L’Opposition à Cabestany et le développement durable !
Nous, c’est Cabestany !
–
Claude écrit :
Nous sommes plusieurs citoyens Cabestanyencs, passionnés d’Écologie, amis, adhérents ou non de l’association Trait-d’Union-Cabestany, n’ayant pas la même sensibilité politique, ne faisant pas le même métier, dans l’Aéronautique ou dans la viticulture entre autres, qui avons décidé de nous mettre au service de Colette Appert pour sa campagne municipale à venir.
Pas pour intégrer sa liste. Certains le feront peut être. Mais pour travailler avec elle et son équipe de campagne, de façon pratique. Parce que le Développement Durable, dans une ville comme la nôtre, est parfaitement compatible et souhaitable avec la gestion municipale. Et Colette Appert est convaincue depuis longtemps de cette nécessité absolue. Qui ne devrait même pas faire l’objet d’une récupération politique de la part de certains. Et dans une ville qui ne montre pas l’exemple au delà des belles paroles, déclarations d’intention. Du pipeau quoi !!!!
Certes, Cabestany n’est pas Paris. Où lors du déclenchement de la canicule la pollution a atteint des pics quasiment inégalés. Mais où l’on a continué d’interdire, jour après jour, et de façon croissante, sans tenir aucun compte des relevés scientifiques que je reçois tous les matins sur mon bureau. Au point de punir les citoyens alors que les taux de pollution étaient redevenus très bas, quasiment à la normale (mais tout est relatif), et que le seul problème, à Paris, provenait des centrales à charbon allemandes.
Mais pour faire un coup de com’, certains sont capables du pire. Interdire les voitures récentes fonctionnant au diesel alors qu’on fait des dérogations pour les vieux autobus. Et que l’on continue à acheter des neufs qui marchent au même carburant. Dérogation pour les camions poubelles. Dérogation pour les engins de chantier. Et que dire à Paris des poids lourds qui viennent de Barcelone et vont en Hollande sans s’arrêter en passant par le périph’. Alors que nous, nous savons où trouver les renseignements fiables, savoir où l’on en est des réserves d’eau potable dans les P.O. Et bien d’autres choses utiles. Parce que cela nous passionne mais que nous en avons marre des charlatans, colporteurs de fausses nouvelles, et politicards qui nous prennent pour des abrutis, et ne pensent qu’à leur carrière plutôt que de nous dire la vérité. Et qui veulent faire de nous les seuls et vrais coupables !
Mais que penser alors, de ces nouveaux accords commerciaux avec l’Amérique du Sud, des accords indignes et scélérats. Dont le citoyen est tenu volontairement à l’écart et mal informé. Que penser de ceux qui les ont signés ?
Certes on a envie de vendre des avions Rafale en Amérique du Sud. Pour que ces pays amis se « foutent sur la gueule ». A moins qu’ils n’aient découverts des extra-terrestres. Et on connaît l’efficacité des armes françaises lorsque nos Exocet, vendus aux Argentins, ont coulé des navires britanniques, aux Malouines. Pendant que nos bidasses en Afrique se paient eux mêmes leurs vigatanes.
On aimerait vendre davantage de véhicules Renault en Amérique du Sud, ce continent où l’on tronçonnent les arbres des forets, où l’on répand des tonnes de pesticides, où l’on cultive des plantes O.G.M à tout va. Mais dans ces pays amis on préfère les Volkswagen, les produits chimiques de Bayer, et tout ce qui est écrit en allemand est présumé être de meilleure qualité que les produits français.
Ce qui n’aura pas empêché l’Europe – vous savez, cette « Europe qui protège » – et la France en tête, de signer ces foutus accords.
Bon, les Renault c’est pas grave. Elles ne sont plus fabriquées, pour la plupart, dans l’hexagone mais au Maroc, en Slovénie, en Turquie, au Maroc, en Espagne. Celles qui le sont encore avec des pièces venant encore de plus loin. L’État est actionnaire de Renault et les bénéfices servent peut être à indemniser les chômeurs français qui au lieu de rester à la maison auraient peut être préféré aller bosser à l’usine. Mais c’est pas une réflexion de banquier ou de comptable ! Car que vaut la dignité de l’Homme ?
Et puis on va importer du vin, car comme chacun le sait, on ne sait pas en produire chez nous, et des milliers de tonnes de viande, acheminés par des bateaux polluants, en provenance de ces pays irresponsables, lorsque nos paysans français se tirent déjà une balle dans la tête. Mais la côte de boeuf aux hormones est plus gouteuse, paraît il, au barbecue que la viande Charolaise.
Être contre le Libre-échange et contre la mondialisation, c’est être un Salopard, lit on dans la propagande étatique. Moi, je revendique faire partie des Salopards et je me préoccupe de Cabestany, ma ville.
En 2014, mes amis et moi-même étions affolés des projets municipaux de construction en masse de nouveaux bâtiments. On est loin des prévisions et c’est heureux. Autrefois, on disait qu’un Maire-batisseur était certain d’être réélu. Aujourd’hui, c’est le contraire. Et nous espérons que la raison l’a emporté à Cabestany.
Et demain, aux aurores, je remettrai du gas-oil dans ma bagnole pour aller travailler plus loin que Valmanya. Car j’ai toujours pas trouvé la gare SNCF à Cabestany. Amitiés à tous !
–
ALICIA : Merci Claude ! Avec votre verre de Rivesaltes argentin, on vous conseille du camembert, mais du « camemberto do Brasil ! ».
