temps en effet de tourner la page ? Mais si c’est pour faire pire qu’avant comme cette triste expérience que nous vivons avec ce nouveau Président de la République que nous n’avons pas choisi car sinon nous en éprouverions de la honte. Qu’en pensent ceux à gauche ou à la gauche de la gauche qui l’ont propulsé au pouvoir ? Ils seraient prêts à le réélire nous disent ils !
Un joli site Internet mais on commence par nous demander des sous. Il est vrai que sans ressources on ne va pas loin. On en sait quelque chose à Cabestany où pour les municipales le manque de moyens nous a pénalisé. Et Blog-Cabestany fermera son site peut être plus tôt qu’il ne le souhaiterait pour des raisons financières, mais on ne vous demandera jamais de mettre la main à la poche.
Notre devoir est de vous informer. Le vôtre de vous faire une opinion par vous mêmes. Le site, si vous avez envie d’aller voir : (juste un clic ci-dessous)
Louis, l’un de nos fidèles lecteurs, originaire de Saint Cyprien, étudiant à Montpellier, a la gentillesse de nous informer que le Général Pierre de Villiers s’apprête à faire paraître son dernier livre – sans doute cette semaine – intitulé « L’équilibre est un courage », chez Fayard.
Cher lecteur, ne nous en voulez pas mais on a un tramway d’avance sur vous. L’un de nos rédacteurs fait partie de façon bénévole, d’un certain Comité de lecture, et reçoit de nombreux livres avant leur parution. Pour qu’il donne son avis selon des critères très précis qui lui sont définis par les éditeurs.
Il nous a donc parlé de cet ouvrage qu’il a lu avant le public mais il n’avait pas le droit de nous le prêter avant sa mise en vente officielle. Mais comme le livre trainait sur son bureau !!!
On l’a parcouru assez vite et on le relira de façon plus attentive avec grand plaisir. On en aura retenu que vu au travers du prisme de sa brillante carrière et avec sa vision de militaire de haut range, Pierre de Villiers tire un constat sur la France d’aujourd’hui. Un pays écartelé et divisé par des fractures multiples : éducatives, sociales, religieuses. Avec des inégalités importantes entre ceux qui sont sous le seuil de pauvreté et ceux qui s’enrichissent sans travailler. Ce qui plombe la France est bien que nos élus ne pensent qu’à leur petite carrière, leurs intérêts personnels, leur réélection, raisonnent à court terme, et manquent de vision d’avenir pour notre pays dans un monde qui devient hostile, dangereux, instable.
Le moment est sans doute venu pour ceux qui nous gouvernent de montrer du courage et d’exercer une autorité ferme mais reposant sur des réelles compétences. Mais le moment est également venu pour les Français de respecter cette autorité, de ne pas mélanger la politique, le corporatisme, le syndicalisme, la religion, son origine ethnique ou culturelle et de comprendre que si chacun a des droits, il a aussi des devoirs. Et que la France a une Histoire qu’on ne peut – et qu’on ne doit pas – effacer d’un coup d’éponge !
Certains verront peut être dans ce livre l’amorce d’un programme politique ambitieux. D’autres, au contraire un simple constat qui ne présage en rien de la volonté de l’auteur de faire de la politique et de se lancer dans l’arène. Nous, on a pas réussi à se mettre d’accord sur le même avis !
Pierre de Villiers a rencontré de nombreux français et a ressenti leur angoisse. Il y a les citoyens qui veulent s’en sortir par le haut et raisonnent de façon positive. Mais d’autres qui voient tout de façon négative, pensent qu’il nous faudra toucher d’abord le fond avant d’essayer et de réussir – ou non – à remonter à la surface. Et le fait qu’il n’y ait pas de réel consensus entre les Français, et que certains ne pensent qu’à les diviser, est sans doute la cause de tous nos problèmes.
Nous, on y a vu un excellent livre à mettre dans notre bibliothèque dès qu’il sera en vente. Mais on attendra sans doute que vous soyez nombreux à l’avoir lu et à nous en avoir parlé, pour en discuter plus avant.
C’est par notre grand ami Christophe*, d’Ajaccio, que nous avons pu prendre connaissance parmi les tous premiers lecteurs, du dernier livre de Patrice Franceschi. Nous n’avons pas la chance de le connaître mais nous avons plusieurs amis en commun : Christophe, Blanche la fille de Henri, Gersende, et bien d’autres.
Tout comme Christophe, Patrice Franceschi est Corse, mais de Bastia et né à Toulon. Il est journaliste, grand reporter, correspondant de guerre. Il est également écrivain, essayiste, romancier. Prix Goncourt. Président d’associations. Président d’une O.N.G. Il se dépeint lui même comme « explorateur ».
