Courrier des lecteurs
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COURRIER DES LECTEURS – Sans commentaires –
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Trois de nos gendarmes ont été tués cette nuit, alors qu’ils étaient engagés pour protéger et sauver.
Ce drame nous touche tous et endeuille le pays tout entier.
Je partage la douleur de leurs proches et de leurs frères d’armes et les assure de mon indéfectible soutien.Jean Castex
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Courrier des lecteurs
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L’ordre du jour vous sera communiqué ici même demain soir, 11 novembre
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Courrier des lecteurs
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Merci pour vos messages ! Nous, non plus, n’avons pas oublié et n’oublierons jamais ! Nous ne vous répondrons pas mais cela nous touche ! Merci encore !
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Le geste d’Erdogan, (re)transformant la basilique de Sainte Sophie en mosquée est lourd de signification. Il abroge le choix politique de Mustapha Kemal, en 1935, d’en faire un musée, en signe du rapprochement vers l’Europe occidentale. Il confirme le basculement de la Turquie dans une dictature intégriste et islamiste. Il se présente comme un geste de défi envers le monde occidental, l’histoire chrétienne de l’Europe. Il renvoie au souvenir de la chute de Constantinople en 1453, un basculement dans l’histoire de l’humanité considéré comme la fin du Moyen-âge. Face au triomphe de l’obscurantisme et la montée des périls planétaires, il marque une défaite morale de l’Europe, de sa culture imprégnée de civilisation grecque et latine, du christianisme et du temps des Lumières.
L’histoire ne se répète pas, elle bégaye comme dirait l’autre. 1453, les déchirements de l’Europe, la concurrence de ses ambitions dynastiques, Charles VII, Edouard III, les Habsbourg, l’ont aveuglé et paralysé, détournant son regard de l’essentiel. L’Europe déchirée, à l’issue de la guerre de Cent ans, n’a pas bougé le petit doigt pour tenter de sauver Constantinople du siège et de la chute au main des Ottomans. Aujourd’hui idem: l’Europe morcelée, fragmentée, rongée par la bataille des intérêts égoïstes, la lâcheté, le climat de repentance, la honte de soi, ses vanités de chefs, n’a pas bougé le petit doigt pour exiger le respect de l’engagement de Mustapha Kemal.
Il est faux, il est mensonger de laisser croire que la France seule est en état de faire peur au dictateur turc. En revanche, il est certain qu’une coalition de la France, de l’Allemagne, de l’Italie, de l’Espagne et de la Grande-Bretagne – c’est-à-dire de très loin la première puissance planétaire – permettrait de le faire plier et de sauver une histoire, une culture, une civilisation, face aux périls qui à long terme, mettent en jeu sa survie. Nous payons aujourd’hui le prix d’avoir voulu fonder l’Europe sur un monstre bureaucratique, impuissant, nourri de procédures, de lâcheté, de pacifisme et de repentance, plutôt que sur une alliance charnelle de nations libres et indépendantes partageant désormais le même destin. Et si la prise de conscience n’intervient pas rapidement, cette Europe disloquée, désintégrée et impuissante mourra noyée dans le sang et les larmes de ses habitants.
Maxime TANDONNET
Images d’archives envoyées par l’un de nos internautes : date non documentée. Merci à lui (ou elle) !
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Courrier des lecteurs – Maxime Tandonnet – Liberté d’expression –
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Tout avait été correctement anticipé, maîtrisé, sans le moindre doute, sans la moindre faille. Il en est ainsi de l’ensemble des acteurs de cette crise. Les choses ont été impeccablement gérées par tout le monde. Depuis le début des événements, pas l’once d’un regret, d’une excuse. Tout le monde est merveilleusement droit dans ses bottes.
Du passé, faisons table rase. Oublier, tout peut s’oublier. Les cotes de popularité remontent aussi vite qu’elles ont chuté. Celle du Premier ministre suit une courbe ascensionnelle vertigineuse dans l’extase médiatique. Les fautes de communication n’ont jamais existé.
