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« On espère qu’on aura une vidéo des débats [du Conseil] » écrit Josyane !

24 mai 2020

Courrier des lecteurs – c’est vous qui le dites – Démocratie – Liberté d’expression

Josyane écrit : « On espère qu’on aura une vidéo des débats après coup. Déjà qu’on nous a volé cette élection………. »

Alicia vous répond : Vous êtes plusieurs à soudainement vouloir vous intéresser à ce qui se passe au Conseil Municipal. On est surpris car on a pas le souvenir que les spectateurs aient jamais été tellement nombreux pour assister à ces séances publiques où tout le monde peut venir. Où certes on est assis de façon inconfortable, où la sono est mauvaise, les diapos indéchiffrables, et où on a comme l’impression que les choses sont décidées avant et que les conseillers qui lèvent la main le font de façon automatique sans rien y comprendre. Mais n’est ce pas ainsi depuis tant d’années ?

Il ne semble pas difficile en effet de faire une vidéo des débats et la mettre sur Youtube !!! Nous le faisons fréquemment nous mêmes pour bien d’autres choses, et ça ne coute rien. Question de volonté et d’envie de transparence ! Mais la transparence est elle un mot qui signifie encore quelque chose à Cabestany ?

On comprend que vous ayez le sentiment qu’on vous a volé cette élection qui n’aurait pas du être maintenue dans le contexte de ce virus « communiste » et « chinois » (ce sont vos mots !). « C’est vous qui le dites ». L’ex URSS communiste envoyait ses chars en Hongrie ou ailleurs pour dominer le monde. Les communistes chinois ont d’autres armes, invisibles, mais bien plus efficaces, dites vous  ! Et un communiste restera toujours un communiste ! Ce sont vos mots ! Pas les nôtres..

Encore heureux, lisais je récemment, sous la plume de ce  journaliste de CNN et du Washington Post, que les américains ne sachent pas que ce laboratoire chinois d’où s’est – peut être – échappé ce virus aurait été construit par les Français et que leur conseiller aurait été le mari de celle qui était encore il y a peu notre Ministre de la Santé. Qui semblait n’être au courant de rien !? Mais que comprenons nous à tout cela sinon que nous perdons de façon injuste des amis ? Et qu’à l’arrivée, personne ne sera coupable, comme toujours !

Et puis, on n’a pas une réelle admiration pour ce Président amateur qui est à la tête de notre Etat, mais rendons à César ce qui appartient à César, car ce sont bien les dirigeants de nos différents partis politiques qui ont insisté pour que ce premier tour ait lieu à la date prévue. On comprend que – comme beaucoup d’entre nous – vous ne vous soyez pas déplacés et que maintenant vous en ressentiez la frustration.

Et que vous vouliez savoir qui sera le ou la maire de Cabestany pour les 6 ans à venir.

Nous, on ne refera pas le match. Et beaucoup de choses dépendent de qui sera le Président de l’Agglo.

Mais ayons l’honnêteté de reconnaitre que parmi les supporters de Jean Vila, vous êtes nombreux à regretter que l’on ait pas décidé d’installer des caméras de vidéo-surveillance à Cabestany. Et ce n’est pas par dogmatisme qu’on ne le fait pas, nous dites vous. Mais par un entêtement incompréhensible à vos yeux de certains qui ferait mieux de passer la main. Et vous êtes nombreux à gauche à prétendre vouloir plus de transparence, plus d’information, plus de communication en provenance de vos propres amis à la mairie. Alors, si c’est vous qui dites ce genre de choses !

Qui sait, les choses vont peut être changer à Cabestany ? On n’y croit guère mais évitons les procès d’intention. On verra bien !

Alicia vous souhaite un bon dimanche !

et continuez à nous écrire :

 

blog.cabestany@gmail.com

 

 

 

Blog-Cabestany, les co-listiers de Colette Appert, les citoyens de bonne volonté de Cabestany rassemblés pour l’Alternance, n’ont pas oublié ce qui s’est passé en janvier 2015 à Charlie Hebdo !

13 janvier 2020

LIBERTE D’EXPRESSION

Peu nombreux semblent être les Français qui n’ont pas totalement oublié ou ne veulent plus penser à ce qui s’est passé à Charlie Hebdo en janvier 2015. Des médias ont rappelé sans trop s’appesantir dessus, cet événement tragique. Il en est de même de certains politiques qui prétendent que cela aurait changé leur vision du monde qui nous entoure. Non, nous n’avons rien oublié, disent ils !? Mais ajoutent  que c’était l’acte de déséquilibrés, ou une action isolée, ou un mauvais concours de circonstances,  qui ne seraient aucunement le reflet d’une transformation de notre pays. Et NOUS, nous nous demandons si leurs propos ne sont pas prononcés dans la perspective des prochaines élections locales.

Dans un pays où au sommet de l’État, on vous explique qu’il n’y a pas de « Culture Française » et où on vous incite, même si on est nés bien après 1968, à battre sa coulpe tous les matins et se repentir sur ce que dans les livres scolaires on n’enseigne même plus : la «  colonisation ».

Ce sont des hommes et des femmes de bonne volonté, comme nous, qui ont été lâchement assassinés en 2015 à Charlie Hebdo. Dont le copain de l’un des rédacteurs de notre Blog, à savoir « Oncle Bernard » ou Bernard Maris, un économiste dont on se demandait ce qu’il faisait dans l’équipe de Charlie-Hebdo, mais il était de ceux qui dénonçaient une mondialisation qui nous fait acheter, à l’insu de notre plein gré, des objets fabriqués par des enfants exploités, dans des usines qui s’effondrent un jour sur leur tête. Pour jeter encore plus vite ces produits de mauvaise qualité qui finiront par polluer nos océans. Et mettent tant de nos concitoyens au chômage !

Charlie-Hebdo ne faisait pas partie des revues, journaux, magazines auxquels Blog-Cabestany est abonné. Parce qu’on peut revendiquer avoir de l’humour sans pour autant se pâmer devant tout ce qu’on trouvait dans Charlie. Mais Charlie c’était la Liberté d’Expression, et elle en a pris un sérieux coup dans les gencives.

Dans l’équipe de Charlie, et au nombre de ceux qui furent massacrés sans raison, il y avait – entre autres – Cabu, Honoré, Tignous et Wolinsky, des dessinateurs de talent. Mais quand bien même on ne leur reconnaitrait aucun talent, cela changerait t’il quelque chose ? Il y avait la psy Elsa, Mustapha le correcteur qui maniait mieux la langue française que nous on ne le fera jamais. Un policier en charge de la protection du journal, celui qui préparait les casse-croutes et le café, un gardien de la paix musulman qui passait par là. Méritaient t’ils qu’on les abattent comme des chiens ? Pour certains, OUI !

Il y avait Charb, le leader affiché d’un collectif comme celui de notre Blog qui fonctionnait comme un groupe d’amis et n’avait pas réellement besoin de patron. Charb se disait lui même être un communiste pur et dur. Comment savoir ? Il avait des positions selon nous excessives. En quoi cela ferait t’il qu’il n’aurait pas eu le droit d’exprimer ses idées. Et on ne citera pas tous les noms des victimes comme on énoncerait une liste à la Prévert.