L’ami Christophe a croisé Patrice Franceschi, il y déjà quelques années en Afghanistan, dans une zone de guerre, quand ce dernier partageait au jour le jour la vie et la lutte de combattants anti-talibans, et le danger de ceux qui veulent seulement « rester libres ». Quitte à y perdre leur vie !
Christophe, qui connait bien le moyen-orient, qui a résidé au Liban où il a encore beaucoup de contacts, n’est pas allé en Syrie récemment, mais le livre de Patrice Franceschi qui a vécu au milieu des Kurdes la lutte contre Daech, l’a bouleversé. Tout comme nous !
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Le titre du livre, sorti depuis en juillet , et même disponible en téléchargement, est :
« LES KURDES, CE QUE LES AVOIR ABANDONNES DIT DE NOUS »
Au recto de ce livre, il est écrit : « Nous avons abandonné nos alliés Kurdes face aux visées d’Erdogan, au mépris de nos engagements dans la lutte commune contre Daech. Comment justifier une telle trahison qui va à l’encontre de nos valeurs comme de nos intérêts. Que dit elle de notre civilisation ? »
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Pour Blog-Cabestany, l’un de nos amis, Nicolas le professeur d’Histoire écrit : « cela ne rappelle t’il pas Munich et comment nous avons cédé en 1938 devant Hitler. Churchill disait : « nous avons cédé au déshonneur pour éviter la guerre. Et nous aurons eu, et le déshonneur et la guerre ! »
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#Christophe Paoli est Corse, d’Ajaccio, ex grand reporter et correspondant de guerre. Photographe dont certaines photos ont été exposées à Perpignan pour avoir couvert le Kosovo. Membre d’un certain Cercle Gaulliste que nous connaissons bien ! Il est aujourd’hui un journaliste indépendant qui anime un réseau social qui n’est pas visible de tous, sur Internet. Il participe également à la rédaction d’une lettre de diffusion confidentielle, envoyée par mail, où il dévoile, uniquement pour ses abonnés, des informations qu’on ne trouve généralement pas dans les médias. Et pour laquelle il a souvent bien des ennuis car la vérité dérange ceux qui ne voudraient pas qu’on la connaisse. Ce n’est que la lutte quotidienne, banale mais non moins courageuse, de tous ceux qui œuvrent pour la Liberté d’Expression ! Pour notre Liberté !
L’AMICIS ou Cercle gaulliste de réflexion politique et sociale communique sur la disparition de l’un de ses fidèles amis, et précieux soutiens : Denis Tillinac.
Blog-Cabestany était aussi très proche de l’ami Denis !
L’ami Denis ne montrait guère ses émotions mais si nous le connaissions bien nous savions qu’il lisait dans nos pensées, et qu’il pensait peut être la même chose que nous ! Un homme de bien. Un brave homme. Qui se disait contemplateur de ses frères les humains. Commentateur de son siècle.
Il avait écrit près de 50 ouvrages : romans, essais, et même de la poésie. Journaliste à contre courant de la « pensée unique ». Féru de littérature. Sachant revisiter les plus grands écrivains classiques comme Chateaubriand. Ennemi du « politiquement correct » et de la langue de bois.
Il avait écrit entre autres : « du bonheur d’être réac » pour démontrer avec humour qu’il ne l’était pas mais surtout pour dénoncer ces « gauchistes de bazar », « progressistes à la gomme », et tous ces sectaires bornés qu’on trouve à la gauche de la gauche. Des demeurés toujours prompts à vous parler du « progressisme » comme s’ils savaient ce que cela voulait dire. Et considérer tous ceux qui sont moins bêtes qu’eux comme des « réacs ».
Fils de paysans, attaché à son terroir, catholique, grand érudit, il était de ceux qui considèrent que l’on ne peut vivre sans des racines. Racines de son terroir, de son pays, de sa culture, de ses ancêtres. Les Français ont les leurs, quelles qu’elles soient, critiquables ou non, et les remettre en cause n’est que couardise et lâcheté ! Et ceux qui veulent déboulonner les statues sont des médiocres, des minables et….. des impuissants !
Il refusait de se faire influencer par qui que ce soit, quitte à se tromper, disait il. Mais au moins, si je me trompe, ce seront mes propres bêtises et pas celles des autres !
