Courrier des lecteurs – Liberté d’expression –
La dernière (?) tribune « politique » d’Alicia la Chipie, rédactrice chez Blog-Cabestany
Alicia écrit :
A Cabestany, Madame Appert, on croit toujours en vous, et on espère ne pas vous avoir trop déçue !
« On a tellement apprécié vos mots et cette délicate façon de l’exprimer, venant du cœur, dans cette tribune de l’opposition du dernier Cabes’infos où vous écrivez avec votre gentillesse naturelle que vous aurez préféré perdre une élection plutôt que perdre des amis à cause d’un certain virus. Lequel ressemble curieusement à une arme bactériologique cultivée dans un labo militaire. Un « cadeau » des communistes chinois, plus forts pour opprimer leur peuple que pour contenir un virus. Mais dans quel pays géré par des communistes la Liberté est elle respectée ? Une idéologie perverse ! On devrait rendre la Chine responsables de cette pandémie. Lorsqu’on voit comment ces gens après avoir esclavagisé le Tibet, mis les Ouïgours dans des camps, viennent de mettre la main de façon indigne sur Hong-Kong ! Et on constate qu’il est encore des gens pour défendre cette doctrine pernicieuse. Pire : de s’en revendiquer ! Même dans un bled peu accueillant et paumé des P.O. !
Et nous pauvres naïfs qui nous entendons dire, lorsqu’on présente une ordonnance médicale pour nos aînés, dans une pharmacie, que la plupart des médicaments prescrits sont manquants, car tous fabriqués en Chine. Comment des politiques se disant Français et Patriotes ont ils pu laisser commettre ce forfait, cette infamie, cette trahison ? Mais en entendant une certaine ex-Ministre de la Santé nous dire que tout va bien dans un pays où l’on a fermé maternités et lits d’hôpitaux, où on a laissé mourir les vieux dans les EHPAD, on aurait presque envie de prendre le maquis et entrer en Résistance.
Madame Appert, ou oserais je me permettre de vous appeler « Colette », on croit toujours en vous mais mérite t’on que vous croyiez encore en nous ? Lorsqu’on prend conscience de tous les efforts que vous avez déployés, le temps consacré à notre ville, au détriment de votre vie familiale. Pour aucun remerciement, pour aucune compensation, pour juste défendre « nos » convictions de façon désintéressée et nous représenter : nous, cette minorité opprimée par la pensée dominante de ceux qui se sentent supérieurs à nous, nous toisent de leur suffisance et règnent sans partage à la mairie. Mais c’est votre Honneur !
Mes Papy, Mamie, et leurs amis ne se sont pas déplacés à cette élection qui aura été une mascarade comme on l’aura voulu au plus haut sommet de l’État. S’ils avaient voté – pour vous évidemment – cela aurait il changé les résultats ? Lorsqu’on voit qu’une autre liste – dont on fait semblant de se demander qui aurait bien pu la téléguider – a fait le choix de saborder la Droite à Cabestany pour mieux faire repasser les marxistes. Et tout cela pour d’obscures raisons dont je ferai croire – parce que je ne suis qu’une femme et donc une pauvre idiote – qu’elles échappent à mon entendement ! Car je n’ai aucune, mais vraiment aucune envie de m’étendre sur le sujet ! Quant à la Droite dans les P.O (ou même à Paris) est elle encore digne de notre confiance ? A Perpignan même, hélas, les électeurs ont semblé en douter !
En 2020, on aura cru en vous, Colette ! On aura espéré le changement. Rêvé d’un renouveau pour Cabestany. Une ville où nos aînés y auraient – enfin – quelque considération. En sachant que tout cela était sans doute utopique. Car une grande partie des Cabestanyencs semble se complaire dans ce qui nous apparaît de plus en plus chaque jour comme une médiocrité congénitale et endémique. On laissera nos concitoyens baigner dans leur extase. Du à la beuh ou au chichon – en vente libre ? – dans notre ville à ce qu’on dirait bien ! Abusés certes, mais sans doute de bonne foi. Victimes consentantes. Et puis ils ont sûrement bien d’autres soucis et problèmes de fin de mois à affronter en ce moment que de s’intéresser à la politique ce qu’on veut bien comprendre. Mais la situation à Cabestany est sans espoir !