Et puis il y a ceux qui sont passés au travers des balles. Et on pense à Zineb El Rhazoui, la courageuse, dont je serais fière si j’étais un jour son amie. Mais il faudrait déjà que je la rencontre. Car ils se sera trouvé, en janvier 2015 et depuis lors, de sinistres individus, français ou non, musulmans ou non, pour justifier cette tuerie au nom d’idéologies douteuses. Et si je vous citais la liste de ces salopards qui me donnent envie de vomir et que vous voyez ou écoutez, pour certains, chaque jour ou presque sur BFM, le service public à la télé ou la radio, et ailleurs, vous en tomberiez de l’armoire.

Car peut on dire aujourd’hui que ces défenseurs de la Liberté d’Expression sont morts pour quelque chose ? Que leur sacrifice n’a pas été inutile. Quand des élus de Gauche, ou de la Gauche de la Gauche, en mal de se faire réélire, dans des banlieues abandonnées par la République, estiment que les journalistes de Charlie n’auraient peut être pas du franchir la ligne jaune. Quelle belle façon d’exprimer leur égoisme ! La peur au ventre de ne pas être réélus quitte à dire n’importe quoi. Des élus mus par leur seul clientèlisme. Quand ces élus nous font croire qu’ils auraient une certaine morale. Pour moi il s’agit plutôt d’une morale à la con !!!

Je crois qu’il y a quelque chose de pourri non pas au « Royaume de Danemark » si on reprend la phrase de Shakespeare, écrite il y a 400 ans, dans « Hamlet », mais plutôt au Royaume de France en 2020. Et je songe à Voltaire qui, s’il vivait de nos jours, serait trainé dans la boue. Ou pire, risquerait pour sa vie  !

Car au pays des Droits de l’Homme, le nôtre, il souffle un mauvais vent qui anesthésie les esprits et atrophie notre liberté de penser. Dans un pays où tout attentat est désormais l’oeuvre d’un détraqué et non plus d’un djihadiste ! Même s’il est désormais prouvé que fumer du cannabis à 18 ans risque fort de vous rendre complétement zinzin à 40 ans.

Car pour nos élites, nos moralisateurs, nos censeurs, critiquer l’islamisme équivaut à passer pour un raciste. Vouloir renvoyer chez eux, certains de ces migrants illégaux venant de pays en paix et vous passez pour un facho. Et on laisse crever de faim et de froid nos SDF dans nos rues, alors qu’on s’apitoie sur ceux qui sont venus chez nous toucher les allocs, quand ils auraient mieux fait de prendre les armes pour défendre leur pays. Et ce sont les fils de France qui vont se faire tuer dans leur pays. A leur place !

Et bien NOUS à Cabestany, nous prétendons que cette emprise sur nos esprits ressemble aux méthodes qui avaient cours en URSS, il n’y a pas si longtemps. Et bien NOUS à Cabestany nous prétendons que ceux qui cherchent à nous faire la morale sont les mêmes qui se targuent d’appartenir à la Gauche de la Gauche, de détenir le monopole de la solidarité, d’être les seuls capables de défendre nos acquis sociaux. Quand nous nous serions les défenseurs, à les écouter, de cette mondialisation de merde ! Ils cherchent à nous abuser par des discours enjôleurs dont il y a tout lieu de se méfier.

Alors que moi je prétends que quel que soit le parti politique auquel on appartient, et même si on ne se revendique d’aucun camp, il est temps d’envoyer par nos votes, Colette Appert s’occuper de nos affaires municipales.

Alicia

A Cabestany, ce soir mardi, la cérémonie des vœux de Monsieur le Maire était encore plus déprimante qu’à l’accoutumée !

7 janvier 2020

Liberté d’expression – Courrier des lecteurs

L’EDITO D’ALICIA POUR BLOG-CABESTANY

Après une journée de boulot harassante, moi, pauvre Alicia, je ne songeais qu’à chausser mes vigatanes, me caler au fond de mon vieux fauteuil avec une couverture sur les genoux. Et déguster une tasse de Earl Gray en écoutant un CD de Paolo Fresu. Mais voilà, Blog-Cabestany comptait sur moi, comme chaque année, pour aller m’exposer aux courants d’air et aller écouter Monsieur le Maire.

Au centre culturel, où j’étais arrivée inutilement avec 30 minutes d’avance, j’y ai entendu les mêmes mots que l’année dernière et les années précédentes. Creux et vide de sens. Ânonnés sur un ton monocorde. Par des gens ne semblant pas y croire eux mêmes. Les mêmes phrases alambiquées, surannées, passéistes, d’une autre époque, qui ne veulent rien dire mais qui ne reflètent surement pas un avenir radieux et l’espérance de vivre mieux demain à Cabestany.

En ce début d’année 2020, Cabestany s’annonce être comme hier, comme avant hier, et comme demain si on garde les mêmes à la Mairie  : une ville « triste et poussive ».

Je rêve d’une ville agréable, avec un centre animé, des petits commerces de proximités ne vous obligeant pas à reprendre la bagnole pour faire ses courses. Une ville avec une âme et un désir d’avenir. Et quand je pense qu’à l’époque l’Agence immobilière m’avait vendu Cabestany comme étant une « ville fleurie » !? Mais avec l’équipe en place tout cela risque d’être encore pour longtemps un simple rêve.

Je rêve de rouler dans des rues qui ne soient pas défoncées par les racines des arbres sous la chaussée. Une ville avec des trottoirs où nos ainés ne se tordent pas les chevilles, et surtout… propres.

Je rêve d’un programme culturel différent de celui – du « réchauffé dont on est saturés » – concocté Place du Colonel Fabien, par les nostalgiques de Jacques Duclos et Maurice Thorez.

Je rêve de pouvoir laisser ma voiture devant chez moi sans qu’elle soit vandalisée, de ne pas songer à mettre des grilles à mes fenêtres pour ne pas être cambriolée comme presque tous mes voisins, de ne pas voir devant ma porte qu’on pourrait y vendre des sachets de « farine » en toute impunité. « Tonton pourquoi tu tousses ? ».

Je rêve que ma petit voisine, une mamie bientôt octogénaire, ne serait plus obligée de faire venir un taxi depuis de la gare de Perpignan pour l’emmener à Medipole.

Et la liste de mes rêves est longue, longue, longue ! mais pas idéaliste si je considère que d’autres communes peuvent le faire. Mais à Cabestany, on ne fait RIEN, et si ça va mal c’est la faute des autres !

On comprend que dans notre pays, mais aussi dans notre ville, l’électeur ne croie plus au politique. Que seulement la moitié des gens se déplace aux urnes. Que le candidat qui est élu – souvent par défaut – ne représente pas grand chose, sinon une idéologie politique odieuse. Et qu’il ne se sente pas lui même investi de la responsabilité d’être à l’écoute de tous les citoyens, mais plutôt de servir son clan.

Il m’arrive de demander à mes collègues de travail qui habitent comme moi Cabestany pourquoi ils sont venus un jour s’installer dans notre ville. C’est comme si je les agressais ! Immanquablement ils commencent par chercher à se justifier de leur choix comme si on allait leur en faire le reproche !? Étrange ! Oui, ils savaient à l’avance que Cabestany était une ville en mort cérébrale. Confinée dans la naphtaline. Dirigée par une équipe de dogmatiques d’une autre époque. Des gens agglutinés sur leur morceau de banquise à la dérive, en mal d’idées novatrices et ne pensant qu’à leur survie politique. Oui, mes collègues le savaient mais vous expliquent  qu’ils ont choisi Cabestany parce « qu’on leur aurait » dit que la fiscalité locale y était moins pesante qu’ailleurs. Sauf qu’au rythme des augmentations qu’on subit chaque année on sera bientôt au même niveau ou pire que les autres. Avec un rapport qualité/prix affligeant. Et que la menace qui consiste à dire que si d’autres prenaient la mairie ils augmenteraient encore davantage les impôts, est une imposture qui ne convainc heureusement plus personne. Du n’importe quoi !