Il répétait cette phrase comme un leitmotiv : « Les hommes politiques dignes de ce nom doivent être intrépides ». Il respectait le courage en politique, une qualité tellement rare chez nos dirigeants et nos élus. Et méprisait ceux qui gouvernent en essayant de faire plaisir à tous et qui au final sont détestés de tous. Selon lui, un homme d’état devrait être respecté, élu ou réélu pour ce qu’il fait. Pour les promesses tenues. Aujourd’hui, on élit quelqu’un pour ce qu’il ne fait pas, ou parce qu’il ne fait rien !
Il débordait d’idées, de projets, et ne parlait que d’avenir, lorsqu’il a été foudroyé brutalement.
Salut Denis !
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Blog-Cabestany : notre amie Gersende, ex sciences-po, politologue, avait occupé le bureau mitoyen du sien lorsqu’elle avait était stagiaire à l’Élysée, en 2008. Et nous avions plusieurs fois devisé avec lui il y a une vingtaine d’années à Paris en partageant un pot au feu, un petit salé aux lentilles, un aligot ou une blanquette à l’ancienne. Il avait une sensibilité gaulliste proche de la nôtre !
Éternelle faiblesse des « démocraties », dans les années 1930 comme aujourd’hui.
Et quand elles se réveillent, il est déjà trop tard. La bataille contre le terrorisme islamiste ou le djihadisme était perdue quand un Premier ministre français en 2015, en pleine terreur, déclarait « Il va falloir s’habituer à vivre avec le terrorisme », ces paroles défaitistes.
L’attentat à l’arme blanche qui a fait deux blessés graves dans l’ex-quartier de Charlie hebdo est un signal dramatique: n’importe où, même en ce lieu les plus emblématiques, les tueurs peuvent frapper. Dans ce combat sans merci contre le mal absolu, une terreur qui a causé plus de 260 morts en cinq ans, tout le nécessaire n’a pas été fait. La pacifisme d’hier est l’angélisme d’aujourd’hui.
La France d’en haut, des élites dirigeantes ou influentes, médiatiques s’est abîmée dans la compromission: excuses envers les tortionnaires de Charlie (et du Bataclan) de la part de supposées autorités morales; décisions invraisemblables des juridictions empêchant des mesures de sécurité envers les terroristes et l’usage d’Internet; climat de complaisance générale envers les actes pré-djihadistes, tels que les agressions violentes commises envers des jeunes filles en raison de leur tenue vestimentaire; profondeur et virulence des tabous relatifs à la maîtrise des frontière (un sujet lâchement abandonné aux extrémistes démagogues) et à la lutte contre le communautarisme ou la violence des cités; peur des mots (« séparatisme » plutôt qu’islamisme ou djihadisme), reflet de la peur des réalités et de la politique de l’autruche.
2020 = 1933-1939: même réflexe de lâcheté, même pacifisme, même défaitisme, même compromission conduisant à l’apocalypse.
Maxime TANDONNET
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pour retrouver l’article original juste un clic ci-dessous :
Blog-Cabestany :quand nous reprenons, avec son autorisation, un article écrit par un autre, nous nous engageons à ne pas y rajouter nos commentaires. Sinon nous l’aurions écrit nous mêmes. Mais pourquoi faire ce que d’autres font tellement mieux que nous !
« les chiens aboient, la caravane passe ». Des mots que l’on prête à Lysimaque « le Macédonien », disciple d’Aristote, Général qui conduisait l’une des armées d’Alexandre le Grand. Arrivé en Anatolie, au 4ème siècle avant Jésus-Christ, il doit passer par un défilé. Les ennemis, des barbares, dix fois supérieurs en nombre, hurlent et gesticulent dans le plus grand désordre, savourant déjà leur victoire. Ils excitent de grands chiens, des dogues assoiffés de sang qui aboient pour faire peur. Lysimaque fait croire qu’il n’est que l’avant garde d’une puissante armée qui aurait établi son campement en arrière à un jour de marche de là. Les ennemis et leurs chiens, pressés d’en découdre, se précipitent sur le lieu supposé de cette armée qui n’existe pas et abandonnent leurs positions. Pendant ce temps, Lysimaque franchit le défilé avec sa caravane sans combattre. « Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage » écrivait le fabuliste Jean de la Fontaine.
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La campagne des municipales est déjà loin derrière nous. L’élection date maintenant de six mois. Il n’y aura eu qu’un tour. Et on ne va pas se lancer dans la prochaine campagne. Cela n’aurait aucun sens.
Et pour tout dire chez Blog-Cabestany on n’a plus l’envie. On a perdu l’inspiration. Nos soutiens institutionnels, eux mêmes, ne voient pas ce qu’ils pourraient nous apporter de plus en dehors de toute période électorale. Seule une large partie de nos lecteurs nous reste encore fidèle. Car il est d’autres priorités en cette période et nous sommes bien d’accord avec cette analyse.