Le 11 mars, cet appel surréaliste aux Français en pleine pandémie, à ne pas avoir peur et à continuer de vivre comme si de rien n’était, à prendre les transports (sans masque évidemment), se rendre au travail, au spectacle, etc. ? Combien de victimes dues à cet appel ?
Oublié, cela n’a jamais existé.
Le matraquage obsessionnel des plus hautes autorités du pays, pendant deux mois, sur les masques supposés « inutiles », « ne servant à rien »? (avant qu’ils ne fussent rendus obligatoires). Fini, oublié, cela n’a jamais existé.
30 000 morts, l’un des pires bilan planétaire en moyenne par habitant ? Fini, oublié, cela n’a jamais existé. La tragédie des EHPAD ? Finie, oubliée, cela n’a jamais existé.
L’anéantissement pendant un mois et demi de la liberté individuelle par un confinement zélateur et arbitraire, assorti de brimades invraisemblables, un désastre économique qui est l’un des plus calamiteux en Europe et dans le monde ? Aucun souvenir, aucun regret, pas une once d’excuse.
Tout le monde est parfaitement droit dans ses bottes, non responsable, irresponsable. Tout le monde a été formidable. Tout le monde est content. « Le monde d’après ? » Nous y sommes enfin… La marche vers un « nouveau chemin » est lancée, après le nouveau monde. Pour le reste c’est fini, passé, terminé effacé… La roue tourne.
Et dans tout ce marasme, nul n’a entendu la moindre once d’un regret, d’une excuse aux Français. La France est passée à autre chose, un nouveau gouvernement, un nouveau chemin, et tant pis pour les morts, les deuils et les malheureux qui ont perdu leur job. Une nouvelle grande aventure de deux ans commence dans un pays comme anesthésié, abruti, indifférent : la réélection de Jupiter en 2022 contre « le mal absolu ».
Maxime TANDONNET
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Envoyé à partir de notre Samsung Galaxy
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Cabestany, 19 h 00, il y a déjà quelques résultats partiels, mais rien de définitif car il y aurait ici ou là, un recomptage en cours. Et on attend la déclaration du résultat officiel sans qu’il soit donné d’heure précise
L’abstention aura été, semble t’il, l’élément déterminant de cette élection.
Sur les marches du Centre Culturel Jean Ferrat, Colette Appert remercie les électeurs qui se sont déplacés pour « Cabestany au Coeur ».
Quelques uns de ses co-listiers et de nombreux sympathisants commencent à se regrouper autour d’elle. La soirée n’est pas terminée.
Vous trouverez les résultats définitifs dans vos journaux demain.
Les colonnes de Blog-Cabestany sont ouvertes à Colette Appert dans les jours à venir si elle souhaite communiquer.
Nous mêmes, à partir de votre courrier, interviendrons sans doute. Mais plus tard. Car c’est le courrier reçu qui nous intéresse et à partir duquel nous ferons – éventuellement – quelques commentaires, car c’est ce que vous pensez qui nous importe plus que tout.
On vous souhaite à tous une bonne soirée.
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« Liberté d’Expression » – « C’est eux qui le disent »
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Richard est beaucoup publié, ici ou là, dans des magazines ou revues. Et il concocte pas mal d’émissions pour la télé. C’est un ancien professeur d’histoire à la Sorbonne.
Richard écrit :
Dès la fin de la Seconde Guerre Mondiale, ce que la France nommait « Son » Empire est secoué de violents soubresauts. De l’Indochine à Madagascar. Les pays d’Afrique Centrale dont les contours ont été dessinés de façon aléatoire et imbécile par la France vont se gérer eux mêmes. Le Maghreb n’est pas épargné. La Tunisie et le Maroc sous protectorat vont devenir libres. Mais pour l’Algérie il en ira autrement. En 1848, la Deuxième République, puis plus tard Napoléon III vont considérer que rattacher l’Algérie au territoire national est une nécessité pour asseoir le prestige d’une France qui entend rayonner sur le Monde. Même si l’Algérie est perçue depuis Paris par les rares qui y ont mis un jour les pieds, comme une terre « avec beaucoup de cailloux, et seulement quelques chèvres ». Inutile d’évoquer les gens qui y habitent et qui ne semblent pas compter. On ne leur demandera d’ailleurs jamais leur avis.