Je me souviens, il y aura bientôt 30 ans, de la joie de mes parents « adoptifs ». De braves gens qui, au départ, n’étaient pour moi qu’une nouvelle « famille d’accueil ». Je revois leur joie de quitter le petit appartement du Moulin à Vent. Où les gens au moins y étaient chaleureux. A Cabestany, on aurai un jardinet et je pourrai faire du vélo dans une rue où passaient bien peu de voitures. Pour éviter que je m’encombre de clefs à l’école, ma mère laissait souvent la porte de la maison ouverte toute la journée. On ne craignait pas grand’ chose. Pas de maisons cambriolées, pas de voitures fracturées, pas de personne âgée agressée. La vie à Cabestany était agréable. Si calme et paisible. Et mes parents adoptifs qui ne faisaient pas de politique disaient que la municipalité était dynamique et inventive !?
Mais ça : « c’était avant » ! Aujourd’hui on s’aperçoit que tout cela est parti en quenouille. Et Cabestany est le dernier endroit où j’aimerais élever mes enfants. Une ville moche, sale, où l’urbanisme a été bâclé. Les finances mal dépensées. Les vieux oubliés. Où il faut avoir la bonne carte du Parti pour être considéré. Où on évite de parler politique devant ses voisins comme si on avait peur ! Où on se regarde en « chiens de faïence ». Une cité « abîmée » par des « nostalgiques du Goulag » . Mais qui sait encore de nos jours qui était Soljenitsyne, écrivain courageux, qui s’interrogeait en déclarant :
« A l’Est le communisme n’aura jamais existé comme un dogme reposant sur des bases claires, définies, voire identifiables. Devant ce vide abyssal, plusieurs décennies après la Révolution d’Octobre, ce sont des penseurs de Gauche, à l’Ouest, qui auront fabriqué à partir de rien, les règles d’une doctrine nommée « Communisme ». Pour pouvoir se retrancher derrière des concepts purement théoriques, irréalistes, et inventés de toutes pièces. Et pouvoir en faire un idéal utopique. Préférant passer sous un silence coupable les millions de victimes de ces dirigeants monstrueux et criminels à l’Est, qui ne savaient rien faire d’autre que d’oppresser le peuple. Justifiant leurs crimes abominables au nom de ce même communisme ! ».
Cabestany est une ville où la Culture est une caricature. Un simulacre. Une illusion pour des demeurés. Et ne parlons pas de Démocratie. Il nous aura suffi, chère Colette, de nous déplacer quelques fois au Conseil Municipal pour voir combien ce mot est dévoyé dans notre ville. Que vos idées (que nous partageons), et que vos propositions soient – ou non – réalistes, cette municipalité aura toujours refusé – au nom d’une doctrine dogmatique – de vous entendre et même de daigner vous écouter. A après on lit cette idiotie crasse qui dit que la Droite n’aurait jamais fait de propositions. Mais lorsqu’on voit d’où cette mauvaise foi provient, ce n’est que de l’insignifiance !
Aujourd’hui, à Cabestany il faut fermer sa porte à double tour, faire attention à sa voiture, surveiller les fréquentations de ses enfants, voir si on ne vend pas directement devant votre porte de la farine et des herbes en libre service. Ou dans d’autres endroits de ce qui ne sera bientôt plus ma ville. Où refuser d’installer des caméras de vidéosurveillance passe aux yeux de beaucoup pour une forme de complaisance. Voulue ou non ? Mais nous avons toujours défendu « la » Liberté d’expression de nos lecteurs auxquels la Mairie n’a pas encore réussi à leur interdire de penser… même si on leur conseille de se taire ! « Silence dans les rangs ! ».
Qu’on le veuille ou non, Cabestany est gérée par ce qui ressemble fort à des extrémistes. Des extrémistes aveugles qui considèrent que ce sont les « autres » qui appartiennent aux extrêmes. Mais surement pas eux ! On connait la chanson mais on ne fait pas partie de ceux qui se laissent abuser comme des moutons de Panurge. Sauf que lorsque les citoyens en ont marre d’un extrême, généralement ils votent ensuite pour les extrémistes… de l’autre bord. Et personne ne se sent responsable ! Du nord au sud de l’hexagone, pour bien de ces élus « sans honneur », conserver son siège quel qu’en soit le prix sera passé par des compromissions bien peu glorieuses.