Car il n’y a pas de plage, de bord de mer, de plantations à entretenir à Cabestany. Pas de plan d’eau (sinon Sainte Camille). Pas de camping (sauf encore Sainte Camille). Pas de piscine. Pas de touristes à accueillir, à héberger, à divertir. Pas de Syndicat d’initiative. Dans cette ville qu’on dirait à l’abandon, à part organiser de médiocres festivités, faire perdurer un marché avec au maximum trois commerçants, où passe l’argent ?

Lorsqu’on voit l’état du Mas Guerido abandonné par ses commerces, on se demande pourquoi avoir fait une nouvelle zone commerciale. Mais patientez un peu, avec l’équipe en place, celle ci ressemblera bientôt à l’ancienne.

Alors, ce mardi soir, j’écoutais ce qui ressemblait à une mauvaise pièce de théâtre, mal jouée par des acteurs qui ne croient plus à leur texte. Avec des spectateurs qui n’y croyaient pas davantage et ne s’étaient déplacés que pour boire un coup de « Banga ». Et moi je rêvais d’ALTERNANCE pour notre ville. Mais cette alternance, choisie, mesurée, intelligente ne pourra passer que par l’équipe de Colette Appert.

Et puis je suis partie avant la fin de la cérémonie, comme beaucoup d’autres, et bien plus qu’à l’habitude, quand j’en ai eu marre d’entendre réciter sur un ton de fin du monde, comme une litanie, la liste des subventions que Cabestany n’aura pas et qui font que le Maire serait en droit de se victimiser. Alors que je croyais dans ma candeur qu’un Maire se faisait élire pour gérer au mieux la commune avec les ressources dont il dispose. Mais moi aussi j’ai du mal à finir le mois. Et je ne lance pas un feu d’artifice sur mon balcon ! Et si je pleure qui va m’écouter ? Et il n’est pas obligé de se représenter ! Et puis ce qui m’aura été insupportable plus que tout est cette façon de vouloir nous faire croire qu’à part son parti politique (le Parti Communiste), tous les « autres » (donc nous ?) serions pour que la France ait moins de services publics, moins de fonctionnaires, moins d’infirmières, moins de TOUT. Ce qui est faux s’il y a un seul point commun entre nous c’est bien notre défense du service public, des enseignants, des pompiers ou policiers, de notre système de retraite et des acquis du Comité National de la Résistance dont m’a tant parlé mon père. Pourquoi nous abreuver de cette politique politicienne usée jusqu’à la corde ? Un mépris pour les citoyens qui ne votent pas pour lui. La démonstration qu’il se considère peut être comme  le Maire d’une partie de ses administrés et pas de tous : INTOLERABLE !!!!!

Enfin en sortant sur le parvis, écoutant l’un ou l’autre de mes concitoyens, je me laissais dire qu’il y aurait peut être plusieurs listes aux prochaines municipales de Mars. Parce que Cabestany ne manque pas de « Tartarins aux petits pieds » qui s’imaginent sans doute que le « Lion » qui est à la mairie n’a plus le punch d’antan et qu’il pourrait défaillir à la seule vue de quelque tromblon à tirer dans les coins, quelque hallebarde ou escopette. Parce que certains croient encore que gouverner une ville n’est pas une chose sérieuse. Et qu’on pourrait monter des listes électorales juste en agglutinant autour de soi quelques citoyens animés par une quelconque rancoeur ou d’autres motivations absolument indéchiffrables. Pour se voir déjà dans le fauteuil du Maire sans livrer bataille. Ce n’est pas notre avis. Et à nos yeux une erreur qui risque au contraire de faciliter la réélection du candidat sortant. Mais dans une démocratie chacun est libre de ses actes et peut s’imaginer un avenir comme candidat « Canada Dry »,  même si la stratégie me paraît plutôt calamiteuse.

Oui, je rêve d’un renouveau pour Cabestany, mais n’est ce pas l’objectif d’une élection municipale de faire en sorte que des citoyens qui aspirent à une vie meilleure dans leur ville, aient quelques espérances dans un suffrage municipal ?

Colette Appert c’est la Droite rassemblée mais aussi l’Avenir pour les Cabestanyencs. C’est l’ALTERNANCE. Ne l’oubliez pas le 15 mars. Et bonne année à vous tous qui me lisez. Et j’espère qu’il me reste un tube de Valium pour me remettre de cette soirée.

Alicia

Tags : ALTERNANCE pour Cabestany, Droite Républicaine, Droite rassemblée, Droite sans complexes, Colette Appert, Elections municipales du 15 mars, CabestanyAuCoeur, Démocratie, Liberté d’Expression.

Jeudi 5 décembre 2019 : Rien à Signaler !

5 décembre 2019

Courrier des lecteurs

L’Édito d’Alicia un jeudi de grève !

Chers lecteurs, vous avez beaucoup de chance, car tous vous semblez savoir, contrairement à moi, pourquoi il faut faire la grève aujourd’hui ou …. pourquoi il ne faut pas la faire ! Et moi je me demande si j’ai bien fait de sortir de mon lit. Le sujet vous rend passionnés, motivés, impliqués, et vous êtes certains d’avoir raison alors que « les autres » auraient tort. Quand moi pauvre Alicia, si je faisais grève aujourd’hui, ce serait pour dire que je n’y comprends plus rien et que je voudrais qu’on m’explique un peu mieux les choses. Je suis paumée. Plutôt que d’être comme vous : Pour ou Contre. Mais pour ou contre quoi ? Et peut être que si je comprenais, moi aussi j’irais manifester !

Je ne suis pas syndiquée. Mais l’un de mes anciens professeurs, qui n’a jamais été politisé ou syndiqué mais qui nous racontait Mai 68 (je n’étais pas née), et bien d’autres événements, avait l’habitude de dire : « si on continue à vouloir faire entrer les citoyens dans un moule de la pensée unique, qu’on fait pression sur les médias, qu’on méprise les associations, qu’on n’écoute plus les syndicats et autres corps sociaux, on récoltera un jour un mécontentement populaire qu’on aurait pu facilement éviter si on avait eu moins d’orgueil et moins d’arrogance. Et on ne saura pas y faire face ! ». J’espère qu’il était dans l’erreur.

Vous tous, chers lecteurs, me racontez déjà par avance comment va se dérouler la journée, me conseillant de rester sous la couette !? Alors je vais vous mettre en ligne l’une de mes copines ! 2 minutes 55 de bonheur.  Anne-Sophie (dite « La Bajon »). Que j’ai rencontrée il y a quelques mois à Perpignan où elle se produisait. J’ai même réussi à la faire rire !!! Enfin une nana que je comprends car sans auto-dérision il n’y a plus d’espoir. Déjà qu’on se marre pas vraiment à Cabestany quand on se perd du côté de la Mairie. C’est l’humour, dit on, qui nous rendrait plus intelligent(e). Alors vous voyez le tableau !  Et si l’on comprenait vraiment ce qu’on mijote dans notre dos, on aurait peut être plutôt envie d’en pleurer !