Qu’on le croie ou non, les colonies n’auront jamais enrichi la France, mais seulement rendus immensément richissimes une poignée de Français.
On va engloutir d’énormes sommes d’argent en Algérie. Des montants ahurissants qui dépassent l’entendement. A fond perdu. Et mal. De l’argent qui réparti sur le sol français aurait peut être rendu notre état moins faiblard et n’en aurait sans doute pas fait cette proie facile, à trois reprises, pour l’envahisseur d’outre Rhin. Même si le raccourci n’est pas évident pour tous, s’obstiner à vouloir raccorder l’Algérie à la France, dilapider notre argent, entretenir une armée au Maghreb, aboutira à ce qu’on perde l’Alsace et la Lorraine ? Quel gâchis ! Mais vous ne lirez jamais cela dans un manuel d’Histoire. Et personne n’en tirera les leçons. On a construit des ponts au Laos mais en 1914 on n’avait encore que les pétoires de 1870 pour se défendre. On a fait des routes qui menaient nulle part, partout dans la brousse, mais en 1939 on n’avait encore que les canons de 1914 !
Dans cet Empire, on aura tiré des fils électriques de quoi faire plusieurs fois le tour de la Terre. Mais pas construit trop d’écoles ! Un illustre de nos grands soldats, aujourd’hui disparu, raconte dans ses Mémoires : « Au fin fond de l’Algérie où j’ai servi longtemps on avait l’électricité. Dans ma ferme natale des Côtes d’Armor, en Bretagne, on aura du attendre 1953 pour être raccordé ». Et le téléphone fonctionnait mieux à Oran qu’à Lyon. Le Prestige imposait qu’on possédat un Empire quand les Français demandaient des salaires décents et des conditions de travail humaines. Ainsi, on aura eu le « Front Populaire », Munich, et la Guerre. Puis Dien Bien Phu. Et si on ne pouvait refaire le Phare d’Alexandrie, une des merveilles d’un monde ancien, on aura fait de la Poste d’Alger, le (presque) plus beau bâtiment du monde. Le sang des Français va couler devant cette Poste, rue d’Isly. A cause d’autres Français qui leur tiraient dessus !
Que les Algériens aient leur nation était sans doute légitime. Etait ce aussi légitime, que sitôt l’indépendance acquise, ils se précipitent vers la France plutot que de construire leur pays et en faire une démocratie. On voit le résultat aujourd’hui ! Quand les algériens parlent sur le sol français de leurs droits, ils semblent oublier que les pieds noirs aussi avaient des droits. Et on a accueilli ces Algériens qui nous ont foutu dehors comme des héros. On les aura naturalisés, pour qu’aujourd’hui ils se permettent de juger la France sans la moindre gratitude.
La France n’aura jamais voulu être comptable des milliers (ou dizaines de milliers) de supplétifs algériens massacrés par leur « frères » sur les quais en 1962 parce qu’on ne voulait pas d’eux en France. Pas plus que la France aura des remords pour tous ces pieds noirs massacrés après les accords d’Evian. Mais la France ne montre aucun remords à avoir ouvert ses portes à des Algériens au nombre desquels il y avait – peut être – les égorgeurs de harkis ou pieds noirs. Alors qu’on n’avait pas vraiment accueilli comme on aurait du le faire, les pieds noirs. Mais les pieds noirs on en parlera bientôt plus !
Trop de femmes et d’hommes, trop de civils ou militaires, quel que soit leur camp ont perdu la vie dans ce naufrage au Maghreb.
Une loi a décidé que le 5 décembre, officiellement et de façon légale, on rendrait hommage à toutes les victimes de ce qu’on mettra trop longtemps à appeler une guerre. Car il ne s’agit en rien de la commémoration d’une victoire mais de la reconnaissance par la France d’une tragédie autant pour les Français que pour les Maghrébins. Cette guerre, trop longtemps considérée comme une « opération de maintien de l’ordre ».