Madame Appert, je vous souhaite bien du courage pour l’avenir. Si vous y croyez encore. Votre campagne électorale aura été exemplaire. Vos co-listiers se seront montré motivés, soudés. On espère qu’ils le seront toujours dans un proche avenir. Je n’en faisais pas partie, par choix, sachant que je ne resterai pas à Cabestany ou j’y étais d’ailleurs de moins en moins. Des responsabilités professionnelles m’appellent ailleurs. Et comme j’ai de la chance d’avoir du boulot quand tant de plans sociaux se profilent à l’horizon, je taille ma route.
Moi, Alicia dite « la Chipie » j’ai eu du mal à me faire admettre dans cette rédaction de Blog-Cabestany. Parce qu’être une femme, être largement plus diplômée que la moyenne, avoir son franc parler, et ne pas respecter les codes est encore un handicap au 21ème siècle. Ne refaisons pas le passé. Et pourtant, m’occuper du « Courrier des lecteurs » m’aura apporté bien des satisfactions. Un Blog, proche des gens, proche des ainés, proche de cette France oubliée par Paris. Dont j’étais devenue, au fil des mois, et des années, une petite abeille ouvrière toujours disponible. Pour vous lire, vous répondre. Pour mettre en ligne. Personne ne me regrettera. D’autres feront sûrement aussi bien et certainement mieux que moi. Personne n’est irremplaçable. Et de plus je crois que Blog-Cabestany a certains problèmes avec ses hébergeurs et webmasters actuels : une priorité à déjà surmonter avant d’envisager la suite. Mais l’aventure aura été pour moi magnifique ! Et si c’était à refaire, il faudrait surtout ne rien changer !
Madame Appert, ou « Colette », vous pouvez être fière de votre bilan. Nombreux sont les Cabestanyencs qui croient encore en vous. Je vous conserve toute mon amitié, ma sympathie, mon admiration. Vous êtes une femme d’honneur et de courage. Fière de ses convictions. Un exemple pour nous les femmes de bonne volonté ! Mais hélas la personne à abattre pour des sectaires incultes et parfois quasiment analphabètes, de tous bords. Et quand je dis « de tous bords », beaucoup peut être me comprendront ils ? Pourtant, avec votre parfaite connaissance des dossiers et des finances de Cabestany, qui aurait fait un/e meilleur/e Maire que vous ? Quelle occasion gâchée ! Mais ainsi va la vie ! Et chacun choisit son malheur !
Je ne pense pas que moi, pauvre Alicia, on me lise de nouveau sur ce Blog. Je vous regretterai. Amitiés à tous.
Alicia Jones-Smith
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Blog-Cabestany : Merci Alicia, qui en effet n’était pas avare du temps qu’elle consacrait à ce blog, jour et nuit. Elle vous répondait à tous. Elle entretenait de véritables conversations par mails avec nos lecteurs. Parlant de politique, mais souvent aussi de choses plus personnelles. Donnant si elle le pouvait, des conseils pratiques, juridiques à des femmes maltraitées ou des personnes en difficulté. Toujours à votre écoute. Continuez à nous écrire et à aborder tous les sujets que vous souhaitez. Continuez de nous donner votre avis.
Mais on ne pourra plus vous répondre de façon individuelle et personnalisée comme on le faisait avant. Nous en sommes sincèrement désolés !
Tous, nous regretterons « Alicia ». Cette chipie au grand coeur ! Bon vent à toi chère amie !
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« J’étais présente au Centre Culturel de Cabestany, l’année dernière, quand les communistes ont échoué à récupérer le mouvement des Gilets Jaunes », nous écrit Julie !
20 novembre 2020COURRIER DES LECTEURS
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Nos lecteurs nous écrivent que ces jours ci, (mais quand ?), la municipalité (Monsieur le Maire en faisait il partie ?) aurait inauguré ou ré-inauguré, et le refera sans doute chaque année ou chaque mois, voire chaque semaine sauf le dimanche, sauf Mardi Gras, un rond-point dédié au mouvement des Gilets Jaunes. A Cabestany ! Il faut bien trouver à s’occuper plutôt que de réparer les trottoirs ou retirer les racines des arbres sous les chaussées.