Blog-Cabestany n’a jamais cherché à se confondre avec l’opposition. Ni à interférer par son action. Chacun son rôle ! Ce sont d’anciens journalistes qui nous auront enseigné les règles de ce qu’il convient ou non de faire. Nous avons soutenu Colette Appert – sans réserves – car telles étaient nos convictions qui d’ailleurs n’ont pas changé. Nous continuerons donc de le faire car pour nous l’opposition à Cabestany c’est ELLE.
Beaucoup de nos concitoyens ne se sont pas déplacés aux urnes à cause de la situation sanitaire engendrée par ce virus envoyé par l’une des plus inquiétantes dictatures communistes à avoir jamais sévi sur notre planète. Qui a inventé des nouveaux moyens pour nous dominer économiquement. Et qui ne cesse de renforcer son potentiel militaire. Pourquoi ? Mais en ce qui concerne l’élection à Cabestany on ne refera pas la match. La démocratie a parlé. Et avec deux listes d’opposition, l’une de Droite et l’autre placée sous le signe zodiacal du « Caméléon », à quoi pouvait t’on s’attendre d’autre ? Les vainqueurs auront été élus avec les voix de moins d’un électeur sur cinq. ALORS…. est ce vraiment une raison pour nous faire supporter ces débordements d’auto satisfaction intempestifs qui ne sont à nos yeux que des bouffonneries ? Cela justifie t’il ce mépris affiché à notre égard et qui n’élève guère le débat ?
NOUS… on sait que l’on s’en reprend pour six longues années de gouvernance improbable et brouillonne. D’endettement continu. De constructions bâclées, hideuses, non fonctionnelles. De budgets non préparés, improbables où l’on fait n’importe quoi et lorsque l’addition arrive, pour la payer et boucher les trous, on fait les poches des citoyens.
Oui, on a bien envie de se mettre en retrait sauf que les vainqueurs dans cette ville n’ont hélas pas la victoire modeste. Il suffit de lire ce qu’on nous envoie. L’un d’entre vous nous écrit, à nous qui comptons plusieurs gaullistes dans nos rangs : « vous les fachos on vous a donné la punition !? » (pour les communistes tous les autres sont sans doute forcément des fachos). Ou, pour paraphraser le film « Les Tontons Flingueurs », on reçoit : « C’est aux quatre coins de Cabestany que aussi bien vous, que P…, ou Colette, on a éparpillés par petits bouts, dynamités, dispersés, ventilés façon puzzle»
Pauvres fous que vous êtes, aussi vaniteux qu’inconséquents ! Mais peut être n’est ce qu’une stratégie pour nous provoquer ? Et personne ne nous oblige à tomber dans le panneau !
Pourtant, en lisant les commentaires que nous adressent nos adversaires, on comprend immédiatement la mentalité dominante dans cette ville où la majorité ne pense qu’à diviser plutôt qu’à rassembler. Pourquoi la gestion de la ville est elle accompagnée de tant de sectarisme et de discrimination plutôt que de considérer que tous les citoyens devraient être unis pour affronter les mêmes problèmes. Ce en quoi on a besoin de l’opposition. La stratégie de la mairie étant le signe d’une idéologie qui s’accroche comme un mollusque sur son rocher. Mais une idéologie à l’agonie !
Et puis pourquoi nous balancer dans les gencives la victoire de Monsieur Aliot comme une offense dont nous serions responsables ? C’était à Perpignan et pas à Cabestany. Et la victoire de Louis Aliot, même s’il n’est pas de notre camp, est aussi légitime à nos yeux que celle de Jean Vila. Et quel rôle auront bien pu jouer les « marcheurs » lorsqu’on nous explique qu’au premier tour un candidat étiqueté Marine fait le plein de ses voix et que son score ne pourra jamais être supérieur au deuxième tour ? Car on présuppose, mais ne sommes pas devins, que la Gauche n’a pas voté pour Monsieur Aliot au deuxième tour.
On pense que nos élus de l’opposition ont bien du courage et il va leur en falloir. Et en ce qui concerne Colette Appert on n’a aucun inquiétude sur le fait qu’elle continuera de faire ce qu’elle a toujours fait : défendre nos intérêts. Respecter ceux qui se sont déplacés pour voter pour elle.
