Archive for octobre 2021

Les différents scénarios de la transition énergétique et des énergies renouvelables ! Objectif 2050

26 octobre 2021

COURRIER DES LECTEURS

Jacques écrit :

c’est aujourd’hui qu’il va falloir décider de la politique énergétique à entreprendre pour le futur. Se diriger vers le tout renouvelable qui suppose de multiplier les éoliennes existantes par 10 ; les panneaux solaires par 25. Ou conserver une capacité nucléaire de 50% qui suppose également de gros investissements. Mais on ne pourra pas se passer d’éoliennes dans nos campagnes…. ou dans la mer ! A moins de vouloir revenir au charbon.

Il y a 6 scénarios possibles. Et il n’est pas question de supprimer totalement le carbone dans l’air mais de le limiter, vers 2050, à la capacité qu’ont la mer, les forêts, la terre pour l’absorber. Alors qu’aujourd’hui, on a déjà depuis longtemps dépassé ce seuil qu’on prédisait inatteignable en prenant des mesures qui n’ont jamais réellement été prises. Le fera t’on dans l’avenir ?

J’ai proposé à mes amis de Blog-Cabestany de leur permettre de mettre en ligne tous les rapports qui viennent de sortir : + de 1000 pages.

On a déjà réglé le problème m’ont t’ils aimablement répondu car tous ces rapports sont visionnables, téléchargeables, imprimables sur le site de R.T.E. Dont acte !

Le bon site à consulter :

https://www.rte-france.com/analyses-tendances-et-prospectives/bilan-previsionnel-2050-futurs-energetiques#Lesdocuments

« Assez des pages sombres de notre histoire ! », écrit Philippe Bilger

19 octobre 2021

COURRIER DES LECTEURS

19 octobre 2021

Assez des pages sombres de notre Histoire !

Avec ce président de la République, Dieu sait qu’on est invité à les revisiter, les pages sombres de notre Histoire !

Le 16 octobre, il a reconnu « les crimes du 17 octobre 1961 ». Il évoque « des responsabilités » lors des violences policières contre les manifestants algériens.

Il faut créditer Emmanuel Macron d’une constance méritoire : plus le pouvoir algérien se plaint des contritions françaises, plus il en rajoute. Bientôt il ne saura plus où donner du regret ! On ne va tout de même pas aller jusqu’à inventer des horreurs imaginaires pour battre la coulpe française jusqu’à la lie !

Cette volonté présidentielle de cultiver un fort masochisme – les tragédies ont eu lieu mais en plus il faut les faire revivre en pleurant sur elles – n’est d’ailleurs pas perçue à sa déplorable valeur par ses opposants puisque, par exemple, Alexis Corbière en exige plus : « Il reconnaît les morts mais ne dit pas qui sont les tueurs ? » (JDD)

Il n’a mis en cause que Maurice Papon ! Petit bras dans l’affliction, il aurait pu et dû faire mieux. Ou pire !

Emmanuel Macron a beau faire des efforts pour montrer une image de notre pays en « mater dolorosa », cela ne suffit pas !

Je donne l’impression de badiner mais pourtant il n’y a pas de quoi rire.

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D’abord, par quels étranges détours ce président – certes intellectuel de gauche dans beaucoup de domaines encore, ceux qui relèvent notamment de notre Histoire, de notre protection et de l’évolution sociale – s’est-il fait une spécialité de cette volupté de la désolation nationale ? Certes celle-ci peut nourrir de beaux discours mais je ne crois pas que ce soit la raison essentielle. Il me semble que le président n’a au fond qu’un lien abstrait avec la France et les Français de sorte que s’exprimer au nom du pays en l’invitant à se fustiger ne le met pas en position d’appréhender les dégâts concrets, tangibles qu’il cause à notre mémoire nationale, à notre honneur collectif.

Ensuite, à la rigueur, on pourrait admettre de revisiter des pages sombres de notre Histoire si des pages splendides, épiques, glorieuses, ou tout simplement consubstantielles à la destinée de notre pays dans ses bons ou mauvais jours, faisaient l’objet de la même adulation pour le meilleur que celle prodiguée quasi-exclusivement pour le pire !

Comme à chaque fois qu’une date capitale et un hommage incontestable se présentent, on sent la gêne, le malaise, il ne faut pas en faire trop, on chipote, les lumières certes mais aussi les ombres ! Sous l’influence d’un clan d’historiens pour lequel la seule réalité française acceptable est une France couverte de cendres. Austerlitz, Napoléon : pourquoi célébrer avec fierté et munificence ce qui au fond devrait nous donner mauvaise conscience aujourd’hui : repentons-nous car il est arrivé à notre pays d’être grand !