Pourquoi parler de cette péripétie « bouleversifiante » puisque c’est un non-événement. Pourquoi faire de la réclame à ce qui nous apparaît comme le comble du ridicule en matière de récupération. Il est où d’ailleurs ce rond-point ? Où on espère qu’il y sera édifié un totem jaune flashy le jour et lumineux la nuit, visible depuis toutes les communes de l’agglo ? Mais n’en concluez pas trop vite que nous aurions du mépris pour ce mouvement spontané citoyen que furent (ou sont encore) les Gilets Jaunes. Nous nous sommes intéressés, il y a deux ans, à l’automne 2018, à cette révolte des petites gens que les puissants méprisaient à tort. Et méprisent sans doute plus encore aujourd’hui ! A l’époque, à plusieurs reprises, nous étions allés vers eux. Pour voir si on pouvait les interroger, discuter avec eux, les prendre en photo. Pour les comprendre ! Ou du moins essayer. Un de nos amis, un « voileux » qui était allé pour juste les voir, un jour, au péage de l’autoroute, se sera enrôlé à leurs côtés et y aura passé plus de quinze jours oubliant de rentrer chez lui.
Il y a ceux qui nous ont laissé approcher et ont discuté avec nous. Des gens qui nous ressemblent. Qui se lèvent tôt le matin. Qui n’attendent pas les allocs en restant le cul dans leur fauteuil. Qui bossent et n’y arrivent pas alors que pendant ce temps là, la bourse monte. On pense à cette aide-soignante ou ce livreur de colis qui se reconnaîtront peut être mais on doute fort qu’ils nous lisent. Et ils sont des milliers dans leur cas à essayer de s’en sortir. Pour qui la fin du mois importe plus que la fin du monde. D’autres nous auraient bien cassé la gueule ou voulu confisquer notre appareil photo. Mais cela s’est toujours terminé en selfie, et autour d’un verre. Heureusement ! Mais il fut des moments où on ne faisait pas les fiers !
On aura plus ou moins compris pourquoi la plupart de ces gens revendiquaient. Et sont sûrement dans le même esprit aujourd’hui ! Dans une France dirigée par un banquier. Où la finance dirige tout. Mais on aura bien eu, récemment, un Président normal qui nous avait dit que son ennemi était justement cette finance. Le rigolo ! Il aura laissé son ministre, devenu hélas aujourd’hui notre Président, brader notre industrie qui travaillait pour le nucléaire. Aux Américains ! Alstom pour ne pas la nommer. Un Président destructeur de nos emplois. Qui nous parle de « start-up nation » mais pas de cette France où les voitures de marque nationale sont fabriquées chez son pote Erdogan. Il y a vingt ans, cette autre ministre socialo d’un gouvernement Jospin, bradait notre industrie de pointe sur les scanners et appareils d’explorations médicales. Déjà aux amerloques. Pour financer les 35 heures. Quel gâchis !
C’est terrible de penser à tous ces mauvais politiciens que nous avons fait la bêtise d’élire, de croire, qui nous gèrent si mal depuis tant d’années, quelle que soit leur couleur politique. Ces mêmes qui auront cassé l’hôpital et abîmé chaque jour, toujours un peu plus la France !
Pour revenir aux Gilets Jaunes, on pense à ce jeune couple de Baho, qui à l’époque avait endossé un gilet jaune, pris le train, et qui « montait » pour la première fois de leur vie à Paris. L’homme et son épouse découvraient les Champs-Élysées. Dans un nuage de gaz lacrimo. Il s’étaient retrouvés derrière de sinistres individus habillés en noir qui voulaient « casser du flic ». Des gens qu’on n’aurait pas du laisser approcher de la manifestation. Qui l’ont faite dégénérer. Mais n’était ce pas prévu par le pouvoir de tout faire pour décrédibiliser de braves citoyens ? Ce couple dont on parle a été séparé ce jour là dans la cohue. La femme brutalisée dans la mêlée ne sachant même pas si c’était des policiers et des casseurs qui l’avaient frappée. Ou les deux ? Ils se sont retrouvé le lendemain matin à la gare de Perpignan, sonnés, avec des bleus sur tout le corps. Ils étaient rentrés chacun de leur côté après s’être perdus à Paris. Ils nous ont raconté. Ils en rient depuis et c’est sans doute mieux ainsi. Et ils auront des souvenirs à relater, disent ils, quand leurs enfants auront eu eux mêmes leurs petits-enfants !