Mais ne vous attendez pas à ce qu’on écrive tous les jours sur ce Blog alors que vous faites tout – et plus encore – pour nous provoquer. « Les chiens aboient, la caravane passe ! » disait donc Lysimaque, il y a seulement 24 siècles. Ne nous confondez pas avec ce pauvre taureau dans l’arène qui fonce aveuglement sur la cape du toréador juste parce qu’elle est rouge. La couleur des cocos !
–La tribune de l’opposition dans le numéro de septembre 2020 du Cabes’infos
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Pour l’opposition c’est la rentrée à Cabestany. Pour Blog-Cabestany, le fait marquant est le départ sous d’autres cieux et pour des raisons professionnelles et affectives de la délicieuse Alicia dite « la chipie ». Nous avons perdu notre muse et notre petite fourmi travailleuse. Nous avons perdu la chef d’orchestre de notre blog.
Qui…. maintenant pour répondre désormais à vos mails de façon personnelle à 3 heures du matin, nous prendre au téléphone le dimanche après midi pendant la sieste, suivre les événements mondiaux sur C.N.N., rédiger le prochain article du Blog sur sa tablette, allongée sur la sable à Canet, tout en préparant le prochain cours magistral pour ses étudiants ?
Qui… maintenant pour être disponible 365 jours par an et 24 heures sur 24. Et bénévole, avec une bonne imprimante, connaissant bien la galaxie Linux, et capable d’écrire sans fautes ?
On a bien reçu quelques propositions mais le Collectif de Blog-Cabestany a ses exigences. Un/e candidate d’un niveau maitrise ou doctorat, mais aussi d’une grande culture, littéraire mais un peu scientifique, féru d’Histoire, artiste, polyglotte, connaissant l’informatique, s’intéressant à la politique, la géopolitique. Sportif et écolo. Capable de dévorer les médias à peine sorti du lit. Avec un carnet d’adresses impressionnant. Bénévole, dévoué, et souriant. Heureusement on en demande pas autant à nos ministres !
Et avec des idées de Droite, et prêt à soutenir Colette Appert sans réserves. Et pourquoi pas Gaulliste ? Et pas question de lui laisser les mains libres !
Quelqu’un aimant les Catalans, mais aussi les Bretons ou les Corses ! Quelqu’un ayant du respect pour les Anciens Combattants, nos Ainés, les Pieds Noirs et bien d’autres que cette Mairie parait délaisser.
Quelqu’un qui aurait de bonnes connaissances juridiques, capable de se débrouiller avec nos webmasters Montpelliérains, nos hébergeurs américains qui n’en veulent qu’à notre Carte Bleue. Mais préférerez une American Express ! Quelqu’un/e capable aussi de se coordonner avec ceux qui ont concourus jusqu’à aujourd’hui à la rédaction de Blog-Cabestany. Une avocate à Paris, des profs de littérature Normands et Niçois, un prof d’histoire à Versailles, des journalistes ou anciens journalistes à La Baule, Dinard ou Paris, des élus ou anciens élus qui nous soutiennent. Et la liste est loin d’être exhaustive.
Et puis quelqu’un ayant la fibre développement durable, mais pas de ces ayatollahs faisant de la politique plutôt que de l’écologie, vert à l’extérieur mais rouge dedans, amis des communistes, opportunistes jusqu’à la nausée, ne désirant que de voir la France envahie par des migrants.
Et quelqu’un qui comme nous déteste les Populistes, les extrémistes et Macron cet usurpateur qui nous gouverne mais qui pense plutôt à se reconvertir au Liban, ou chez General Electric.
Une perle rare quoi ! En attendant …….
Et vous chers amis lecteurs, qui êtes restés à Cabestany durant tout l’été, vous nous avez écrit que jamais vous n’aviez vu autant de visages inconnus trainer sur nos trottoirs. Regardant tout. Paraissant s’intéresser à tout, à nos maisons, à nos jardins, à nos voitures, à nos habitudes et nos déplacements. Allant jusqu’à sonner pour demander si c’est toujours la famille Sanchez qui habite la maison voisine où la boite aux lettres n’a pas de nom, et pour savoir si nos voisins – qui ne s’appellent bien sur pas Sanchez – sont partis en vacances et quand ils rentrent.
Sans faire partie d’une quelconque association nous aurons du jouer malgré nous les Voisins Vigilants. Nous faisant injurier ou menacer lorsque nous prenions note des immatriculations de certains véhicules étrangers à nos rues et semblant marauder. Et même des photos. Et l’un de ces inconnus nous aura lancé « heureusement que ce n’est pas comme cela dans tous les quartiers à Cabestany ». Que voulait il dire ? Mais il est des quartiers à Cabestany où les gens seraient naïfs et peu méfiants,selon vos dires. Ou aveuglés par une idéologie « Bisounours ».