Une video qui n’aura comme but que de vous faire sourire, sans aucun message à la clef ! C’est de l’humour ! Comme si j’étais capable de faire du second degré. Bonne journée à tous  et mettez de bonnes chaussures !

et en allant sur Youtube et en tapant La Bajon vous trouverez d’autres perles….

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« J’ai croisé Colette Appert à Visa pour l’Image » écrit Alicia, rédactrice pour Blog-Cabestany. « Un moment fort avec une belle personne ! »

12 septembre 2019

La Culture est importante à nos yeux, à Cabestany ! Mais la Liberté d’Expression, la Liberté de la Presse, le Droit de Savoir le sont  tout autant !

Une des entrées des expositions de  Visa Pour l’Image

Alicia écrit :

« Bien sur, chez Blog-Cabestany, chaque année, l’un d’entre nous assiste à l’inauguration de Visa pour l’Image. Ce Festival International de Photojournalisme qui est connu sur toute la planète. Dont on nous parle peut être davantage à New York ou Berlin qu’à Perpignan. On en parle aussi beaucoup à Paris, avec un brin de jalousie !

Mais pour la plupart d’entre nous, le plaisir ou plutôt l’intérêt, car comment parler de plaisir en voyant des images le plus souvent dérangeantes, consiste à se rendre de la façon la plus anonyme qui soit, un jour de semaine, pour voir gratuitement les photos exposées. Car c’est gratuit.  Et ouvert jusqu’à la fin de la semaine. Et on vous laisse entrer avec un appareil photo contrairement à beaucoup d’autres expos du même genre. Et lorsqu’on sait qu’à Paris ou dans d’autres grandes villes de l’hexagone, on aimerait bien récupérer ce festival, on mesure la chance que l’on a de pouvoir le conserver à Perpignan. Et dans un cadre qui vous sort du béton.

J’avais prévu d’aller le voir avec Colette Appert, la semaine dernière, et puis un changement de planning m’a obligée à annuler au dernier moment et j’y suis allée cette semaine, à l’improviste…. pour croiser Colette Appert. Qui porte un grand intérêt à ce Festival, a assisté à beaucoup des événements de la programmation. Ce fut une très agréable surprise et une opportunité pour échanger en toute décontraction. Un chouette moment avec une personne très ouverte et d’une grande finesse d’esprit !

Colette Appert croisée dans une des expos de Visa pour l’Image 2019

Dans un cadre exceptionnel

Des photos parfois difficiles, lorsqu’on pense à ceux qui souffrent sur ces images. Et on ne peut que remercier les reporters, les journalistes, qui ont peut être risqué leur vie pour nous informer. Car c’est la Liberté d’informer, la Liberté d’Expression, le droit de savoir qui font l’intérêt de ces images. Et jamais le voyeurisme !

Pour mes petits camarades de Blog-Cabestany, pour nos lecteurs qui ne sont pas tous dans notre région, pour tous les amateurs, j’ai noté sur un petit carnet les noms de photographes qui auront exposé à cette 31ème édition de Visa pour l’Image 2019.

Ma satisfaction, car on ne peut utiliser le mot plaisir, c’est de m’installer dans mon vieux fauteuil qu’il faudrait surement rembourrer mais à moi,  il me convient comme cela. Je sors ma tablette, et je la synchronise – quant ça marche – avec mon écran de télé. Et ainsi je peux visionner tranquillement les photos de l’expo. Le temps qu’il faut à chaque image pour voir les détails. Et revenir sur celles qui me touchent le plus. Ou me font m’interroger sur ce monde dans lequel nous vivons. Quand je veux et à l’heure que je décide ! Est ce que je peux dire que j’en sors toujours  indemne ? Au moins ai je l’impression d’avoir les yeux ouverts sur ce que beaucoup ne veulent pas voir !

Je ne prétend pas avoir recopié les noms de TOUS les photographes et je suis peut être passée à côté de certains que je n’aurais pas du rater. Que l’on me pardonne. Et puis les liens n’ont pas tous fonctionné ou alors c’est que je m’y suis mal prise. Mais l’intérêt c’est aussi d’en savoir plus sur le ou la photographe, sur ces photos, le lieu, l’environnement, la situation souvent terrible. Et cette souffrance de personnes que je ne rencontrerai jamais mais qui me touche, dans mon petit confort et ma sécurité.   

Et j’ai été très heureuse de pouvoir échanger avec Colette qui a la même sensibilité que moi. Et avec laquelle j’ai parlé de bien d’autres choses mais si j’en dis plus sur ce Blog, ce sera une autre fois. 

Avertissement : Merci à tous ces photographes, dont je ne prétends pas avoir fait une liste exhaustive, recopié les bons liens,  et je n’ai pas cherché à faire un travail professionnel. Je ne suis qu’un petite amatrice, mais Chers Lecteurs de ce Blog, qui êtes à Cabestany ou à des milliers de kilomètres,  si seulement vous pouviez partager avec moi toutes les émotions que j’éprouve à voir et revoir ces photos :

Cyril Abad

dont les photos sont au Couvent des Minimes

http://www.cyrilabad.com/

Lyndsey Addario

dont les photos sont au Couvent des Minimes

http://www.lynseyaddario.com/

Guillermo Arias

dont les photos sont au Couvent des Minimes

https://www.guillermoarias.com/

Valerio Bispuri

dont les photos sont à l’église des Dominicains

http:// www. valeriobispuri.com

Patrick Chauvel

Couvent des Minimes

http://www.fonds-patrickchauvel.com/

Olivier Coret

Couvent des Minimes

http://www.divergence-images.com/olivier-coret/

Abdulmonam aessa

https://making-of.afp.com/abdulmonam-eassa

Ed Jones

Couvent des minimes

https://making-of.afp.com/ed-jones

Adriana Loureiro Fernandez

http://www.adrianaloureiro.com/personal-

Pascal Maitre

http://pascalmaitre.fr/

Louie Palu

https://louiepalu.photoshelter.com/index

Ivor Prickett

Atelier d’Urbanisme

https://www.ivorprickett.com/

Goran Tomasevic

https://widerimage.reuters.com/photographer/goran-tomasevic

Dar Yasin

http://www.apimages.com/search?query=Dar+Yasin&entitysearch=&st=kw&ss=10&allFilters=&toItem=15&orderBy=Newest

et j’essaierai de faire mieux la prochaine fois !

Tags : Visa pour l’Image – Colette Appert – Alternance à Cabestany en 2020 – Démocratie – Liberté – Liberté d’Expression – 265 RiverSide Drive NYC – Blog-Cabestany – Trait-d’Union-Cabestany – Nikon – Perpignan – Couvent des Minimes – Pyrénées Orientales – France – Mariposa Webmasters, Gérone – Kujiwara Data Center Montpellier – Linux – Qwant – WordPress – Automattic – We believe in journalism, and our commitment is greater than ever. International Festival of Photojournalism. Festival International de Photojournalisme – Festival Internacional de fotoperiodisme – 

notre adresse pour nous écrire en toute confidentialité : juste un clic sur le lien ci-dessous

blog.cabestany@gmail.com

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Jean-François Leroy, General Manager of Visa says :