Laissons, ici ou là, des nostalgiques du bolchévisme, défendant une idéologie dépassée, continuer de partir en kermesse le 19 mars en tapant sur des tambours, en soufflant de façon pitoyable dans des zuzuzémas. Se réjouissent ils du malheur d’autres Français ? Car ces pieds noirs traités de colonialistes vivaient pour la plupart sous le seuil de pauvreté. Pour eux, c’était « la valise ou le cercueil ». Mais n’était ce pas ce que les dirigeants voulaient des deux côtés de la Méditerranée, en faisant abstraction de la souffrance des gens ?
En ce monde où nous vivons et où jamais les périls n’ont été aussi grands depuis des décennies, cela vaut la peine qu’on s’inquiète de l’avenir. Plutôt que de se focaliser sur des dates qu’on n’essaye même plus d’apprendre à nos élèves. L’Histoire ? Ils n’ont en plus rien à foutre ! Quand dans l’école primaire en face de chez moi, mixité oblige, un élève sur cinq ne croit même pas que le Terre soit ronde !!!!
Votre ami Richard
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Blog-Cabestany : chacun a le droit d’exprimer sa pensée si l’on est toujours dans un pays de Liberté !
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Courrier des lecteurs
« Il a neigé sur Yesterday » : Paroles de Michel Jourdan et Marie Laforet ; musique de Jean Claude Petit et Tony Rallo
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Merci à nos lecteurs ! Continuez à communiquer avec nous…. mais aujourd’hui dimanche restez au chaud !
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COURRIER DES LECTEURS
« Merci à nos pompiers, merci aux gendarmes, policiers, personnels de la Sécurité Civile, comme ce pilote victime du devoir. Merci également aux bénévoles, à condition qu’ils soient encadrés, qui se joignent aux professionnels (dont une grande partie est également bénévole) pour combattre les incendies que des criminels ont allumés. »
L’un de nos amis, retraité à Canet, ancien juge, nous explique :
« Lorsque j’ai entamé mes études de Droit, mettre volontairement le feu à une foret, et si jamais il y avait une victime, faisait encourir au pyromane la peine capitale. Personne, à ma connaissance, du temps où existait encore la peine de mort, n’a été exécuté pour ce motif. Il a suffit qu’on arrête l’auteur d’un feu de foret dans les Landes où plusieurs pompiers avaient péri et qu’on le condamne à une très lourde peine de plusieurs dizaines d’années de prison pour que les incendies d’origine criminelles cessent durant pas mal d’années. Dans ma gazette professionnelle, si je me réfère à un cas récent où certes il n’y avait pas eu de victime, l’auteur d’une « incivilité » qui a détruit des centaines d’hectares a été condamné à des travaux d’intérêt général et va porter un bracelet électronique quelques mois. Cherchez l’erreur !
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Courrier des lecteurs de Blog-Cabestany
Ce fidèle internaute nous écrit, toujours concernant le livre de Jean Vila :
La gloire de mon père, le château de ma mère le temps des secrets sont aussi des mémoires « POPULAIRES »qui sont destinées à faire évader le lecteur dans le partage d’un univers qui vous invite à l’imagination. Pour cela l’auteur à romancé volontairement ses souvenirs afin d’inciter à partager sa passion. La différence avec le livre de mémoires d’un homme politique qui à plus de trois décennies d’existence c’est peut être que le culte de la personnalité à pris le dessus sur l’intérêt public qui lui a été accordé par la confiance de ses concitoyens. Quel intérêts de sortir un mémoire maintenant ? A chacun libre d’en déduire sa pensée. Pour ma part avec la période électorale qui pointe son nez dans quelque mois je serai curieux de lire entre les phrase si il n’y aurait pas des fragments de campagne? Politicien un jour, POLITICIEN, TOUJOURS
BLOG-CABESTANY répond :
Cher internaute, on n’a pas encore eu ce livre entre nos mains. En faire une critique, bonne ou mauvaise, serait de la pure mauvaise foi de notre part. Mais le nombre de mails – hystériques – que nous recevons est impressionnant. Pour dire que c’est de la daube ! Mais ceux qui le disent l’ont ils lu ou manifestent t’ils leur profonde aversion pour un Maire qu’ils ne peuvent plus supporter. D’autres, les plus nombreux disent que c’est un chef d’oeuvre digne de Victor Hugo mais ont ils lu ce grand écrivain. Ce livre déchaine les passions – pour nous – de façon fort incompréhensible. Dans notre grande naïveté, on va jusqu’à se demander si tel était le souhait de Jean Vila de faire de son livre une « arme de destruction massive » (pour qui d’ailleurs ?) ou un simple livre de souvenirs. Ses admirateurs (mais savent t’ils lire ? et l’ont ils même lu ? ) exultent. Ses opposants sont déchainés. Alors, besoin de se raconter (et pourquoi pas ?), coup politique, dernier sursaut du sanglier aux abois ? Chez Blog-Cabestany, « tout cela nous en touche une, sans faire bouger l’autre », comme aurait dit le « grand Jacques ».