On aura sonné à notre porte pour nous proposer dans une boite à chaussures des abricots qui auraient pu été cueillis à l’insu des propriétaires. Pour nous vendre les objets les plus divers et les plus hétéroclites, trop bon marché et dont n’avions pas besoin (tombés du camion?). On nous aura proposé de nous tondre la pelouse ou repeindre le casot (sans facture). Ou d’envoyer une « copine » venir faire le ménage chez nous.
Mais on connait hélas aussi, certains de nos amis, qui travaillant à Toulouse s’inquiètent pour leur avenir. Des petits commerçants ou artisans au bord de la faillite. Un ingénieur qui se propose de gagner sa vie et nourrir ses enfants en venant tailler l’olivier ou faire du bricolage ou n’importe quoi ! Et nous ne méprisons personne qui en difficulté est prêt à tout pour gagner sa vie. Mais honnêtement !!!
Une personne âgée nous aura demandé si elle n’avait pas eu tort de fermer sa porte à un couple parlant à peine le français qui lui proposait de lui montrer : » comment remplir le formulaire administratif pour demander une « indemnité de confinement » réservée aux plus de 65 ans ! Parce que çà existe ? Et on en passe. Et heureusement que nous ne sommes pas paranos, car pour la vente d’herbes aromatiques ou de farine, il n’y aura jamais eu de confinement. Ce monde devient cruel et dangereux sans parler de la menace virale qui pèse sur nos têtes.
Et il nous aura fallu intervenir pour faire sortir de la piscine de nos voisins partis en vacances une bande de jeunes venus de Perpignan et prétendant en avoir l’autorisation. Et avant de partir ils nous auront réclamé à boire, de l’argent, et menacés de revenir avec des copains à eux. « On va tout péter » étant leur seule façon de communiquer !
Ensauvagement de la société ? On n’a pas la réponse et on ne fera pas de la récupération politique mais puisque la mairie semble ne rien faire, à vous entendre, qui nous interdira de faire poser des grilles, des alarmes et même des caméras chez nous ? Qui nous redonnera un peu de cette confiance perdue ? A croire que nos élus de tous bords veulent nous jeter dans les bras des Populistes.
Et personne ne pourra nous empêcher de surveiller la maison de nos voisins, surtout s’ils sont âgés et de leur proposer de nous déranger à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit s’ils pensent avoir besoin qu’on les protège. C’est ce qu’on appelle de la Solidarité !
Lorsque la puissance publique ne fait plus rien pour le protéger, et il ne s’agit aucunement de mettre en cause nos policiers ou nos gendarmes, le citoyen a le droit d’assurer par lui même sa propre sécurité. Un devoir et une obligation pour sa survie. La défaillance de nos institutions, le laxisme ou la carence de nos élus nationaux ou locaux en étant la cause.
Bonne rentrée ! Et sans Alicia à quand le prochain article sur notre blog ? Ne soyez pas trop pressés !
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Si l’on ne répond plus de façon personnelle à vos messages, on est toujours capables de vous lire. Bon courage à vous tous qui nous écrivez encore, en ces temps difficiles ! Nous, nous ne lacherons rien !
Courrier des lecteurs – C’est eux qui le disent – Nous les relayons avec leur accord – Liberté d’Expression –
Image originale de l’article de Maxime Tandonnet
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L’article : « Le calvaire de la France » du 5 avril 2020
« Sommes-nous les derniers, nous la génération née du vivant du Général, à ressentir cette étrange et lancinante douleur? Une morsure de l’âme et de la chair qui ne tient pas à notre situation personnelle, mais à l’état du pays. Parmi les générations qui viennent après, la même douleur, la même brûlure se prolonge-t-elle? Voilà dix ans que la France accumule sans discontinuer les malheurs: cascades de scandales honteux (DSK, Cahuzac, etc.), vague d’attentats islamistes sanguinaires (260 tués), démocratie saccagée (présidentielles / législatives de 2017), un an de violences endémiques et destructions dues aux errements du pouvoir sur le taxe carbone (crise des Gilets jaunes), immense traumatisme que fut l’incendie de Notre-Dame, drame de la réforme des retraite et 40 jours de blocage du pays…
Aujourd’hui, cet atroce virus et une faillite de l’équipe dirigeante sans précédent depuis 76 ans. Ils n’avaient rien préparé, rien anticipé, ni sur les fermetures de frontières, ni les masques, ni les tests de dépistages, ni les moyens de réanimation. Ils ont juré pendant des mois, la main sur le cœur, que ces outils étaient strictement inutiles. Maintenant, ils affirment tout le contraire. Et droits dans leurs bottes, sans l’ombre d’un remords, d’une excuse. Entre temps, faute de masques, faute de tests et de capacités hospitalières suffisantes, le confinement a amplifié la ruine de l’économie et anéanti la liberté d’aller et venir. Neuf-cents personnes âgées mortes dans les EHPAD ont été oubliées des statistiques.