Mexico, Venezuela, Egypt, Libya, Algeria, North Korea, China, Russia, Syria, Bangladesh and Hungary are countries with a sad reputation for violations of freedom of the press, and unfortunately the list does not stop there. We could add Malta, and even Northern Ireland. Occasionally there has been some good news: Wa Lone and Kyaw Soe Oo, the two Reuters journalists arrested when investigating a massacre of ten Rohingya civilians, were released as part of a presidential amnesty. In Egypt, Shawkan was released, but with restrictive conditions applying. In Bangladesh, Shahidul Alam has been released, for the moment, on bail. Any number of other examples can be found of journalists killed, injured or imprisoned, and every year the figures are shocking. All their names deserve to be cited. Since the beginning of 2019, 20 journalists have been killed, and 341 are in prison. In France too we can see reporters targeted, attacked by demonstrators and police without any major public outcry. Causes and professional ethics must be defended; journalists’ sources must be protected. One day the European Union, or even the United Nations will have to reach agreement on the definition of a journalist. Conditions for issuing press cards change from country to country, and there should be a standardized approach so that all journalists have the same rights, which means, of course, that they have the same duties. But this is not the way things are going at the moment. Certain politicians, even in leading democracies, will readily criticize journalists for doing their job, particularly when reports might leave them in an awkward situation. The general public is increasingly skeptical and wary of the media. Everything needs to be reviewed; questions need to be asked for trust to be restored. The right to report on news stories and conduct investigations freely is a basic pillar of democracy. That should go without saying, yet it needs to be stated loud and clear, again and again. In Perpignan, we shall continue to present stories from around the world. We believe in journalism, and our commitment is greater than ever.

Jean-François Leroy, Perpignan, Occitanie, France, sept 2019

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Colette Appert démontre qu’elle est à l’écoute de TOUS les Cabestanyencs !

6 septembre 2019

La tribune de l’opposition du dernier Cabes’infos. Cliquer sur l’image pour l’agrandir.

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L’Editorial de rentrée d’Alicia

Colette Appert n’a pas besoin de Blog-Cabestany pour savoir quelles sont les préoccupations des Cabestanyencs. A notre connaissance, elle n’a pas pris de vacances cet été, et elle a rencontré, spontanément ou à leur demande, un grand nombre de nos concitoyens.

Mais c’est quand même la force de notre Blog, de pouvoir recevoir, par mails, vos avis, vos colères, vos attentes, vos espoirs. Lorsqu’il s’agit d’échanger sur les grands sujets de la politique nationale, on vous répond nous mêmes la plupart du temps. Et je ne suis pas la dernière pour le faire !

Lorsqu’il s’agit d’un problème concernant Cabestany, on n’a ni la légitimité, ni la connaissance nécessaire pour vous répondre. Et nous ne sommes pas là pour nous immiscer dans le débat municipal. Nous sommes davantage des journalistes, des lanceurs d’alerte, des facilitateurs de la Liberté d’Expression, plutôt que des acteurs politiques.

Pour vous répondre, laissons faire ceux  qui ont la connaissance du terrain, des problèmes de notre ville. ET LAISSONS LES AGIR !

Les problèmes que traite Colette Appert dans la Tribune de l’Opposition du dernier Cabes’infos sont totalement en accord avec les messages que nous recevons régulièrement. Colette, répétons le, n’attend pas après nous pour savoir ce que ressentent les Cabestanyencs et elle reçoit probablement – EN DIRECT – un nombre de messages sensiblement plus élevé que ceux que nous lui faisons passer. Mais parce que nous lisons les messages reçus au Blog avant de lui renvoyer, nous savons de quoi nous parlons !

A quelques mois des Municipales, les Cabestanyencs auraient tort de ne pas s’exprimer auprès de nous, auprès de Colette, pour se faire entendre et dire ce qu’ils souhaitent pour les six années à venir. A moins qu’ils ne considèrent que dans notre petite ville de Cabestany, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Qu’il n’y aurait aucun problème ayant besoin d’être résolu. A moins, que de façon aveugle, ils continuent à faire confiance à la même équipe, par habitude, peur du changement, lassitude pour la politique, ou du simple fait de son orientation politique, et en se foutant pas mal de son programme à venir. Ou de son absence légendaire de programme, d’anticipation, de prévision, de vision pour l’avenir de notre ville. On ne maitrise plus les budgets à Cabestany. On ne gère plus rien ! On se contente de dépenser sans compter, au jour le jour, et d’attendre de voir arriver les factures. Et pour les payer on augmente vos impôts pour couvrir les dépenses. Comme c’est tellement simple.  « En matière de gestion, c’est la politique de Gribouille ! » nous disait encore récemment l’un de nos lecteurs.

Car chez Blog-Cabestany, si nous ne sommes pas des politiques, nous sommes quand même avant tout des citoyens comme les autres. Et nous sommes toujours effarés en lisant dans le Cabes’infos le bulletin de Monsieur Maire.

On se demande si ce dernier vit vraiment à Cabestany. On se demande s’il sait ce qui s’y passe. Lorsqu’il parle de SA ville, on se demande si c’est la même que celle où nous vivons. Mais il doit encore regarder la télé en noir et blanc et s’éclairer à la bougie.

Nous appartenons à tous ces Cabestanyencs qui attendons l’ALTERNANCE. Mais elle ne viendra pas toute seule parce que deux, trois, voire quatre Cabestanyencs sans convictions, sans programme, sans parti, sans idées, se sont mis en tête d’essayer de constituer leur propre liste pour les prochaines municipales. Quand depuis des années la seule opposition à s’être manifestée et avoir fait le boulot, est la nôtre ! On souhaite à tous ces doux rêveurs qui partent en ordre dispersé, la fleur au fusil,  bien du plaisir. Des citoyens – honorables sans doute – qui ne connaissent ni les dossiers, ni les problématiques de Cabestany. Qui se réveillent à six mois des élections et dont le projet a toutes le chances de faire « Pschitt » ! A moins que secrètement, ils n’aient en tête de créer la division pour faire gagner nos adversaires.

Peut être aussi que des candidats plus sérieux se dévoileront plus tard. On sait de source sure que la question se pose dans les états majors des grands partis. Mais on sait aussi qu’on hésite et qu’on attend pour voir venir. Et que Perpignan est la priorité. Et on s’est tellement habitués à la situation actuelle ou Monsieur le Maire fait semblant de tirer à boulets rouges sur l’agglo. Mais le faire pour de vrai serait tellement préjudiciable aux intérêts de notre ville. 

  A Cabestany, on ressent quand même une frénésie tout à fait inhabituelle pour vouloir être à tout prix sur la ligne de départ en 2020. Est ce que cela serait le signe que certains considèrent que la réélection de Jean Vila est loin d’être acquise ? Que tout s’obtient sans combat ? Pour nous il s’agit de velléitaires ! Depuis des années, si Colette et son équipe n’avaient pas « mouillé le maillot »,  il n’y aurait pas eu d’opposition à Cabestany et voilà que soudain…..  Mais ayons aussi la sagesse de considérer que c’est aussi cela la Démocratie.  Et que les sortants ne sont que de simples candidats. Au même niveau que tous ceux qui briguent le poste.  Et on croit savoir – mais comment s’y retrouver dans ce déluge d’ informations ou de rumeurs – que du côté de la mairie on n’afficherait plus la sérénité d’antan, la même unité,  et que plusieurs stratégies s’opposeraient au point de créer la division.  Quoiqu’il en soit il ne faut jamais vendre la peau de l’Ours…. Une expression consacrée, qui ne cherche aucunement à être irrespectueuse pour qui que ce soit. Qui veut juste dire que de s’imaginer que les choses seraient si faciles est à nos yeux une profonde erreur.

La seule chose dont on puisse être certain est que Colette ira jusqu’au bout sans se préoccuper des présumées futures gesticulations diverses ou variées des uns ou des autres !

