COURRIER DES LECTEURS
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L’Association « Trait-d’Union-Cabestany » de Colette Appert est tournée – aussi – depuis quelques temps vers l’Écologie et le Développement Durable. Avec des rapports privilégiés avec de grandes Associations Nationales, telles que France Nature Environnement ou autres. Et cette association citoyenne s’intéresse entre autres à l’Urbanisme avec l’aide de l’un de ses adhérents très actif, juriste en la matière, même s’il n’est pas à proprement Cabestanyenc mais y a des attaches. Un habitué des procédures complexes avec les Juridictions Administratives, les Préfectures, les Collectivités Territoriales, ou l’État. Notre Association Citoyenne s’est ainsi recentrée autour de son noyau dur constitué par quelques membres indéfectibles.
L’Association écrit :
Une cinquantaine – semble t’il – de producteurs locaux de légumes et fruits, tenaient un marché à Elne, dimanche dernier.
Des agriculteurs faisant du bio, ou de la production raisonnée. Et on salue cette initiative pour éduquer le consommateur à consommer principalement local. Mais pas de quoi non plus devoir le présenter comme un événement d’envergure. Sachons relativiser !!! Et comme on aimerait qu’il n’y ait pas 50, ni même 20 commerçants sur le marché de Cabestany le jeudi. Une douzaine nous comblerait. On peut toujours rêver et imaginer que la municipalité s’en préoccupe. Mais au delà de vains mots !
Les amis « écolos » – dans le sens noble du terme, de notre Association préférée sont les premiers conscients que derrière la vague écolo qui traverse la France, il n’y a, pour la plupart, que des ambitieux politiques, des nostalgiques de la Gauche impuissante, des Tartarins de la Gauche de la Gauche, qui avancent masqués. Des opportunistes qui ont trouvé un nouveau moyen pour se valoriser sans mérite et pour nous enfumer comme ils en ont l’habitude.
Mais consommer local est par nous tous et pour les adhérents de Trait-d’Union-Cabestany, une priorité !
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Dans nos colonnes nous avons déjà parlé, avant et pendant le confinement, de ces producteurs de Cabestany, Alenya, ou autour de Perpignan qui font de bons produits locaux. De ces commerçants à Cabestany ou de ces producteurs méritants qui tiennent un étal au marché du samedi de la place de la république à Perpignan. Nous sommes leurs clients.
Un jour de 2019, on nous servait dans un banquet associatif d’excellent poireaux qui se trouvaient avoir poussé au Soler. Nous avions à notre table, un ami, qui travaille pour la grande distribution. Nous lui demandions d’où venaient les poireaux vendus dans les enseignes approvisionnées par la Centrale d’Achats dont il était salarié. Il nous répondait : « de Belgique évidemment. D’où voulez vous qu’ils proviennent ? » Des poireaux certes sans goût, qui ont parcouru 1500 km de la Belgique jusqu’à Perpignan. Mais qui sont vendus au consommateur moitié moins cher que s’ils étaient produits à Alenya ou Théza». Et là est sans doute l’essentiel du problème !
On pense en savoir un peu plus que le citoyen moyen pour ce qui est des circuits de distribution des produits locaux, des importations d’Espagne ou de plus loin, du train des primeurs, du marché-gare. De la main mise par certains sur certaines filières, de la pression exercée sur ceux qui essayent de rester libres et indépendants, du manque d’aide de certaines banques. Des promesses non tenues de l’Etat envers ceux qui veulent se lancer dans le bio, Mais à quoi cela sert il de savoir ce qui marche et tout ce qui va de travers ? Car cela ne risque pas de changer si le consommateur ne devient pas un acteur de sa propre vie ! C’est lui qui est au centre du problème. Tant qu’il continuera à subir, en râlant, mais sans changer son comportement !
« Consommez local » vous conseille l’Association Trait-d’Union-Cabestany. Un bon conseil !!!
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et continuez à nous écrire :
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This entry was posted on 15 octobre 2020 at 05:33 and is filed under Au fil des jours, Blog-Cabestany, c'est eux qui le disent, Colette Appert, COURRIER DES LECTEURS, Environnement, Liberté !, Liberté d'expression, Nos lecteurs ont la parole, Sans commentaires - no comment, Urbanisme et Ecologie. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
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Nos amis de l’Association « Trait-d’Union-Cabestany » étaient dimanche à Elne, au « marché de la terre » !
by PostmasterCOURRIER DES LECTEURS
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L’Association « Trait-d’Union-Cabestany » de Colette Appert est tournée – aussi – depuis quelques temps vers l’Écologie et le Développement Durable. Avec des rapports privilégiés avec de grandes Associations Nationales, telles que France Nature Environnement ou autres. Et cette association citoyenne s’intéresse entre autres à l’Urbanisme avec l’aide de l’un de ses adhérents très actif, juriste en la matière, même s’il n’est pas à proprement Cabestanyenc mais y a des attaches. Un habitué des procédures complexes avec les Juridictions Administratives, les Préfectures, les Collectivités Territoriales, ou l’État. Notre Association Citoyenne s’est ainsi recentrée autour de son noyau dur constitué par quelques membres indéfectibles.
L’Association écrit :
Dans nos colonnes nous avons déjà parlé, avant et pendant le confinement, de ces producteurs de Cabestany, Alenya, ou autour de Perpignan qui font de bons produits locaux. De ces commerçants à Cabestany ou de ces producteurs méritants qui tiennent un étal au marché du samedi de la place de la république à Perpignan. Nous sommes leurs clients.
Un jour de 2019, on nous servait dans un banquet associatif d’excellent poireaux qui se trouvaient avoir poussé au Soler. Nous avions à notre table, un ami, qui travaille pour la grande distribution. Nous lui demandions d’où venaient les poireaux vendus dans les enseignes approvisionnées par la Centrale d’Achats dont il était salarié. Il nous répondait : « de Belgique évidemment. D’où voulez vous qu’ils proviennent ? » Des poireaux certes sans goût, qui ont parcouru 1500 km de la Belgique jusqu’à Perpignan. Mais qui sont vendus au consommateur moitié moins cher que s’ils étaient produits à Alenya ou Théza». Et là est sans doute l’essentiel du problème !
On pense en savoir un peu plus que le citoyen moyen pour ce qui est des circuits de distribution des produits locaux, des importations d’Espagne ou de plus loin, du train des primeurs, du marché-gare. De la main mise par certains sur certaines filières, de la pression exercée sur ceux qui essayent de rester libres et indépendants, du manque d’aide de certaines banques. Des promesses non tenues de l’Etat envers ceux qui veulent se lancer dans le bio, Mais à quoi cela sert il de savoir ce qui marche et tout ce qui va de travers ? Car cela ne risque pas de changer si le consommateur ne devient pas un acteur de sa propre vie ! C’est lui qui est au centre du problème. Tant qu’il continuera à subir, en râlant, mais sans changer son comportement !
« Consommez local » vous conseille l’Association Trait-d’Union-Cabestany. Un bon conseil !!!
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blog.cabestany@gmail.com
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