Et on va jusqu’à douter que tout cela intéresse les gens en dehors des limites de notre ville !!!
Merci de vos mails, mais on va quand même partir en vacances bientôt !
L’une de nos amies, infirmière à l’hôpital de Perpignan, et qui nous dit combien il est difficile d’y accueillir les malades en ce moment, nous propose de mettre en ligne le clip d’une équipe de soignants de Valence. Mais c’est la même chose partout en France, nous explique t’elle !
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Sans commentaires
Cet après midi samedi 13 juillet 2019, Place Arago, à Perpignan, rencontrez nos amis de City Worms qui vous donneront des conseils sur le lombricompost de vos épluchures de légumes, végétaux, et autres…..
On peut acheter un composteur efficace et qui ne prend pas de place. On peut partir en vacances et laisser le compostage se faire tout seul.
On peut acheter les lombrics.
Il suffit de 10 minutes pour mettre tout en place chez soi, dans le jardin, sur un balcon, dans un garage.
Ils ne prennent pas la Carte Bleue. Munissez vous de liquide ou d’un chèque.
100. euros tout compris, amortis au bout de trois mois, pour l’appareil parfaitement équipé et les lombrics. Plus les conseils et le sourire de nos amis.
Retrouvez ces documents en PDF, téléchargeables, imprimables
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Mercredi 8 mai 2019
Rassemblement à 10 h 45, Place du 8 mai 45, à coté de l’école Prévert
Défilé jusqu’au Monument au Morts pour la France à côté du Centre Culturel
Dépôt de gerbes, allocutions officielles
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« sans commentaires »
Dimanche 28 avril 2019 à Cabestany, le matin à 11 h 00
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En présence des Cabestanyencs, au nombre desquels, Colette Appert entourée de nos Conseillers de la Droite Municipale sympathisants et amis, Monsieur le Maire de Cabestany a déposé une gerbe en présence des Anciens Combattants et de leurs porte-drapeaux. Il a ensuite prononcé une allocation officielle.
La cérémonie s’est terminée par le « Chant des Marais », suivi de « La Marseillaise » reprise en choeur par les personnes présentes.
Bon dimanche à tous
le Gouvernement entend contraindre nos villes et nos villages à « accueillir » des milliers de migrants qui arrivent en France, écrit Guillaume Peltier !
11 janvier 2021COURRIER DES LECTEURS
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Snadar-17dec2020
Dans ce document vous trouverez un joli tableau qui vous explique par A + B que notre région est « déficitaire » en migrants.
Continuons de faire tuer nos soldats au Mali « en même temps » que nous recevons en masse des Maliens sur notre sol, car à Bruxelles, un certain nombre d’élus de pays « partenaires » vous expliqueront que le Mali est devenu dangereux pour ses habitants. Pas à cause des djihadistes. NON, A CAUSE DE NOS SOLDATS !
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Publié dans "au fil des jours", Actualité Politique, Blog-Cabestany, c'est eux qui le disent, c'est politique !, c'est vous qui le dites !, Cabestany, COURRIER DES LECTEURS, FRANCE, Ils écrivent pour d'autres mais pour nous aussi !, Liberté !, Liberté d'expression, Nos lecteurs ont la parole, Sans commentaires - no comment | Leave a Comment »