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This entry was posted on 8 juillet 2019 at 05:24 and is filed under Au fil des jours, ça nous plait !, Blog-Cabestany, c'est eux qui le disent, c'est vous qui le dites !, Colette Appert, COURRIER DES LECTEURS, Environnement, La tribune d'Alicia "la chipie", Liberté !, Liberté d'expression, Sans commentaires - no comment. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
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Claude écrit :
Nous sommes plusieurs citoyens Cabestanyencs, passionnés d’Écologie, amis, adhérents ou non de l’association Trait-d’Union-Cabestany, n’ayant pas la même sensibilité politique, ne faisant pas le même métier, dans l’Aéronautique ou dans la viticulture entre autres, qui avons décidé de nous mettre au service de Colette Appert pour sa campagne municipale à venir.
Pas pour intégrer sa liste. Certains le feront peut être. Mais pour travailler avec elle et son équipe de campagne, de façon pratique. Parce que le Développement Durable, dans une ville comme la nôtre, est parfaitement compatible et souhaitable avec la gestion municipale. Et Colette Appert est convaincue depuis longtemps de cette nécessité absolue. Qui ne devrait même pas faire l’objet d’une récupération politique de la part de certains. Et dans une ville qui ne montre pas l’exemple au delà des belles paroles, déclarations d’intention. Du pipeau quoi !!!!
Certes, Cabestany n’est pas Paris. Où lors du déclenchement de la canicule la pollution a atteint des pics quasiment inégalés. Mais où l’on a continué d’interdire, jour après jour, et de façon croissante, sans tenir aucun compte des relevés scientifiques que je reçois tous les matins sur mon bureau. Au point de punir les citoyens alors que les taux de pollution étaient redevenus très bas, quasiment à la normale (mais tout est relatif), et que le seul problème, à Paris, provenait des centrales à charbon allemandes.
Mais pour faire un coup de com’, certains sont capables du pire. Interdire les voitures récentes fonctionnant au diesel alors qu’on fait des dérogations pour les vieux autobus. Et que l’on continue à acheter des neufs qui marchent au même carburant. Dérogation pour les camions poubelles. Dérogation pour les engins de chantier. Et que dire à Paris des poids lourds qui viennent de Barcelone et vont en Hollande sans s’arrêter en passant par le périph’. Alors que nous, nous savons où trouver les renseignements fiables, savoir où l’on en est des réserves d’eau potable dans les P.O. Et bien d’autres choses utiles. Parce que cela nous passionne mais que nous en avons marre des charlatans, colporteurs de fausses nouvelles, et politicards qui nous prennent pour des abrutis, et ne pensent qu’à leur carrière plutôt que de nous dire la vérité. Et qui veulent faire de nous les seuls et vrais coupables !
Mais que penser alors, de ces nouveaux accords commerciaux avec l’Amérique du Sud, des accords indignes et scélérats. Dont le citoyen est tenu volontairement à l’écart et mal informé. Que penser de ceux qui les ont signés ?
Certes on a envie de vendre des avions Rafale en Amérique du Sud. Pour que ces pays amis se « foutent sur la gueule ». A moins qu’ils n’aient découverts des extra-terrestres. Et on connaît l’efficacité des armes françaises lorsque nos Exocet, vendus aux Argentins, ont coulé des navires britanniques, aux Malouines. Pendant que nos bidasses en Afrique se paient eux mêmes leurs vigatanes.
On aimerait vendre davantage de véhicules Renault en Amérique du Sud, ce continent où l’on tronçonnent les arbres des forets, où l’on répand des tonnes de pesticides, où l’on cultive des plantes O.G.M à tout va. Mais dans ces pays amis on préfère les Volkswagen, les produits chimiques de Bayer, et tout ce qui est écrit en allemand est présumé être de meilleure qualité que les produits français.
Ce qui n’aura pas empêché l’Europe – vous savez, cette « Europe qui protège » – et la France en tête, de signer ces foutus accords.
Bon, les Renault c’est pas grave. Elles ne sont plus fabriquées, pour la plupart, dans l’hexagone mais au Maroc, en Slovénie, en Turquie, au Maroc, en Espagne. Celles qui le sont encore avec des pièces venant encore de plus loin. L’État est actionnaire de Renault et les bénéfices servent peut être à indemniser les chômeurs français qui au lieu de rester à la maison auraient peut être préféré aller bosser à l’usine. Mais c’est pas une réflexion de banquier ou de comptable ! Car que vaut la dignité de l’Homme ?
Et puis on va importer du vin, car comme chacun le sait, on ne sait pas en produire chez nous, et des milliers de tonnes de viande, acheminés par des bateaux polluants, en provenance de ces pays irresponsables, lorsque nos paysans français se tirent déjà une balle dans la tête. Mais la côte de boeuf aux hormones est plus gouteuse, paraît il, au barbecue que la viande Charolaise.
Être contre le Libre-échange et contre la mondialisation, c’est être un Salopard, lit on dans la propagande étatique. Moi, je revendique faire partie des Salopards et je me préoccupe de Cabestany, ma ville.
En 2014, mes amis et moi-même étions affolés des projets municipaux de construction en masse de nouveaux bâtiments. On est loin des prévisions et c’est heureux. Autrefois, on disait qu’un Maire-batisseur était certain d’être réélu. Aujourd’hui, c’est le contraire. Et nous espérons que la raison l’a emporté à Cabestany.
Et demain, aux aurores, je remettrai du gas-oil dans ma bagnole pour aller travailler plus loin que Valmanya. Car j’ai toujours pas trouvé la gare SNCF à Cabestany. Amitiés à tous !
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ALICIA : Merci Claude ! Avec votre verre de Rivesaltes argentin, on vous conseille du camembert, mais du « camemberto do Brasil ! ».
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