COURRIER DES LECTEURS

Alicia de Blog-Cabestany écrit :

Ce soir, seulement quelques secondes après une certaine censure, je reçois une avalanche de commentaires : « les cons », « bande de cons », triple cons », « abrutis », « on n’est vraiment représentés que par des cons », et je vais en rester là car  je n’ai pas l’envie d’y passer la nuit.

Sans commentaires. Je laisse à chacun le droit d’exprimer sa Liberté d’Expression » et n’ajouterai pas un mot. Mais j’ai comme l’impression que c’est la France profonde des petites gens qui se lèvent tôt pour aller bosser, ont du mal à finir le mois, qui en ont marre et sont en colère après ceux qui touchent un pognon de dingue pour nous représenter, bien au chaud à Paris. Qui sont « hors sol » : loin de nos préoccupations, soucis, emmerdes. Qui ne pensent qu’à leur gueule !

Josée m’envoie une photo plutôt bizarre :

Oui, je comprends ce soir, chers lecteurs, que vous êtres écoeurés, et plus encore. Bonne soirée à tous !

COURRIER DES LECTEURS

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Aujourd’hui, nous allons penser à nos amis disparus, à nos souvenirs volés, à notre jeunesse !

Nous allons trinquer à la vie, à l’espérance, à notre amitié, à une fraternité qui nous a permis de vivre jusqu’à aujourd’hui dans une France que nous n’imaginions pas devenir ce qu’elle est en train de devenir à cause des mêmes politiques qui nous ont trahi hier et font bien pire aujourd’hui.

Et que dire de ceux là mêmes qui se drapant dans leur dignité voulaient un pays à eux et nous ont jeté à la mer. POURQUOI PAS ? Ils avaient la légitimité de tout homme qui veut devenir libre chez lui. Comme nous l’avons fait avec les boches.

Mais leur pays qu’en ont ils fait ? Et est ce toujours par dignité qu’après nous avoir foutus dehors ils n’ont pu s’empêcher, maintenant qu’ils avaient LEUR pays, de venir se goberger de nos allocs, aides sociales, école, santé, tout ce qu’ils n’ont pas été foutus d’organiser chez eux. Et en plus maintenant ils nous menacent !

Sauf que les plus coupables ne sont ils pas  ces français collabos qui les ont laissés venir, leur déroulent le tapis rouge, leur leche les babouches pour se faire réélire, ne sont pas capable de maitriser nos frontières, et sont toujours nostalgiques de Staline. Honte à eux !

Alors aujourd’hui, amis qui vous reconnaitrez, je dit : « LA DIGNITÉ MON CUL » !

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BLOG-CABESTANY : Merci Maurice pour ce bel exercice de littérature. Ce n’est certes pas du Albert Camus. Mais pour Cabestany c’est déjà pas mal. Et les esprits chagrins ou pisse-vinaigre qui trouveront à redire sont surement davantage des adorateurs de Poutine que de la Liberté d’Expression à laquelle nous tenons tant. Nous essayons de les empêcher de nous la voler au nom de leurs grands principes fallacieux et malhonnêtes.   Et embrassez pour nous Rosette.