Et puis, comme un coup de grâce, la barbarie islamiste vient encore de frapper: à Roman-sur-Isère, un bourreau sanguinaire, réfugié soudanais, a lâchement et sournoisement tué deux hommes à coup de poignard et blessé cinq autres. Pourquoi ce crime atroce? Pour remercier la France, terre d’accueil? La terreur s’est rappelée à notre bon souvenir, accablant toujours un peu plus une nation humiliée et terrassée par les malheurs depuis dix ans.
La démagogie extrémiste de droite comme de gauche, n’a jamais rien réglé dans l’histoire. C’est par les armes de la démocratie parlementaire et référendaire que la France doit tenter de s’arracher à la logique infernale qui l’emporte au fond de l’abîme, en sanctionnant au plus tôt les auteurs d’un abominable fiasco historique et en confiant son destin à une équipe, non pas de magiciens narcissiques ou demi-dieux infatués, mais d’hommes et de femmes responsables n’ayant d’autre perspective que le retour de la nation protectrice et le service de la France. »
Maxime TANDONNET
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retrouvez cet article directement sur le Blog de l’auteur et découvrez ce qu’il écrit :
C’était il y a 75 ans, aujourd’hui ! Paris libéré !
Photo prise le 26 aout 1944, au lendemain de la Libération de Paris, devant la tombe du Soldat Inconnu à l’Arc de Triomphe avant la descente des Champs Élysées jusqu’à la Place de la Concorde. Puis les parisiens continueront la traversée de Paris en passant devant la Chambre des Députés, pour finir sur le parvis de Notre-Dame, symbole de la France Éternelle ! (Photo en provenance des Archives de l’Agence France Presse)
Rassurez vous, Paul, Valérie, Madeleine, Jonas, et les autres. Et à tous ceux qui sans doute vont encore nous envoyer un mail, comme ils le font chaque année à la même époque, rassurez vous disais je : on n’aurait pas oublié la date du 18 juin. Que vous soyez Cabestanyencs est sympa. Parisien, Havrais, tout autant. L’un d’entre vous qui nous écrit est Canadien. Et chez nous, au Québec, nous précise t’il, cette commémoration du 18 juin 40 a encore énormément d’importance. Peut être davantage qu’en France ! Je pourrais être tentée de reprendre ses paroles si j’avais mauvais esprit. Mais comme je n’ai pas de valeur de comparaison, je vais m’abstenir de parler de ce que je ne sais pas et raconter peut être n’importe quoi. Ce que je peux affirmer, c’est qu’à New-York, il y a deux ans de cela, j’avais pu constater que pour les Français installés là bas, cette date du 18 juin avait également une très grande signification. Peut être parce qu’ils sont éloignés de leur pays ? A Paris, aujourd’hui, notre dirigeant suprême qui est le successeur de celui qui avait lancé ce célèbre appel, prétend que « la culture Française n’existe pas ! ». Et à Cabestany, on a baptisé une place du nom du « 19 mars 62 », car comme on le sait cette date a – apparemment – plus d’importance aux yeux de certains que le sacrifice de tous ces Français qui ont combattu pour recouvrer notre Liberté ! Je n’ai aucune envie de polémiquer. Mais que personne ne m’empêche de regarder certains de mes compatriotes avec un certain dédain. Même s’ils n’ont, hélas, pas vraiment conscience qu’ils ne méritent guère mieux !!! Et que je pressens déjà qu’ils vont m’écrire un tas d’idioties sans intérêt !
Alicia
Blog-Cabestany : Merci, Alicia ! Nous n’aimerions pas que tu soies mutée par ton administration, loin de nous, à la rentrée de septembre. Ta plume, parfois acide, mais jamais méchante, nous manquerait beaucoup.
» Depuis bien des siècles, sur les cinq continents, dans un empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais, dit on, les britanniques montent à l’assaut, précédés de joueurs de cornemuse écossais. Cela les rassure. Cela impressionne l’ennemi. A plusieurs reprises, bien qu’inférieurs en nombre, les anglais ont vu leurs opposants déguerpir rien qu’en entendant la musique.