Le paradoxe d’Emmanuel Macron, à bien lire l’ouvrage de Davet et Lhomme, notamment sur ses rapports avec Stéphane Bern et sa conception de l’Histoire, est qu’il semble au contraire friand de l’Histoire spectaculaire et royale, d’une chronologie illustre, de pompe et de gloire moquée par les historiens de gauche (ou progressistes : la même chose !). Ce qui pourrait signifier que le président de la République est un caméléon s’adaptant à chacun de ses interlocuteurs, ou que dans sa mission il est trop tenté de donner raison à ceux qui n’aiment la France qu’en état de contrition. Sûr ainsi de s’attirer l’approbation des intellectuels dits éclairés.

Il faut du courage pour assumer l’Histoire de la France, dans ses péripéties admirables ou discutables, nationales ou coloniales. Il faut déjà accepter que tout n’a pas commencé en 1789 et que, dans la multitude des débats et controverses suscités par l’imprévisibilité et l’ambiguïté des réalités historiques, pour le moins il ne conviendrait pas de faire peser sur la France une présomption de culpabilité systématique.

Demain aura-t-on encore le droit de se rassembler autour d’une personnalité, d’une victoire ou d’une fierté emblématiques de notre pays, ou serons-nous condamnés à continuer d’excuser la France ?

Philippe Bilger

https://www.philippebilger.com/blog/2021/10/assez-des-pages-sombres-de-notre-histoire-.html

« Touchez pas à nos maisons ! » prévient Maxime Tandonnet.

18 octobre 2021

Touchez pas à nos maisons!

Publié le 16 octobre 2021 par maximetandonnet

Jeudi, le pouvoir politique s’en est pris à la maison individuelle, « ce rêve construit pour les Français dans les années 70 », « ce modèle d’urbanisation qui dépend de la voiture pour les relier », sont un « non-sens écologique, économique et social ». « Le modèle du pavillon avec jardin n’est pas soutenable et nous mène à une impasse », selon des propos rapportés par plusieurs médias. A la suite de ce discours, le pôle Habitat de la Fédération française du bâtiment (FFB) a « déploré la stigmatisation persistante de l’habitat individuel, à contresens des aspirations des Français » sur Twitter, tandis que la Fédération des constructeurs de maisons individuelles s’est dite « révoltée contre de tels propos tenus par une élite parisienne dite écologique et pourtant très loin des territoires, des habitants et de leurs préoccupations », dans la presse spécialisée. Dans un communiqué vendredi soir, le ministère de la Transition écologique affirme qu’ il n’est pas question d’en finir avec la maison individuelle.

Oui, mais tout cela a quand même été dit à travers des paroles qui ne souffrent guère d’ambiguïté. On se doute bien que 50% des Français qui vivent en maison individuelle ne vont pas être évacués du jour au lendemain de leur domicile avant que les murs de leur maison ne soient rasés… Mais pourtant, quoi qu’il en soit, de tels propos reflètent une image négative de la maison individuelle. Comment les interpréter?

  • La maison individuelle avec son jardin est emblématique de la vie privée, de l’intime, de la famille et de la liberté. Nous sommes face à un pouvoir qui a pris, à la faveur de la crise sanitaire, un goût morbide au bannissement de la liberté: de confinements en couvre-feu jusqu’au passe sanitaire, mesures qui se sont révélées aussi liberticides qu’inutiles. Le bannissement de la maison individuelle et des jardins, refuge de la vie privée, est tacitement dans la même logique.
  • La maison individuelle avec son jardin est le rêve de 75% des Français, un rêve simple, populaire, familial. La loi du mépris veut qu’un rêve populaire soit connoté « populiste » aux yeux de la France d’en haut. Dès lors que les sans dents, les Gaulois réfractaires et ceux qui ne sont rien vivent heureux dans leur maison individuelle ou rêvent d’y accéder, ce bonheur ou ce rêve qui détournent les Français de la sublimation de leur caste dirigeante, agacent en haut lieu et doivent être vilipendés.
  • L’écologisme (bien éloigné de toute préoccupation concrète de protection de l’environnement) est une idéologie, comme le communisme ou le fascisme. Il tend vers un avenir radieux écrasant toute autre considération. La liberté, le bonheur individuel doivent s’y plier. Y compris ce à quoi les Français sont les plus attachés: leur toit et leur jardin secret. Cette vision imprègne le discours anti maison.
  • Sans doute il y a-t-il aussi une part de politicaillerie et de provocation: se faire remarquer à tout prix par des déclarations explosives, recouvrir les échecs, l’impuissance, les déceptions par des polémiques en tout genre, mais tel n’est pas l’essentiel.
  • Il ne faut pas se faire d’illusion: tout ceci relève d’autre chose que de paroles en l’air, mais d’une idéologie. Les dirigeants qui s’en font les porte-paroles ne disposent probablement pas des outils intellectuels leur permettant de prendre la mesure de leurs déclarations [faire dater la maison individuelle des années 1970 n’est pas le signe d’une grande lucidité ou culture et nous n’allons quand même pas nous attendre à ce qu’un ministre actuel ait la moindre idée de la pensée de Locke sur le lien entre la liberté et la propriété!]. Mais cette sensibilité, cette vision se traduira demain dans les faits par des politiques notamment fiscales destinées à pénaliser la maison individuelle et son jardin puis décourager les propriétaires – sur le même modèle que la voiture – tout ce qu’au fond d’eux même, ils haïssent: la liberté, le bonheur individuel, la vie privée.
    • Maxime Tandonnet