Et ce Grand Débat National, quelle pantalonnade, quelle mascarade. Quelle honte ! On aura compris que ces gilets jaunes, on les a roulés dans la farine, manipulés. Le Président a mis la main à la poche. Pas assez pour certains. Pas du tout pour d’autres. Mais ce mouvement était comme un bateau sans personne à la barre. Ne voulant pas s’organiser, il était prévisible que l’aventure se termine sans gloire. Pour peut être renaitre un jour et avec des violences. Selon des informations non vérifiées qui nous sont parvenues. Ce qu’on ne voudrait pas ! Et là, on ne les défendrait plus !!!! Ce lecteur qui nous dit être retraité de la gendarmerie nous donne son point de vue : « les gentils gilets jaunes qui défilent dans le calme, le pouvoir n’en a rien à foutre. Mais dès que les « black blocs » sortent d’une bouche du métro, le pouvoir fait dans son froc ! » (sic)
Une lectrice, qui s’appelle ou se fait appeler Julie, nous dit qu’elle était à l’intérieur du Centre Culturel, en janvier 2019, lorsque les communistes – selon elle – ont échoué à récupérer le mouvement. Sous les huées. Cela aurait pu se terminer en bagarre générale, dit elle. Elle ajoute : « Ah, ils ont beaux aujourd’hui les cocos à vouloir inaugurer leur rond-point ». « c’est vous qui le dites ». « c’est votre Liberté d’Expression ».
En janvier 2019, Alicia, notre correspondante était aussi au Centre Culturel à Cabestany. Mais pas dans la salle où se tenait une sorte d’Assemblée Générale de Gilets Jaunes qui n’avaient déjà aucune envie de s’entendre entre eux. De se faire récupérer par un quelconque parti ou syndicat. Alicia était sur le parking à l’extérieur et n’aura rien suivi de ce qui se tramait à l’intérieur. Elle aura vite compris que pour les Gilets Jaunes, la devise était : « Ni Dieu, ni maître ». Qu’ils ne voulaient pas de chef, pas de leader. Alicia nous disait avoir été pris à partie ce jour là par un grand escogriffe qui semblait vouloir la frapper et lui arracher son appareil photo. Puis qui s’est mis en tête de la draguer ! Et cela s’est terminé par le fait que plusieurs Gilets Jaunes ont voulu être pris en photo par Alicia. Pour montrer à leurs enfants. Allant jusqu’à lui donner leur adresse émail pour qu’elle leur envoie ces photos. Sans méfiance. Sans savoir qui elle était vraiment.
Finalement des braves gens, ces Gilets Jaunes… à l’époque !
Mais comme le dit tellement bien Julie : « Lorsque je vois certains essayer aujourd’hui de faire de la récupération politicienne, je me marre !!!! » Et nous donc alors ! N’est ce pas Colette ?
Et n’y avait il pas eu à la Mairie une séance de décrochage de la photo du Président dans des conditions mystérieuses et pour laquelle, nos lecteurs nous auront écrit TOUT. Et son contraire. Pas de quoi se faire véritablement une idée. Mais…. qui s’en souvient ?
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Ce 20 janvier 2019, Blog-Cabestany écrivait :
https://blogcabestany.com/2019/01/20/il-ny-a-pas-de-femmes-de-gilets-jaunes-mais-plus-simplement-des-gilets-jaunes-femmes-nous-dit-fabienne-au-telephone-et-quon-arrete-tout-ce-cinema-pour-nous-recuperer/
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et continuez à nous écrire :
blog.cabestany@gmail.com
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Tags : Opposition municipale à Cabestany, Colette Appert, Cercle Gaulliste de Réflexion Politique et Sociale
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