L’ALTERNANCE, si elle arrive, ne peut venir que de Colette Appert, mais elle a besoin aussi que tous les citoyens qui veulent le changement se rassemblent derrière elle, en laissant pour certains,  leur ego et leur trop plein de testostérone au vestiaire. Et c’est la raison pour laquelle nous la soutenons sans réserves et vous incitons à faire de même !!!

Bonne rentrée !

                          #ALICIA

notre adresse pour nous écrire en toute confidentialité : juste un clic sur le lien ci-dessous

blog.cabestany@gmail.com

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« A tous les Français ! »

18 juin 2019

« Courrier des lecteurs »

Alicia écrit :

Rassurez vous, Paul, Valérie, Madeleine, Jonas, et les autres. Et à tous ceux qui sans doute vont encore nous envoyer un mail, comme ils le font chaque année à la même époque, rassurez vous disais je : on n’aurait pas oublié la date du 18 juin. Que vous soyez Cabestanyencs est sympa. Parisien, Havrais, tout autant. L’un d’entre vous qui nous écrit est Canadien. Et chez nous, au Québec, nous précise t’il, cette commémoration du 18 juin 40 a encore énormément d’importance. Peut être davantage qu’en France ! Je pourrais être tentée de reprendre ses paroles si j’avais mauvais esprit. Mais comme je n’ai pas de valeur de comparaison, je vais m’abstenir de parler de ce que je ne sais pas et  raconter peut être n’importe quoi. Ce que je peux affirmer, c’est qu’à New-York, il y a deux ans de cela, j’avais pu constater que pour les Français installés là bas, cette date du 18 juin avait également une très grande signification. Peut être parce qu’ils sont éloignés de leur pays ?   A Paris, aujourd’hui, notre dirigeant suprême qui est le successeur de celui qui avait lancé ce célèbre appel, prétend que « la culture Française n’existe pas ! ». Et à Cabestany, on a baptisé une place du nom du « 19 mars 62 », car comme on le sait cette date a – apparemment – plus d’importance aux yeux de certains que le sacrifice de tous ces Français qui ont combattu pour recouvrer notre Liberté ! Je n’ai aucune envie de polémiquer. Mais que personne ne m’empêche de regarder certains de mes compatriotes avec un certain dédain. Même s’ils n’ont, hélas,  pas vraiment conscience qu’ils ne méritent guère mieux !!! Et que je pressens déjà qu’ils vont m’écrire un tas d’idioties sans intérêt !

Alicia

Blog-Cabestany : Merci, Alicia ! Nous n’aimerions pas que tu soies mutée par ton administration, loin de nous, à la rentrée de septembre. Ta plume, parfois acide, mais jamais méchante, nous manquerait beaucoup.

Sonnerie aux Morts en Hommage à ceux qui protègent nos vies au péril de la leur !

14 mai 2019

Rubriques : « COURRIER DES LECTEURS – SANS COMMENTAIRES »

« Ils protègent nos vies au péril de la leur »

La Rédaction :

Merci à nos lecteurs pour l’image envoyée qui rend honneur aux Commandos Marine mais nous avons un égal respect pour tous les militaires de toutes les Armes. Ceux qui sont en OPEX mais aussi ceux qui veillent sur nous au quotidien dans nos rues. Comme également nos forces de l’Ordre, pompiers et tous ceux qui concourent  à notre sécurité.  Merci pour ce lien vers cette vidéo que vous aviez à coeur que nous mettions en ligne et pourquoi en chercherions une autre ? Merci de nous dire que nous sommes sur la même longueur d’onde que vous. Que nous réagissons de la même manière que vous. Que nous sommes un peu votre voix. Ce matin mardi, nous serons tous pris par nos occupations professionnelles (ou autres), peut être pas devant la télé, mais nous serons en communion avec tous ceux que cet événement touche. Comme nous !  Si – vraiment – grâce à nous, vous vous sentez moins seuls, croyez bien que la réciproque est vraie et même au delà de tout ce que vous imaginez ! Merci pour vos témoignages. Hommage à nos soldats. Bonne journée à tous. Merci à vous !

8 mars 2019 : Journée Internationale [des Droits] des Femmes !

8 mars 2019

Alicia de la rédaction de Blog-Cabestany, écrit :

« Tout le monde – enfin ceux qui le veulent – comprendront que cette Journée dite « de la Femme » pour ceux qui n’ont rien compris ou n’ont pas envie de comprendre, n’a rien à voir avec la Fêtes de Mères ou une autre journée qui aurait été décrétée pour honorer les Femmes.

Car s’il en était ainsi pourquoi n’y a t’il pas une « Journée des Hommes » ?

Le 8 mars 2019 (comme tous les 8 mars) est la Journée du Droit, des Droits des Femmes, pas seulement à l’égalité lorsqu’on parle de salaires ou de parité politique en France. Non pas qu’il ne s’agisse là de combats légitimes. Mais on est bien loin de cela. Et je m’insurge, je hurle, lorsque je vois que cette Journée de la Femme est récupérée par le marketing, la pub, genre Saint Valentin ! Le premier qui m’offre des fleurs ….. les prend dans la tronche !

La Journée Internationale [des Droits] DES Femmes a été instituée par les Nations Unies en 1977.

Il s’agit du Droit, des Droits des Femmes à l’Éducation, certains pays arriérés, leur niant. Il s’agit du Droit des Femmes à la Santé, à la Liberté de se vêtir comme elles le désirent. Et en France ce droit régresse sous la poussée d’idéologies politiques ou religieuses perverses. Il s’agit du Droit, des Droits des Femmes dans l’espace public comme privé d’être en tous points l’égale de l’homme. Et qu’on ne m’oblige pas à nommer des exemples qui me donnent envie de gerber lorsqu’on accueille des gens venant de certains pays où les droits de femmes sont niés (lorsqu’on ne les lapide pas !) et qui à peine arrivés sur le sol Français nous parlent de leurs droits !!!! 

Je peux aussi vous en parler sur un plan historique si vous avez envie d’en lire davantage :

Certains y voient la suite d’une journée de la Femme – déjà un 8 mars – instaurée en 1909 aux États Unis pour l’égalité des Femmes dans une société en pleine transformation.

 Durant la première guerre mondiale en France, les femmes, se retrouvant responsables de faire vivre leurs familles, obligées de travailler à l’usine ou dans les champs et conscientes que leurs efforts ne sont pas reconnus, choisiront cette même date du 8 mars pour dire qu’elles existent. On en parlera peu car on assimilera cette revendication à une dénonciation de la Guerre. Et si c’était le cas, n’était ce pas légitime ?

On parlera aussi de cette journée du 8 mars fêtée en Union Soviétique pendant la Deuxième Guerre mondiale pour honorer l’implication des femmes, non seulement dans l’économie, mais également sous l’uniforme, les armes à la main et en première ligne. Elles revendiquaient le droit de mourir, à égalité avec les hommes,  pour défendre leur patrie.

On ne peut ignorer tous ces événements et je pourrais en citer bien d’autres, des combats perdus ou gagnés,  qui n’avaient comme objet que la reconnaissance pour les femmes du droit à l’égalité de traitement avec les hommes.