En 1914, dans la Somme, Anglais et Canadiens font perdurer la coutume. Lors des assauts, les sonneurs de cornemuse sont en première ligne. Fauchés par les mitrailleuses allemandes. Au point qu’on décide d’arrêter la tradition, pour de bon.
Le 6 juin 1944, ce sont 177 bérets verts français du Commando Kieffer qui débarquent sur une plage normande au sein d’une unité britannique. (10 mois après, le 8 mai 45, ces Français seront moins de 100 survivants, et à part un seul d’entre eux, tous auront été blessés au moins une fois mais parfois davantage et plusieurs d’entre eux resteront lourdement handicapés à vie). En ce premier jour sur le sol de France, les Anglais et les Français ont des objectifs militaires différents. Mais ils doivent se rejoindre, le soir même, au pont de Bénouville, qu’on surnommera Pegasus Bridge, par des itinéraires séparés, chacun devant arriver par un côté différent du pont, et essayer s’ils le peuvent, de prendre ensemble le pont, et surtout intact. Chose quasiment impossible !
Préserver ce pont est vital pour la circulation des camions et blindés alliés. Les Allemands, confiants, le considèrent imprenable. Les Français, bien qu’en retard sur l’horaire mais arrivés les premiers et ne sachant pas où sont les anglais, entreprennent et réussissent seuls à s’emparer du pont, miné et bourré d’explosifs, par un effet de surprise. Mais hélas non sans pertes. Un bombardier allemand lâche alors une énorme bombe sur le pont. Miracle. Celle ci n’explose pas, rebondit sur le pont et finit dans l’eau. Mais où sont les Anglais ? Encore plus en retard que les Français car ayant du livrer plusieurs combats en cours de route. Réussiront ils à se rejoindre. Et à quel moment ?
Et c’est à ce moment qu’on entend la cornemuse résonner au loin. Les Français ont quand même le temps de faire chauffer de l’eau pour les Anglais qui à peine arrivés vont commencer par faire du thé. Et découvrir très vite le Calvados apporté par les habitants du coin. Et on entendra le son de la cornemuse et des chants jusqu’à une partie avancée de la nuit au milieu des bruits d’explosions, du canon, des bombes, car sur la côte, à seulement quelques kilomètres, les combats meurtriers se poursuivent. On y voit même comme en plein jour. Pour ces combattants modestes, l’exploit de la prise de ce pont, et la fraternité entre Anglais et Français réunis, fait entrevoir l’espoir d’une issue favorable à cette terrible guerre contre les Nazis. L’événement les dépasse. Pour le reste du monde : il s’agit d’un symbole fort dont eux mêmes ne prendront conscience que bien plus tard !
Durant 55 ans, jusqu’à sa disparition, fortement diminué les dernières années, le sonneur de cornemuse, Bill Millin, reviendra chaque année en France, le 6 juin, pour faire entendre son instrument en franchissant le pont de Bénouville, souvent accompagné par des amis musiciens. Il deviendra une légende, désigné sous le surnom de « Piper Bill » (Bill le sonneur). Un événement à la portée mondiale.
Et la tradition perdure. Cette année cela fera 75 années que des musiciens Anglais, Canadiens, Écossais, Irlandais, Australiens, Bretons ou autres, chaque 6 juin, rejoueront – sur un pont qui a été rénové depuis -, la jonction des forces britanniques avec les premiers Français Libres. Au son de leurs instruments légendaires. Le symbole demeure. La fraternité avec les Anglais et tous les hommes de bonne volonté se perpétue. Loin du Brexit et de quelques abrutis de politicards qui font passer avant tout, sans honte et sans vergogne, et bien au dessus du bien de leurs peuples, leur minable, médiocre et insignifiante petite carrière. Dont on ne parlera plus depuis longtemps, dans 75 ans ! »
Nous nous reverrons, un jour ou l’autre, je ne sais ni où, ni quand, mais je sais que ce jour là le ciel bleu sera sans aucun nuage, je suis certain que le soleil brillera !
A Cabestany, Pyrénées Orientales, le mercredi 8 mai 2019 à 11 h 15, La Marseillaise est reprise en choeur par les citoyens de Cabestany, à l’occasion de la Commémoration du 8 mai 1945.
« La Droite Indépendante, Républicaine et Populaire est à la veille de trouver un nouveau souffle si nous le voulons » écrit Gersende pour le Cercle Gaulliste de Réflexion Politique et Sociale
20 juin 2022L’Edito de Gersende, le 20 juin 2022
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Gersende, politologue à Paris, ex Sciences-Po, Administratrice Déléguée du Cercle Gaulliste de Réflexion Politique et sociale écrit :
Gersende
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