Hommage à Hubert Germain mais aussi à tous nos ainés à Cabestany !

16 octobre 2021

COURRIER DES LECTEURS

On aura rendu hier un hommage à Hubert Germain, dernier Compagnon de la Libération.

On pense à tous nos ainés, à leurs familles. On pourrait citer nombre de nos amis à Cabestany, disparus mais pas dans notre souvenir. On pense à Lucien Garcia qui partagea une partie de l’épopée d’Hubert Germain en Italie. Ce dernier étant blessé à Monte Cassino en mai 44 mais pourra participer au débarquement . On pense à bien d’autres qui étaient nos amis et que l’on aimait rencontrer au Monument de Cabestany lors des cérémonies ou lors des réunions d’Anciens Combattants.

Mais ils sont présents pour beaucoup d’entre nous dans nos mémoires et y resteront jusqu’ notre dernier souffle.

Au travers du Souvenir Français leur mémoire ne disparaitra pas et les prochaines générations continueront de les honorer !

Les coordonnées de la page su Souvenir Français pour notre département :

https://souvenir-francais-66.pagesperso-orange.fr/

Samuel Paty ! Un groupe d’enseignants des PO par la voix de Marie-Hélène, nous écrit : « une plaque de commémoration, un bouquet de fleurs, voire un discours ne suffisent pas et ne régleront rien »

14 octobre 2021

COURRIER DES LECTEURS

Marie-Hélène écrit :

« une plaque de commémoration, un bouquet de fleurs, voire un discours ne suffisent pas et ne régleront rien  suite à l’assassinat de notre collègue parisien Samuel Paty. Où en est t’on un an après alors qu’on s’attend à entendre de beaux messieurs nous faire de beaux discours de regrets. Mais nous au quotidien, comment gérer la situation ? Nous attendons que notre ministre prenne des positions claires et fermes. Qu’on nous explique ce qu’il faut dire à nos élèves qui nous observent pour voir comment nous allons nous comporter. Ce qu’on peut leur enseigner ou pas. Rien ne vient de la part de notre hiérarchie adepte du « PASDEVAGUE ».

Nous attendons que notre Président soit enfin capable de sortir des paroles courageuses et de soutien à notre corporation. On en a marre des bougies, des larmes, de la repentance. On attend des actes forts plutôt que des lamentations. Ou alors Samuel sera mort pour rien.»

BLOG-CABESTANY : nous avons reçu plusieurs messages en provenance d’enseignants ou de parents d’élèves. Tous dans le même sens. En y entend une certaine colère. L’un d’entre eux dit : « pour ce qui est de nos dirigeants, c’est « Courage, fuyons ! ».

Si vous appréciez – comme nous – les propos et les écrits de Philippe Bilger !

12 octobre 2021

COURRIER DES LECTEURS

Philippe Bilger sort un ouvrage : des pensées, des idées, des aphorismes, écrits ces mois derniers, et donc jamais édités avant.

Dans l’article ci-dessous que nous venons de reprendre sur son Blog, Justice au Singulier, l’auteur écrit :

09 octobre 2021

On n’est jamais aussi libre qu’on le voudrait !

Une histoire éditoriale qui m’a beaucoup fait réfléchir. Sur moi d’abord et quelques ombres.