Bien des femmes se montreront héroïques, courageuses, et donneront leur vie dans la Résistance. Le Général de Gaulle donnera aux femmes le droit de voter en 1944. Seulement ? Il n’était que temps, diront les uns. Quand d’autres diront que les Partis de Gauche durant le Front Populaire se seront montrés plutôt minables et rétrogrades, la plupart des acquits concernant plutôt les hommes que les femmes. Et il est heureux que nombre de métiers se féminisent même si les appellations (« cheffe », et autres) sont à mes yeux des barbarismes dans notre si belle langue.

Cette Journée des Femmes n’est pas un gadget !  Une journée de plus dans la liste non exhaustive des Journées de… du…,  qui moi la première, finissent par me fatiguer.  

Mais lorsque je vois que même dans notre beau pays, on laisse les violences faites aux femmes – et elles en meurent – sans véritable réponse politique ou judiciaire. Lorsque je constate qu’on ne leur accorde pas le minimum de protection auquel un être humain à droit dans un pays qui se prétend civilisé. Ceux qui lèvent la main sur une femme ne valent pas mieux que les terroristes ! Je crois que cette Journée des Droits de la Femme, des femmes, de toutes les femmes est un combat à mener sans faiblir !  Un combat des Droits de l’Homme (et des femmes). Par et pour les femmes mais aussi par et pour les hommes ! « 

Alicia 

La rédaction : « nous les hommes, qui avons sans doute bien des torts, pensons comme toi et te soutenons, Alicia. Et ce combat est aussi le nôtre. Sois en assuré ! ».

 

 

 

Va t’on « vraiment » et « enfin » rénover le Mas Guerido ?, demande Claude à Blog-Cabestany !

4 octobre 2018

Un article de l’Indép du 3 octobre 2018

La Tribune d’Alicia

Alicia vous répond : « Cher Claude, et bien je n’en sais [foutre] rien ! J’ai lu comme vous l’excellent article du non moins excellent journaliste Denis Dupont de l’Indép’. Je croise de temps à autre le sympathique et dynamique Jacques Denninger. C’est « bonjour, bonsoir » de façon la plus aimable qui soit. Peut être lui est il déjà arrivé d’évoquer devant moi ses soucis mais trop brièvement pour que je comprenne, et que puis je y faire ? Et je sais que Colette Appert et Philippe Gleizes s’en préoccupent, mille fois plus que moi. Comme du petit commerce à Cabestany. Comme de bien plus de choses qu’on imagine. Merci à eux !

Je pose pourtant la question suivante : « Mais qu’a fait la municipalité de Cabestany, depuis des années, pour le Mas Guerido » ? » La question que beaucoup se posent.  Et dont je n’ai hélas pas la réponse.

Il se dit juste que dans l’équipe de Monsieur le Maire, il est un Responsable du Développement Économique de Cabestany, un adjoint, un conseiller municipal,  ou autre qui serait – dans ce domaine – une « pointure », comprendre un spécialiste du genre. Pourquoi ne pas dire plus prosaïquement  un « Économiste » ? Dont la réputation a peut être atteint les antipodes. Mais comme je ne voyage jamais ! Et je ne connais ni son nom ni à quoi il ressemble. J’attends la parution de son premier manuel d’économie dans la lignée des Keynes, Lorenz, ou Tirole, Piketty pour citer des Français. Avec un tel responsable, les commerçants à Cabestany devraient quand même pouvoir dormir tranquille. Ou prendre des cachets !

Et puis je me souviens d’une certaine soirée au Neill’s, (fermé depuis comme tant d’autres commerces) à Cabestany. C’était un 14 mars 2013. Et si je me le rappelle, c’est parce ce que c’est le jour où j’ai rejoint l’équipe de Blog-Cabestany après m’être proposée – bénévolement – de tenir le flash du photographe. On ne se refait pas ! J’étais là parce que mon père avait tenu jadis une petite épicerie dans le département. Et s’était tué à la tâche – au sens propre – son coeur ayant laché, quand aucun élu ne l’avait jamais aidé.  Au micro, un certain Romain Grau, qui roulait alors pour les Républicains, semblait avoir pris le problème en compte et parlait d’en faire une affaire personnelle. Mais, ne connaissant pas moi même la problématique, je ne me permettrai pas de faire à ce sujet le moindre commentaire.

Romain Grau au Neill’s

Ce dont je me souviens parfaitement, c’est que les commerçants, présents à cette réunion, avaient unanimement déploré le mépris dans lequel ils estimaient que la mairie de Cabestany les tenait. Allant jusqu’à dire que Monsieur le Maire les considérait comme des nantis, des capitalistes, et qu’il ne les écoutait pas. Ne les  recevait même pas. (c’est eux qui le disent) Et qu’il ne faisait rien pour Mas Guerido. Mais que ne se dit t’on pas, entre Cabestanyencs,  lorsqu’on fait ensemble de l’aqua-footing, avec des cuissardes,  à Sainte Camille. Ou que l’on fait du slalom, au même endroit, en essayant d’éviter les étrons et ordures diverses, plusieurs jours après le départ des gens du voyage ?

Mon amie, Janet, infirmière stagiaire, rentrant vers deux heures du matin chez elle et étant à court d’essence s’était arrêtée un soir aux pompes de l’Intermarché. Entourée soudainement par une bande de jeunes ou moins jeunes, à la mine peu avenante, lui expliquant que la pompe avait avalé leur carte bleue et lui demandant de se servir de la sienne pour faire leur plein, en lui proposant de la dédommager en espèces !? Elle avait prétexté ne pas avoir suffisamment de provision sur son compte. Et elle est une adepte du Krav-Maga que les filles devraient toutes apprendre.

Deux mois après, s’étant arrêtée de nouveau, dans la nuit, aux même pompes, la même bande lui resservait la même sérénade de la carte avalée et elle était repartie en trombe d’un Mas Guerido mal éclairé, mal famé la nuit, où l’on croise quand même, de temps à autre, la gendarmerie, qui ne peut pas non plus y mettre un cordon de sécurité. Mais s’il y avait des caméras au Mas Guérido, peut être ne se sentirait t’on pas, peut être à tort, dans une zone de non-droit. A la condition que, comme  de nombreuses villes, elles ne soient pas en panne, débranchées, factices, et qu’il y ait quelqu’un pour les regarder.

A cause de pouvoirs successifs et de législateurs mal intentionnés, on a laissé se superposer un mille feuille administratif de collectivités territoriales qui semblent toutes avoir les mêmes compétences, font toutes les mêmes choses, ou « rien ». On ne sait plus à qui l’on paye nos impôts locaux, et ce qu’on en fait. Qui est en charge de quoi ? Et tous se renvoient la balle. « C’est à eux de le faire, pas à moi ». L’argumentation la plus nulle, la plus bête, la plus insupportable que des élus osent nous asséner. Ils devraient en avoir honte mais semblent ne pas en avoir conscience, imbus d’eux mêmes.  Sans se rendre compte de leur propre incompétence et du mépris dans lequel ils nous tiennent. Quand va t’on les dégager ? Et René, qui lit par dessus mon épaule pendant que j’écris cet article, et j’ai horreur de ça, me dit « Rajoutes que c’est aussi à cause de l’Europe et de la Bettencourt ». Paix à son âme !

Après 30 ans d’immobilisme, il paraîtrait que la mairie se défausserait sur l’agglo pour cette zone commerciale. Où, Monsieur le Maire, comme notre Président, semble préférer les riches du Mas Guerido V, plutôt que ceux qui rament dans un « vieux » Mas Guerido, qui reste quand même bien plus sympathique malgré tout, que les hypers, super, grandes surfaces diverses où l’on se croit « en terre inconnue ». Et où trois fleurs, quelques panneaux, et un réverbère changeraient déjà l’idée qu’on s’en fait lorsqu’on arrive dans ce qui ressemble à la banlieue d’une ville d’un pays en voie de développement. Et René, qui lit par dessus mon épaule pendant que j’écris cet article, et j’ai horreur de ça, me dit « Rajoutes que si Mas Guerido est dans cet état, c’est aussi la faute à l’Europe… et à la Bettencourt ! ». Paix à son âme.

Cher Claude, dans mon milieu professionnel qu’est l’enseignement supérieur, on parle davantage de politique, de problèmes d’éducation, que de ce qui nous concerne tous, nous les citoyens, dans notre environnement quotidien. Et c’est bien dommage. Pour le reste…… Amitiés à vous !

Alicia

POSTMASTER : et si jamais quelqu’un, à la lecture de cet article de notre amie Alicia, s’estimait injustement traité, Blog-Cabestany, est un support médiatique qui accorde un droit de réponse aux personnes qui sont citées !

 

Colette Appert et la Droite Municipale disent « NON » à cette nouvelle augmentation des impots locaux prévue à Cabestany !

16 mars 2018

Colette Appert

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La tribune politique d’Alicia « la chipie » pour « Blog-Cabestany »

Titre : « Le mauvais sort semble s’acharner sur Cabestany ».

C’est un enchainement de catastrophes qui paraissent frapper, année après année, notre bonne ville de Cabestany si on écoute son Maire. Car année après année, il y a toujours une « mauvaise » raison qui justifie que la Mairie soit – à l’insu de son plein gré – obligée de nous augmenter les impôts locaux. A ce petit jeu Monsieur le Maire fait montre d’une inventivité inégalable et inégalée. Mais quand la « scoumoune » s’abat quelque part, et malgré la grosseur des cierges que nous allumons, il ne nous reste plus qu’à prier et espérer que la divine providence vienne au secours des finances de Cabestany. Et lorsqu’on dit que la foudre ne tombe jamais deux fois au même endroit, à Cabestany, on y a droit chaque année. Comprendre la foudre fiscale progressiste !

Que nos élus « dégagent » préfère dire un internaute qui a parfaitement compris que cette malédiction est du pipeau pour piquer chaque année un peu plus d’argent dans nos poches.

Il est certain que des termes comme : compter, prévoir, gérer, gouverner, n’appartiennent pas au vocabulaire « progressiste » des élus de la majorité municipale. Lorsque Colette Appert (photo ci-dessus) utilise l’un de ces mots en séance de Conseil Municipal, on doit penser qu’elle parle en langue bantoue ou kiswahili. Et nos élus de la majorité de se plonger aussitôt dans leur dictionnaire ….

Chaque année, lorsque la période du budget arrive à Cabestany, et qu’on commence à entendre parler de « daube »,  (je ne sais même plus ce que cela veut dire), la Mairie commence par mettre dans une colonne les dépenses qu’elle veut engager et en face le montant qu’on va demander aux pauvres citoyens pour équilibrer les comptes. Abracadabra ! Que va t’il sortir du chapeau ? Et bien bizarrement nos impôts augmentent. Chaque année ! Année après année !

Vous imaginez vous, mettre sur un papier vos dépenses et aller voir votre patron pour lui demander le salaire correspondant. Et moi mon ministre Monsieur Blanquer. Ubuesque ! Mais on en est là et c’est bien la méthode utilisée à Cabestany. « Donne moi ta montre… j’te donnerai l’heure ! »

article de l’indép !

Notre « amie », que je ne connais pas personnellement mais qu’elle me pardonne ma folle audace, correspondante de l’Indép et dont on apprécie toujours les articles,  aura fait montre d’une grande honnêteté intellectuelle en titrant : « la commune serre la ceinture » .  Car elle aurait pu écrire : « La commune [se] serre la ceinture », ce qui eut été un mensonge. Elle aura préféré, et nous la saluons pour cet exercice de style, nous laisser entendre que « La commune serre la ceinture [des citoyens] » . Ou alors on l’aura mal comprise.

Comme disait Nicolas….. Boileau : « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément « .  Et son article en est la preuve.

On ne peut passer sous silence ce Président et ce gouvernement qui s’attaquent de façon infâme à nos aînés, et parlent bien de supprimer – pour certains et partiellement – la taxe d’habitation qui sert aux communes à fonctionner. Quelle connerie ! Sans qu’on sache par quoi on va la remplacer. Mais Macron en a t’il lui même la moindre idée ? Pour ce qui est de la médiocrité, nos gouvernants sont tous des superdiplomés. Paul écrit « Macron, foutez tous les vioques dans des EHPAD et piquez leur, paillasse, cannes, dentier, jambe de bois et les quelques sous qui leur restent pour achever votre sale besogne ».

Et à Cabestany, fallait t’il construire une construction affreuse et affreusement chère dans un bassin de récupération des eaux de pluies pour un budget  supérieur à ce qu’il aurait du être ? Et ensuite venir se lamenter que si on n’arrive plus à boucler le budget c’est toujours de la faute des autres.

A Cabestany, qu’il s’agisse de la Germanor, de la Maison des Jeunes, on ne parle jamais d’investissements déséquilibrés,  d’erreurs dans les projets, de surcouts de construction par rapport au budget initial ou de frais de fonctionnement non maitrisés. On va chercher ailleurs la cause de nos malheurs. Mais plus personne de censée ne devrait être dupe !

Il nous vient en effet, mais c’est aussi de la faute de nos lecteurs, des envies de « dégagisme » de cette équipe « progressiste » qui nous matraque toujours un peu plus chaque année pour des raisons  peu valables et des prétextes dilatoires.

Mais tant que le Cabestanyenc, spolié, roulé dans la farine, matraqué, continuera d’encenser ses idoles, de se prosterner devant ceux qui chaque année nous tondent toujours un peu plus, nos prières risquent de rester bien vaines. « Miserere » !

Avec l’accord de Blog-Cabestany,  si quelqu’un se sentait injustement traité par ma tribune politique qui n’a pas pour objet de s’en prendre à des personnes, mais d’informer le bon peuple de la colère des citoyens excédés, il existe la possibilité à chacun d’exercer son « droit de réponse ».

Alicia

8 mars 2018 – Journée des Droits de la Femme

8 mars 2018

Cette année, la Journée internationale des femmes s’inscrit dans le fil d’un mouvement mondial sans précédent en faveur des droits des femmes, de l’égalité et de la justice. Le harcèlement sexuel, la violence et la discrimination à l’encontre des femmes ont fait la une des médias et ont fortement suscité un débat public stimulé par une détermination affirmée à instaurer un changement. 

Dans le monde entier, des personnes se mobilisent pour un avenir plus équitable. Cette mobilisation a pris la forme de marches et de campagnes mondiales, dont la campagne #MeToo aux États-Unis d’Amérique et les actions équivalentes menées dans d’autres pays, protestant contre le harcèlement sexuel et la violence.

La Journée internationale des femmes 2018 est l’occasion de transformer cette dynamique en action, de favoriser l’autonomisation des femmes dans tous les contextes – ruraux et urbains – et de célébrer les activistes qui travaillent sans relâche à revendiquer les droits des femmes et à réaliser leur plein potentiel. Le 8 mars, joignez-vous aux activistes du monde entier et à ONU Femmes pour saisir cette occasion de célébrer, d’agir et de transformer partout la vie des femmes. L’heure est venue.