Après la publication du Mur des cons chez Albin Michel, j’ai été saisi d’une sorte de stérilité littéraire que je compensais par l’écriture de mon blog et mes autres activités médiatiques. Pourtant j’éprouvais comme une mauvaise conscience et un jour, pour me réhabituer à une possible publication, je me suis mis à concevoir des « pensées » en vrac, caractérisées par un total pluralisme qui permettait à mon tempérament lui-même contradictoire de s’exprimer.

J’ai proposé l’idée à deux éditeurs que je connaissais mais ils l’ont aimablement refusée. Grâce à un ami, Thomas Clavel (fils du critique littéraire et remarquable esprit André Clavel, infiniment regretté), qui publiait à la Nouvelle Librairie (NL) de François Bousquet, j’ai pu obtenir l’accord de cette maison d’édition, chiche en moyens mais compétente, curieuse et cultivée.

Le livre a été publié le 30 septembre sous le titre « Libres propos d’un inclassable« .

Pour aller à l’essentiel, j’avais pris l’habitude de changer presque systématiquement d’éditeur et ce n’était pas cette nouvelle opportunité qui me déstabilisait. Mais la réputation prétendument sulfureuse – à cause notamment de cette excellente et urticante revue Éléments – de la NL, qualifiée de droite, voire d’extrême droite, en tout cas très connotée politiquement, m’a mis un temps dans un état de malaise, presque de honte, qui s’est très vite dissipé.

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Parce que d’une part j’ai remarqué tout de suite l’intelligence et la qualité d’écriture de cet éditeur – dans le travail qu’il a accompli pour classer ces pensées « inclassables » et l’étincelante quatrième de couverture, la meilleure jamais rédigée au verso de mes livres – et qu’un examen de conscience, d’autre part, m’a contraint à me juger très mal. En réalité, comme souvent sur les plans politique et culturel en ce qui concerne les convictions conservatrices, j’avais été gangrené par la pression diffuse d’adversaires de gauche qui ne valaient pas ceux qu’ils estimaient infréquentables. Une pierre navrante à jeter dans mon jardin de citoyen et d’essayiste qui s’imaginait totalement libre et détaché de ces entraves de la peur et du qu’en dira-t-on.

À vrai dire, j’avais déjà ressenti cette impression quand il y a longtemps j’avais passé quelques heures dans un Salon organisé par Radio Courtoisie, au demeurant une radio où j’ai toujours été parfaitement libre de mes propos, la laissant à ses slogans qui ne m’ont jamais entravé une seconde. Dans ce Salon, j’ai usé d’une démarche de guingois, à la fois présent et l’ayant accepté mais gêné aux entournures comme si je commettais une faute en dialoguant, à cet endroit et sous cette égide, avec les lecteurs et en signant des livres. C’était déjà un premier accroc dans la prétention dont je me flattais d’être un esprit libre et concerné seulement par ce qu’il avait à penser, à dire ou à écrire. Ce n’était pas vrai puisque sans raison je me blâmais d’être là où j’avais le droit et la liberté d’être. À cause de la puissante influence délétère de la gauche et de l’extrême gauche.

Je songe à ces deux familles politiques et j’admets que, si elles avaient l’idée de me convier à des colloques, des débats, des Salons ou des interventions – à titre personnel, penser contre mais en compagnie ne m’a jamais gêné -, obscurément je serais presque flatté, comme si leur adoubement avait du sens, alors que leur extrémisme, leur intolérance et leur dogmatisme devraient me les rendre, sur les plans intellectuel et politique, peu fréquentables. Mais elles ont encore de l’avance dans le registre culturel qui empoisonne les esprits. Elles jugent la droite et la droite en est tourneboulée. Et celle-ci n’est pas loin d’attendre un étrange et aberrant quitus de ces idéologies et pratiques qui ne représentent plus l’ombre d’une espérance. Encore une pierre virtuelle projetée dans mon monde.

Je vais tenter de me débarrasser, une bonne fois, de ces subtiles et impalpables lâchetés pour n’être pas obligé de me répéter tristement : on n’est jamais aussi libre qu’on le voudrait !

https://www.philippebilger.com/blog/2021/10/on-nest-jamais-aussi-libre-quon-le-voudrait-.html

« Hommage à Samuel Paty : la main ne doit pas trembler ! » écrit Maxime Tandonnet

11 octobre 2021

COURRIER DES LECTEURS

Hommage à Samuel Paty: la main ne doit pas trembler

Publié le 10 octobre 2021 par maximetandonnet

Le 15 octobre 2021 aura lieu un hommage à Samuel Paty, professeur d’histoire et géographie décapité l’an passé par un islamiste tchétchène à Conflans-Sainte-Honorine pour avoir parlé à ses élèves de la liberté d’expression en leur montrant des caricatures du prophète. Cet assassinat est emblématique des ravages du fanatisme sanguinaire et du déclin de la France des Lumières et de l’Education nationale et plus largement de l’effondrement sur le long terme d’un pays qui ne parvient plus à protéger ses professeurs. Mais cet hommage, en soi bienvenu, donne lieu à un étrange malaise dominé par la peur. Des parents craignent pour la sécurité de leurs enfants. Les autorités redoutent des troubles. Dès lors, la commémoration pourrait être à la carte selon les établissements: ici une minute de silence, là un quart d’heure voire une heure complète de « réflexion et d’échanges », en fin de journée. Bref, « il est nécessaire d’avoir une réponse différenciée selon les établissements et de se montrer souples ». L’hommage serait ainsi, de ce que l’on sait, plus ou moins adapté au cas par cas… Dans une République digne de ce nom, un tel hommage, dès lors qu’il aura bien lieu, ne devrait pas être souple ni sous forme de réflexion et d’échange sur un sujet touchant à un massacre et n’appelant rien d’autre qu’une condamnation ferme et absolue, mais sous la forme d’une lecture obligatoire d’un texte commémorant le martyre de Samuel Paty devant tous les collégiens et les lycéens debout, sans exception, et assortie de lourdes sanctions à la moindre manifestation hostile.

MT

Article repris avec l’autorisation de l’auteur sur le site de Maxime Tandonnet du 10 octobre 2021

« Zemmour, le reflet de nous-mêmes dans le miroir ! ». L’Edito d’Alicia la chipie pour Blog-Cabestany.

8 octobre 2021

COURRIER DES LECTEURS

Zemmour, le reflet de nous mêmes dans le miroir ! L’edito d’Alicia la Chipie pour Blog-Cabestany

Zemmour, le reflet de nous mêmes dans le miroir, selon le commentaire de l’un de nos chers lecteurs !

L’Edito de Alicia, en date du vendredi 8 octobre 2021

Merci à TOUS pour votre courrier, pour vos commentaires sur notre Blog. J’ai choisi cette semaine de reprendre les mots de Jean-Jacques, l’un de nos fidèles lecteurs.

Jean-Jacques, de Cabestany, m’écrit :

« Que Monsieur Zemmour me pardonne mais il n’a pas le look vraiment glamour. Mais nous mêmes l’avons nous ? Ce qui nous dérange, semble t’il, est que Eric Zemmour est le reflet de nous mêmes dans le miroir. Pas une image de magazine. Pas de quoi nous faire rêver. Mais nous autorise t’on encore à rêver ?

Dans ce miroir je vois le reflet de nos faiblesses, de notre laxisme, de nos égarements.

Eric Zemmour est il le reflet de notre soumission aveugle à des élus, pour certains corrompus, qui depuis des années bradent la France aux étrangers. Comme Alsthom. Comme toutes ces entreprises que nos dirigeants ont laissé se faire délocaliser sans rien faire. Ou plutôt à cause de leurs erreurs.

Eric Zemmour est il le reflet de notre acceptation de se faire gouverner par des gens qui laissent nos frontières ouvertes à tous, délinquants comme hommes de bonne volonté. Ces puissants qui ferment des lits d’hôpitaux, ne construisent plus de places de prison, laissent l’éducation en déshérence, font que la justice n’est plus crédible, et nous spolient pour reverser notre patrimoine ou le fruit de notre travail sous forme d’allocations à des gens venus d’ailleurs et qui n’ont pas vocation à devenir des assistés mais sont venus uniquement pour se faire dorlotés quand nous mêmes sommes méprisés par nos gouvernants.

MAIS…..

Si l’image de Zemmour dans le miroir, notre image, c’est celle des moutons de Panurge que nous sommes, qui se réveillent. Qui ne veulent plus être grugés, tondus, par un président-banquier qui n’aime que les riches mais qui nous dit que durant la crise sanitaire nous avons épargné des milliards. Je suis prêt à lui envoyer mon relevé bancaire à découvert.

Si c’est l’image d’honnêtes citoyens qui en ont marre de cette bien-pensance de gauche, cet islamo-gauchisme repentant, ces discours éculés de la gauche de la gauche alliée du macronisme pour mieux nous tromper alors je suis fier si je ressemble à Eric Zemmour.

…..

ALICIA : Merci Jean-Jacques et soyez nombreux à m’écrire !